Sommet Russie-Afrique et Tour du Faso, au menu de la presse en ligne burkinabè

Les journaux en ligne burkinabè visités par APA, ce samedi matin, proposent des menus diversifiés où l’on retrouve des sujets ayant trait à la politique et au sport, notamment, le Tour cycliste international du Faso qui a démarré hier, vendredi.«Tour du Faso 2019: l’Angola remporte le maillot jaune», titre Wakatsera.com, précisant que la compétition a débuté, hier vendredi à Ouagadougou avec la course contre la montre.

A ce propos, Burkina24.com informe que César do Amaral Bruno est le premier maillot jaune du Tour du Faso 2019, avant d’ajouter que l’Angolais est arrivé en tête de la course contre-la-montre sur un circuit de 7 km.

Le même média en ligne reprend les propos du Directeur technique national (DTN) de la Fédération burkinabè de cyclisme (FBC) Martin Sawadogo qui déclare : «Nous commençons notre course ce samedi».

En politique, Burkina24.com revient sur le premier sommet Russie-Afrique, tenu les 23 et 24 octobre à Sotchi (Russie), à l’initiative du président russe, Vladimir Poutine, soulignant que la rencontre a marqué ainsi «le grand retour de cette puissance mondiale sur le continent africain».

De son côté, Lefaso.net affiche : «Sommet Russie-Afrique: +L’engagement de Poutine a été clair+ dans la lutte contre l’insécurité au Sahel, selon le président du Faso».

Le confrère présente une image montrant la poignée de mains entre les présidents burkinabè, Roch Marc Christian Kaboré et russe, Vladmir Poutine.

Selon Lefaso.net, avant de quitter Sotchi en milieu de matinée d’hier vendredi, le président du Faso a accordé un grand entretien à la chaîne de Télévision internationale Russia Today.

Fasozine.com qui a publié l’intégralité de l’entretien, relate que le chef de l’Etat burkinabè s’est prononcé sur les enjeux du sommet, le partenariat économique avec la Russie, et sur l’implication de cette partie du monde dans la résolution de la crise sécuritaire en Afrique.

Le journal en ligne met en exergue le passage où le président Kaboré affirme: «On ne peut pas nous denier le droit de pouvoir diversifier nos partenaires…».

Politique, développement et sport en exergue dans les quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce vendredi évoquent des sujets portant sur le développement et le sport, sans oublier la politique.Le journal privé Le Pays publie une déclaration de l’homme politique, président de Le Faso Autrement, Ablassé Ouédraogo qui, s’adressant au Chef de file de l’opposition politique (CFOP), Zéphirin Diabré, dit ceci : «Votre responsabilité dans les difficultés et les malheurs du peuple burkinabè est entière».

L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés burkinabè publie la même déclaration sous le titre : «Pour Ablassé Ouédraogo, Diabré est en connivence avec le MPP (Mouvement du peuple pour le progrès, au pouvoir)».

De son côté, Aujourd’hui au Faso laisse lire à sa Une : «Ablassé Ouédraogo de Le Faso Autrement : +Zeph+ (surnom de Zéphirin Diabré) n’est pas clair !».

Le Quotidien enfonce le clou lorsqu’il affiche : «Ablassé Ouédraogo s’adresse au CFOP : +Vous avez perdu toute légitimité à prétendre jouer le rôle de porte-parole de l’opposition politique au Burkina Faso+».  

En politique, le quotidien national Sidwaya informe que «le Parlement donne quitus» à la loi portant régime juridique des archives.

Sous un autre chapitre, Sidwaya relate que l’Institut de croissance verte mondiale (GGGI en anglais) a tenu le 24 octobre à Séoul, en Corée du Sud, sa huitième session, au cours de laquelle, plusieurs pays dont le Burkina Faso ont intégré l’organisation.

Pendant ce temps, L’Observateur Paalga arbore, en première page : «Lutte contre l’insécurité et la pauvreté : Le lait local comme facteur de résilience».

Le même journal, dans le volet sport, revient sur le 32e Tour cycliste international du Faso qui démarre ce vendredi jusqu’au 3 novembre prochain, soulignant qu’environ 90 coureurs de 13 pays vont s’affronter pendant 10 jours.

