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Economie et enseignement au menu des quotidiens marocains

Les quotidiens marocains parus ce vendredi se focalisent sur le leadership royal dans la conduite des chantiers et des réformes,…

Les quotidiens marocains parus ce vendredi se focalisent sur le leadership royal dans la conduite des chantiers et des réformes, le tourisme au Maroc et la réforme de l’enseignement supérieur.Ainsi, +Al Alam+ écrit que le Roi Mohammed VI continue de mener « la marche de développement » du Royaume.

Dans ce sens, l’auteur cite l’initiative royale en matière de sécurité hydrique, louant la vision proactive du Souverain pour faire face à une problématique « qui conditionne, non seulement le développement, mais l’avenir des peuples ».

En matière d’emploi et d’activité économique, l’éditorialiste se réjouit du lancement par le Roi du Programme intégré d’appui et de financement des entreprises, évoquant d’autre part, les projets structurants que le Souverain a lancé dans la ville d’Agadir et qui s’inscrivent dans le cadre des initiatives Royales visant le développement des régions et la réduction des disparités territoriales.

+Aujourd’hui Le Maroc+ écrit, de son côté, que le tourisme au Maroc figure en bonne place dans les politiques publiques, faisant état de recettes de 78,6 milliards de dirhams en 2018 contre 73,04 milliards de dirhams (1 euro = 10,7 DH) une année auparavant.

Cependant, pour le journal, ces performances importantes doivent pousser à adopter de nouvelles stratégies pour consolider la place du Maroc sur l’échiquier international en tant que destination importante.

Sur un autre registre, +L’Economiste+ écrit qu’au moins une fois par semaine, le ministre de l’enseignement rencontre les dirigeants des universités, dans l’espoir de les faire adhérer à son projet de réforme.

Les motifs de cette réforme sont variés: « il y a 15 ou 17 ans qu’on n’a pas fait de réforme»; les étudiants doivent apprendre à bien se tenir et doivent savoir le français, explique la publication, notant qu’ « il faut du français pour améliorer ses chances sur le marché du travail et c’est mieux s’il y a l’anglais en plus ».

« En revanche, difficile de concevoir que l’effort doive porter sur une année de fac en plus », souligne le quotidien, se demandant s’il ne faut pas, plutôt, « mettre le projet sur le bureau de la Commission Benmoussa ». En effet, il figera pour longtemps les barrières sociales et économiques.

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