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Politique et justice au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè traitent ce mardi de sujets liés essentiellement à la justice et à la politique, avec la sortie…

Les quotidiens burkinabè traitent ce mardi de sujets liés essentiellement à la justice et à la politique, avec la sortie du premier responsable du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP, au pouvoir).L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso (2e capitale du Burkina Faso) revient sur le déjeuner de presse organisé, hier lundi à Ouagadougou, par le Mouvement du peuple pour le progrès (MPP, parti au pouvoir).

Le journal met en exergue les propos du président par intérim du parti, Simon Compaoré qui a affirmé au sujet de la situation nationale : «Si on doit mourir, on meurt tous ensemble».

De son côté, Le Quotidien cite le président intérimaire du MPP qui dit au sujet de la construction d’un hôpital sur le site de la forêt classée de Kua à Bobo-Dioulasso : «Les gens veulent nous empêcher de réaliser ce qu’on veut réaliser à Bobo et ce n’est pas une première».

Aujourd’hui au Faso, autre quotidien privé, titre : «Attaque terroriste, forêt de Kua, fronde sociale, évacuation de Bassolé : Simon Compaoré se lâche».

Quant à Sidwaya, le quotidien à capitaux publics, il renseigne qu’avec les hommes de médias, Simon Compaoré s’est notamment prononcé sur la question sécuritaire, le front social et le dialogue politique initié par le président du Faso.

Dans sa rubrique ‘’Mardi Politique », le journal privé Le Pays donne la parole au député Daniel Rasmané Sawadogo du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP, ex-parti au pouvoir).

Cet élu de la section provinciale du Sanmatenga (Centre-Nord) déclare ceci à la une du journal: «Les militants du CDP ne se laisseront pas imposer un choix contraire à leur aspirations profondes».

Le Pays, à travers une autre rubrique ‘’Droit dans les yeux », revient sur les mesures gouvernementales de sanctionner certains agents publics de l’Etat pour actes d’indiscipline, soulignant que ces «décisions gouvernementales (sont) retoquées par la justice».

Toujours dans le domaine de la justice, Aujourd’hui au Faso, fait remarquer que «Les avocats regagnent les prétoires».

Dans la même veine, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, affiche : «Procès putsch manqué : les avocats retournent au prétoire», publiant un communiqué signé du bâtonnier de l’ordre des avocats, Me Paulin Salembéré.

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