A ce propos, Sidwaya titre : «32e Tour international du Faso : Le contre la montre par équipe comme top de départ», tandis que Le Pays met en exergue : «Tour du Faso : Pour les Etalons cyclistes, l’essentiel n’est pas de participer mais de…».

Développement, politique et faits de société au menu des quotidiens burkinabè

Les journaux burkinabè de ce jeudi traitent de sujets ayant trait, entre autres, à la politique, au développement et aux faits de société.Le quotidien national Sidwaya aborde la question du retour à la terre de jeunes ayant effectué des études universitaires, dans un reportage intitulé: «Entrepreneuriat agricole : Ces jeunes diplômés devenus agrobusinessmen».

Selon le journal qui fait un «gros plan sur quelques-uns de ces jeunes», ces derniers sont des diplômés qui s’intéressent de plus en plus à l’entrepreneuriat agricole.

«Ils n’hésitent plus, en effet, à se lancer dans l’agrobusiness, malgré leur niveau d’études supérieures», fait observer le confrère, précisant que ces «intellectuels» préfèrent les champs au «confort» des bureaux.

De son côté, le journal privé Le Quotidien aborde la problématique de la sécurité routière et il titre : «Miss Burkina sensibilise les élèves de Ouaga».

Quant à L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso, capitale économique du Burkina, il reprend à sa Une ces propos du président de l’Assemblée nationale, Alassane Bala Sakandé, lancés aux conseillers municipaux : «Travaillez pour cette ville de Bobo qui vous a tout donné».

Pour sa part, Le Pays (privé) revient sur la récente hausse du prix du carburant, soulignant que «les avis divergent» en ce qui concerne l’appréciation de cette mesure gouvernementale en vigueur depuis le lundi 21 octobre dernier.

Le même quotidien privé, dans sa rubrique ‘’Révélations », parle de la crise sociopolitique au Burkina Faso, mettant en exergue les propos de Assimi Kouanda, ancien président du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP, ex-parti au pouvoir).

Celui-ci déclare qu’«on ne peut pas faire de réconciliation sans Blaise Compaoré».

Pendant ce temps, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés burkinabè affiche en première page : «Tirailleurs sénégalais : Mon oncle, ce héros qui nous parle par-delà le temps».

Aujourd’hui au Faso, en politique internationale, revient sur la prestation de serment, hier mercredi, du nouveau président de la Tunisie, Kaïs Saïed.

«Hier, celui qui était inconnu dans l’arène politique il n’y a pas longtemps et qui se sera fait une image en se transformant en oracle politico-religieux sur le petit écran est devenu ce 23 octobre 2019, le deuxième président élu depuis la Révolution de 2011, en prêtant serment devant l’Assemblée constituante conformément à l’article 76 de la Constitution», commente le journal.

Procès putsch manqué et sommet Russie-Afrique au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce mercredi commentent l’actualité relative au sommet Russie-Afrique qui s’ouvre aujourd’hui, sans oublier d’évoquer le procès du putsch manqué qui devrait rouvrir, hier, au Tribunal militaire de Ouagadougou.«Procès pour les réparations civiles du putsch manqué : l’audience reportée au 29 octobre prochain», affiche Le Pays, selon qui «la catharsis passe aussi par là !».

A ce sujet, L’Observateur Paalga rapporte qu’à peine ouverte, hier mardi, l’audience sur les intérêts civils du procès du coup d’Etat manqué a aussitôt été suspendue pour une semaine, «à la demande de certains avocats des parties civiles au motif de vouloir mieux s’organiser pour intervenir convenablement».

Sidwaya, le quotidien national, se contente de titrer : «Procès du putsch : L’examen des intérêts civils renvoyé au 29 octobre prochain». 

De son côté, Aujourd’hui au Faso fait remarquer qu’«après les condamnations (des accusés du putsch manqué), place aux réparations des préjudices».

Le même journal revient sur le sommet Russie-Afrique et arbore à sa Une : «Sommet Russie-Afrique de Sotchi : L’empire du Tsar Poutine guigne le continent noir». 

