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Enseignement, économie et santé au menu des quotidiens et hebdomadaires marocains

L'enseignement scolaire privé, la conduite du parlementaire et les répercussions de la mondialisation sur le Maroc, l'ouverture de la 27ème…

L’enseignement scolaire privé, la conduite du parlementaire et les répercussions de la mondialisation sur le Maroc, l’ouverture de la 27ème session de l’Assemblée régionale Afrique relevant de l’APF, l’utilisation des alcootests et les dons de sangs sont les principaux sujets traités par les quotidiens et hebdomadaires marocains.+La Vie Eco+ aborde les enjeux de la privatisation de l’enseignement au Maroc. Pour l’hebdomadaire, l’enseignement privé évite, certes, à l’Etat d’investir dans la formation, mais le problème c’est qu’il introduit des inégalités: celui qui a les moyens peut avoir accès à une formation de haut niveau, alors que celui qui n’en a pas n’a de choix que de se contenter de ce que peut bien lui offrir aujourd’hui l’école publique.

De ce fait, nous ne pouvons vivre sereinement cette «privatisation » de l’enseignement que dans un seul cas : lorsqu’on aura en face un enseignement public de qualité, explique-t-il, appelant l’Etat à investir en dehors de toute idéologie.

+Finances News Hebdo+ revient sur le comportement du parlementaire. L’affaire du parlementaire, soupçonné de fraude à l’examen régional du baccalauréat, « repose le débat sur le devoir d’exemplarité dont doivent faire part nos élus » et « renforce le clou de la suspicion qui les entoure », souligne le journal.

Aujourd’hui, force est de reconnaître que les citoyens ont posé un bien piètre regard sur les parlementaires. « Si tous ne sont pas logés à la même enseigne, les actes posés par certains d’entre eux tendent à décrédibiliser toute l’institution parlementaire », estime-t-il.

+Challenge+ tente d’élucider ce que peut gagner le Maroc de la mondialisation. La publication constate que la libre circulation des personnes est de plus en plus restreinte dans un sens, d’autant plus qu’il s’avère aujourd’hui plus difficile que jamais pour les Marocains de se rendre à l’étranger.

Pour la circulation des capitaux, la situation est inversée. L’Office des changes fait état d’un repli des flux net des Investissements directs étrangers (IDE) à fin avril 2019, alors que le flux net des Investissements directs des Marocains à l’Etranger a affiché une croissance, relève-t-il.

+Libération+ rapporte que le Parlement marocain abrite depuis hier et aujourd’hui samedi les travaux de la 27ème session de l’Assemblée régionale Afrique relevant de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF). Au cours de cette session, les participants doivent débattre de sujets portant essentiellement à « L’intégration régionale en Afrique » et « Le système parlementaire en Afrique : les nouveaux défis ».

De même qu’ils présenteront un rapport sur le programme numérique de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie. Cette session sera également l’occasion d’examiner la situation politique et sécuritaire en Afrique francophone, notamment dans la région du Sahel, explique le quotidien.

+L’Opinion+ fait savoir que l’utilisation des nouveaux alcootests est effective sur les routes du Royaume depuis la fin du mois de ramadan. Avoir un taux d’alcoolémie élevé risque de coûter cher aux imprudents.

Depuis la fin du mois sacré, les agents de la police routière sont équipés de deux alcootests permettant de contrôler le taux d’alcool des conducteurs et prévenir ainsi les risques d’accident de la circulation. Une peine d’emprisonnement allant d’un mois à un an, est la condamnation prévue à l’encontre de toute personne contrôlée en état d’ébriété au volant.

+Al Bayane+ se fait l’écho d’une déclaration du Directeur du Centre national de transfusion sanguine et d’hématologie (CNTSH), Mohamed Benajiba qui a affirmé que le Maroc est en passe de battre son record national pour atteindre un taux de donneurs de sang de 1% par rapport à la population générale, soit le taux minimum recommandé par l’OMS pour répondre aux besoins nécessaires en produits sanguins.

Dans cet esprit, tous les centres de transfusion ont été appelés à se mobiliser avec comme mot d’ordre « Tous pour 1% », en ayant recours à tous les moyens à leur disposition et en proposant chacun son programme de collecte et de promotion de dons de sang.

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