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Politique et société en vedette dans les quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce vendredi commentent l'actualité nationale marquée par des faits de société, sans oublier la politique, notamment…

Les quotidiens burkinabè de ce vendredi commentent l’actualité nationale marquée par des faits de société, sans oublier la politique, notamment la conférence de presse animée la veille par l’Union pour le progrès et le changement (UPC, opposition).«Polémique autour de la date du référendum constitutionnel : l’UPC dénonce +une dérive du président de la CENI+», affiche le journal privé Le Pays.

Ce quotidien rapporte que l’UPC, au cours d’une conférence de presse, hier jeudi, à son siège à Ouagadougou, s’est prononcé relativement «aux sujets qui font des gorges chaudes actuellement, à savoir la question sécuritaire, la polémique sur la légalisation de l’avortement et ce qu’elle appelle +une dérive du président de la Commission électorale nationale indépendante(CENI), Newton Ahmed Barry+».

A ce propos L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina arbore : «Fonctionnement de la CENI : Newton Ahmed Barry est un danger pour notre démocratie», reprenant ainsi, un extrait de la déclaration de Moussa Zerbo, porte-parole nationale de l’UPC.

De son côté, Aujourd’hui au Faso mentionne en manchette que selon l’UPC, «le gouvernement a échoué dans sa mission sécuritaire».

Le même journal privé évoque le retrait des parcelles de Ouaga 2000, objet d’une conférence de presse, animée la veille par le ministère en charge de l’Habitat, en collaboration avec la Société nationale d’aménagement des terrains urbains (SONATUR).

Aujourd’hui au Faso titre : «Retrait de parcelles à Ouaga 2000 : La SONATUR s’explique», là où Le Pays souligne : «Parcelle non mises en valeur dans la zone A de Ouaga 2000 : La SONATUR hausse le ton».

Pour sa part, Sidwaya fait remarquer que «la SONATUR menace de retirer plus de 3000 parcelles» de la zone A de Ouaga 2000.

Le quotidien national consacre, par ailleurs, sa manchette aux attaques terroristes à l’Est du pays, titrant : «l’activité économique, l’autre victime».

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