Selon l’éditorialiste de Aujourd’hui au Faso, Sotchi, cité balnéaire au bord de la mer noire, devient la capitale de l’Afrique pendant trois jours (du 22 au 24 octobre), de par la volonté de Vladimir Poutine, maître incontestable de la Russie.

«Finalement, ce sommet codirigé par l’Egyptien Al-Sissi, président de l’UA et Poutine se veut une nouvelle piste pour les Africains de conjurer enfin cette +fatalité+ du refus du développement », écrit le journal.

Et de conclure : «A condition que les dirigeants aient les qualités de l’homme de la verticale du pouvoir et de l’ours de la Taïga !».

Pendant ce temps, Sidwaya publie une dépêche du service de communication de la présidence qui renseigne que le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, a quitté hier Ouagadougou pour Sotchi où il participera, les 23 et 24 octobre 2019, au premier Sommet et au Forum économique «Russie-Afrique» pour la paix, la sécurité et le développement.

Dans sa rubrique commentaire ‘’Mercure », Sidwaya prévient : «Russie-Afrique : Eviter une autre forme de colonisation».

L’Observateur Paalga, à travers son ‘’Regard sur l’Actualité », estime que ce sommet Russie-Afrique peut être considéré comme «le retour de +l’Ours+ après une longue hibernation».

La crise au sein de l’ex-parti au pouvoir continue d’alimenter la presse burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce mardi reviennent largement sur la crise au sein du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP, ex-parti au pouvoir).«Crise au CDP : 22 sanctionnés de retour dans les rangs», arbore L’Observateur Paalga, le plus ancien des quotidiens privés du Burkina Faso.

Ce journal informe qu’une semaine après la direction du CDP, c’est au tour des «sanctionnés» de se prononcer (au cours d’une conférence de presse animée hier lundi à Ouagadougou) sur les orientations données par leur président d’honneur et fondateur, Blaise Compaoré.

L’Observateur Paalga cite aussi le président du CDP, Eddie Komboïgo, qui déclare que «le parti a de beaux jours devant lui, n’en déplaise à ses détracteurs».

De son côté, Le Pays reprend les propos de M. Komboïgo affirmant que «nous allons revenir sur les décisions du dernier congrès extraordinaire», avant d’ajouter ceux de Léonce Koné, l’un des sanctionnés qui dit : «Je ne sais pas comment va se passer la cohabitation».

Dans la même veine, Aujourd’hui au Faso affiche: «Léonce Koné: +Nous respectons les Oukasses de Blaise, mais notre candidat est KDO (Kadré Désiré Ouédraogo)+».

Pendant ce temps, L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso, cite l’ancien maire de Bobo-Dioulasso, Salia Sanou qui martèle : «Eddie Komboïgo n’a qu’à aller se faire foutre».

Le journal Le Quotidien, pour sa part, fait observer que «plus de 400 jeunes quittent leur parti pour le CDP».

Le quotidien national Sidwaya parle de «l’exemple ghanéen» dans sa rubrique ‘’Trait de plume » où il évoque le geste de solidarité du Ghana manifesté la semaine dernière, au profit du peuple burkinabè confronté au terrorisme.

Le même quotidien consacre sa Une à la hausse du prix du carburant, avec ce titre: «13 F CFA sur le super 91 et 9 F CFA sur le gasoil», publiant un communiqué du Service d’information du gouvernement (SIG) à ce sujet. 

Sécurité, politique et sport au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce lundi évoquent l’actualité nationale marquée par des faits liés à la politique et au sport, sans oublier la sécurité, avec les récentes attaques terroristes.Le quotidien privé Aujourd’hui au Faso, informe que dans la nuit du vendredi 18 au samedi 19 octobre 2019, cinq soldats et un policier ont été tués dans deux attaques simultanées des détachements de Bahn et de Yensé, deux localités situées dans la province du Loroum (région du Nord).

A ce propos, Le Pays, autre quotidien privé, titre: «Attaques des détachements militaires de Bahn et Yensé : 5 morts et 11 blessés».

Pour sa part, le quotidien national Sidwaya parle de «L’équation 2020», dans son éditorial où l’auteur commence par poser cette interrogation: «Tiendra, ne tiendra pas ?».

Selon l’éditorialiste, c’est la grosse incertitude qui anime les Burkinabè et l’opinion internationale actuellement au sujet de l’élection présidentielle de 2020.

