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Formation en Gambie des représentants en Afrique de l’Unfpa

Une formation en gestion de changement des représentants du Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) en Afrique de…

Une formation en gestion de changement des représentants du Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) en Afrique de l’Ouest et du Centre s’est ouverte, lundi dans la capitale gambienne, Banjul, à l’intention de ces « managers » pour de mettre fin, entre autres, à la mortalité maternelle et aux pratiques néfastes, a appris APA lundi de source officielle.« Le Vice-Président de la Gambie, Ousainou A.N.M Darboe a présidé, ce lundi 27 août 2018 à Banjul, la cérémonie d’ouverture de la formation en gestion de changement des représentants de l’UNFPA en Afrique de l’Ouest et du Centre », a annoncé à APA l’UNFPA.

Cette session de formation « certifiée », dont la dénomination en anglais est « Change Management meeting », « se tien(t) du 27 au 29 août, (et est) essentiellement destinée aux représentants de l’UNFPA des 23 bureaux de la région », l’UNFPA.

L’organisme onusien souligne qu’un séminaire régional sur la communication et le plaidoyer se déroulera « quasi-simultanément » du 28 au 31 août 2018, et « regroupera l’ensemble des chargés de communication de l’organisation dans la région ».

Ces deux rencontres interviennent dans un « contexte décisif » pour l’UNFPA en Afrique de l’Ouest et du Centre. Parce que la réforme du système des nations unies en cours, prétexte pour la formation des représentants, se déroule au moment où UNFPA WCARO avait déjà anticipé sur les priorités de la région en développant des initiatives assez innovantes, a relevé l’UNFPA.

«En effet, UNFPA a réussi à engager les acteurs de la région pour appuyer les questions prioritaires de son mandat : Chefs d’Etat, Premières dames, journalistes, leaders religieux et traditionnels, secteur privé, société civile et organisations de jeunes ont été mis à contribution pour atteindre les trois résultats transformateurs du nouveau plan stratégique de UNFPA : 0 besoins non satisfaits en planification familiale, 0 violences basées sur le genre et 0 décès maternels évitables ».

Ainsi, l’UNFPA « veut » à travers son mandat dans la région mettre fin à la mortalité maternelle, aux pratiques néfastes, à la violence basée sur le genre et aux mutilations génitales féminines ainsi que les complications qu’elles peuvent engendrer sur la santé de la femme dont la fistule, assure le texte.

Et pour y arriver, l’UNFPA compte promouvoir au maximum la santé sexuelle et reproductive, l’autonomisation des femmes et des jeunes qui vont ainsi contribuer à la capture du dividende démographique et assurer le bien-être des populations africaines.

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