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Politique, terrorisme et société au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè abordent, ce mardi, divers sujets au nombre desquels ceux liés au terrorisme, aux faits de société et…

Les quotidiens burkinabè abordent, ce mardi, divers sujets au nombre desquels ceux liés au terrorisme, aux faits de société et surtout à la politique.«Landerneau politique burkinabè :+Notre avenir est pris en otage par des politiciens qui dorment au milieu d’un feu de brousse+», titre le journal privé Le Quotidien qui reprend ainsi les propos du député et ancien ministre, Tahirou Barry.

Pour sa part, Le Pays, autre quotidien privé, à travers sa rubrique « Mardi politique », donne la parole au député-maire de Dori, Aziz Diallo.

Dans l’entretien qu’il a accordé au journal, cet homme politique déclare: «Il ne suffit pas de réclamer la réconciliation nationale du bout des doigts et des lèvres».

Pendant ce temps, L’Express du Faso, quotidien privé imprimé à Bobo-Dioulasso, dans sa rubrique « Autant le dire… », s’exclame : «Ca grouille déjà dans les partis politique !».  

Le même journal évoque la situation sociale et sécuritaire au Nord du Burkina Faso, estimant qu’«il faut éviter les frustrations inutiles».

Quant au quotidien privé, Aujourd’hui au Faso, il affiche, en première page : «Terrorisme tout azimut au Burkina : Fusils hors des râteliers et diplomatie souterraine». Il s’agit de l’article d’un analyste.

Sidwaya, le quotidien à capitaux publics, consacre sa une au phénomène de l’insalubrité dans les hôpitaux, notamment, dans un Centre hospitalier universitaire (CHU) de Ouagadougou, et il titre : «CHU de Bogodogo : Eaux usées, caniveaux à ciel ouvert…, les supplices des riverains».

Le journal toujours dans le volet santé, aborde l’activité de manucure-pédicure, soulignant qu’il existe «des risques d’infection».

De son côté, L’Observateur Paalga, le plus ancien des quotidiens privés du Burkina Faso, revient sur l’assassinat, à Kidal dans le septentrion malien, le 2 novembre 2013, des journalistes français, Ghislaine Dupont et Claude Verlon, mettant en exergue: «L’amnésique de Tulle ne se souvient plus de rien».

Le confrère fait observer, d’entrée de jeu, que «cela fait en effet plus de cinq ans que les confrères et les proches de la journaliste et du technicien de Radio France internationale (RFI) sont ballottés entre fausses promesses et révélations fracassantes, sans que pointe véritablement la moindre lueur d’espoir judiciaire sur cette ténébreuse affaire».

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