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Société et politique en exergue dans les quotidiens burkinabè

Les journaux burkinabè reçus, jeudi à APA, mettent l'accent sur la politique et les faits de société.«Barrage de Soum: Cet…

Les journaux burkinabè reçus, jeudi à APA, mettent l’accent sur la politique et les faits de société.«Barrage de Soum: Cet interminable serpent de mer», arbore à sa Une, le quotidien privé L’Observateur Paalga qui rappelle que cela fait 15 ans que l’on a lancé les travaux de construction du barrage de Soum, situé dans la région du Centre-ouest du Burkina Faso.

Selon ce journal, ce plan d’eau prévu pour être le cinquième plus grand barrage du pays, devait s’achever 18 mois après son lancement.

Pour sa part, le quotidien national Sidwaya évoque un fait divers sous le titre: «Meurtre à Solonzo (Nord-ouest du Burkina Faso, Ndlr): Soupçonné, un homme battu par des femmes».

Sidwaya affiche également à sa Une: «Impositions des primes et indemnités des fonctionnaires: Effective pour compter de février 2020».

A en croire le confrère qui précise que le sujet a été évoqué par le porte-parole du gouvernement, Rémis Fulgance Dandjinou, à l’issue du Conseil des ministres de la veille, «l’Impôt unique sur les traitements et salaires (IUTS) sera imposé sur les primes et indemnités des agents publics de l’Etat à compter du mois de février 2020».

A ce propos, L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso (2e capitale du Burkina Faso), dans sa rubrique ‘’Autant le dire », mentionne ceci: «Et l’UITS sur les indemnités du public refait surface».

Pendant ce temps, Le Pays (privé) revient sur le rapatriement annoncé des étudiants burkinabè en Inde, donnant la parole à Nourou Bilgo, l’un des boursiers concernés qui avoue: «Cette nouvelle n’a pas été la bienvenue».

En politique, Le Pays reprend à sa Une, les propos du coordonnateur de l’Alliance des partis de la majorité présidentielle (APMP), Clément Sawadogo, qui déclare: «Nous sommes un pouvoir qui n’a pas fait dans la paresse, la mal gouvernance…».  

Aujourd’hui au Faso, fait cas de la présidentielle togolaise du 22 février en s’exclamant: «Pas de syndrome Boko en 2020 !».

Le journal relate que «les forces de l’ordre togolaises, ont accompli leur vote hier, à 72 heures du jour du scrutin, selon l’esprit et la lettre du code électoral. Les résultats de leurs suffrages rejoindront ceux des civils le samedi 22 février 2020, pour faire les sommations».

Il fait observer que «pour 2020, il n’y aura pas apparemment de syndrome François Boko, du nom de l’ex-ministre de l’intérieur, qui en 2005, ayant constaté que les militaires n’avaient donné leurs voix au jeune Faure, avait suggéré de différer le vote».

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