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Les problèmes de gestion de Casablanca, la valeur ajoutée de la Fédération des industries culturelles et créatives et le retrait…

Les problèmes de gestion de Casablanca, la valeur ajoutée de la Fédération des industries culturelles et créatives et le retrait du Parti du Progrès et du Socialisme (PPS) sont les principaux sujets traités par les quotidiens marocains parus ce vendredi.Sous le titre « Casanegra », +Aujourd’hui le Maroc+ fustige la gestion de la plus grande ville du Royaume et donc « sa vitrine » à l’international.

La mairie de Casablanca a une « gestion aléatoire, voire hasardeuse » du secteur des transports, souligne le journal, notant que les millions de Casablancais sont l’otage de cette situation chaotique où, à tout moment, un mouvement de grève peut être décrété.

Aujourd’hui, il faut trouver des solutions d’urgence pour permettre aux Casablancais de vivre décemment, insiste-il. En attendant, la métropole semble se transformer en « une véritable Casanegra ».

+L’Economiste+ s’intéresse pour sa part à la scène artistique nationale, notamment la création par la Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM) de la Fédération des Industries culturelles et créatives (FICC).

Aujourd’hui, la CGEM répare un oubli bien embarrassant, estime la publication, expliquant qu’il n’y avait rien auparavant qui ressembla de près ou de loin au soutien et à la promotion de l’entreprise d’art.

On a çà et là des critiques fort dures, selon lesquelles « l’association patronale veut mettre la main sur l’art », sans comprendre que derrière une production est individuelle ou collective, grande ou petite, plastique ou musicale, poursuit-il.

Revenant sur le retrait du Parti Progrès et Socialisme (PPS) de la coalition gouvernementale, +Al Bayane+ rappelle qu’après plus de 20 ans sans relâche, la formation du Livre a décidé de mettre les clés sous le paillasson.

Tout au long de cette longévité gouvernementale, le PPS a fait montre, selon l’auteur, de sa détermination pour honorer ce parcours laborieux.

Le départ a donc été une résultante logique des déboires d’un gouvernement hybride et disparate, estime-t-il, expliquant que, certes, le parti le fait non sans amertume et désolation, mais, il ne peut continuer à « broyer du pain noir dans le bourbier de la médiocrité ».

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