«La vague hypothèse de départ est en passe de devenir une préoccupation prégnante vu la situation sécuritaire du pays et humanitaire», commente-t-il.

Toujours en politique, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés, relate que dans la matinée du vendredi 18 octobre dernier, le député de l’opposition, responsable de parti politique, Tahirou Barry a fait un tour au grand marché de Ouagadougou, plus connu sous le nom de Rood-Woko.

Le journal affiche à ce sujet : «Morosité économique : Tahirou Barry fait son commerce électoral à Rood-woko».

En sport, les journaux reviennent sur la qualification des Etalons locaux  au Championnat d’Afrique des Nations (CHAN 2019), obtenue  le dimanche 20 octobre au Stade du 4 août, face aux Back stars du Ghana.

Et l’Observateur Paalga de jubiler: «CHAN Cameroun 2020: On y sera», là où Aujourd’hui au Faso mentionne: «Les Etalons locaux compostent leur ticket pour Yaoundé !».

Politique, société et sport au menu des quotidiens burkinabè

Les journaux burkinabè de ce jeudi traitent de sujets ayant trait à la société, au sport, ainsi qu’à la politique nationale et internationale.Dans son ‘’Dialogue intérieur », le journal privé Le Pays évoque la situation en République de Guinée où la capitale Conakry a connu de violentes manifestations ces derniers jours, suite à la volonté du président Alpha Condé de modifier la Constitution afin de briguer un troisième mandat présidentiel.

Le journal titre: «Manifs contre le 3e mandat de Condé : Un dialogue pour quoi faire ?», avant de souligner que «le dialogue ne saurait se substituer aux dispositions de la loi fondamentale de la Guinée».

De son côté, Aujourd’hui au Faso informe que le roi Mohamed VI (M6) du Maroc a gracié la journaliste Hajar Raissouni, qui était condamnée à un an de prison ferme pour «relations sexuelles hors mariage et avortement».

Selon l’éditorialiste du journal, «reste à expurger du code pénal (marocain) ces articles moyenâgeux !».

A ce sujet, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, titre : «Grâce royale pour Hajar Raissouni : Quand M6 absout la +pécheresse du Royaume+».

Pour sa part, Sidwaya, le quotidien public, à travers sa rubrique ‘’L’Autre regard », aborde la crise au Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP, ex-parti au pouvoir, soulignant qu’il y a un «imbroglio politique au CDP».

Le même journal affiche: «Pluies d’octobre dans le Nahouri (région du Centre-sud) : D’importantes récoltes détruites».

Quant à L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso, deuxième capitale burkinabè, il consacre sa Une à un autre phénomène de société, notamment, l’occupation anarchique des abords des rues, titrant: «Un danger pour les riverains et les usagers de la route».

L’Observateur Paalga présente à sa Une une image prise dans une rue de Bobo-Dioulasso, montrant une femme et son enfant, avec ce titre: «Il faut sauver ce nourrisson».

En sport, ce quotidien évoque la 3e édition du tour cycliste international du Faso qui aura lieu du 25 octobre au 3 novembre prochain.

Le confrère relate qu’à 10 jours de la tenue de cette grand-messe du cyclisme africain, le comité d’organisation a dévoilé les grands axes de la compétition, hier mercredi, au cours d’une conférence de presse.

A ce propos, le journal Le Quotidien affiche : «32e édition du Tour du Faso : 90 coureurs à la conquête du maillot jaune», là où Aujourd’hui au Faso mentionne : «Tour du Faso 2019 : Réussir la couverture sécuritaire et conserver le maillot jaune !».

Thomas Sankara en vedette dans les quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce mardi consacrent essentiellement leurs Unes au capitaine Thomas Sankara dont c’est le 32e anniversaire du décès aujourd’hui.«32e anniversaire de l’assassinat de Thomas Sankara: Les Burkinabè ont des raisons de regretter l’homme», affiche Le Pays, évoquant le sujet dans sa rubrique ‘’Droit dans les yeux » où il mentionne que 32 ans après sa mort, «l’icône Sankara est restée intacte».

Le même journal privé fait remarquer que dans son message à l’occasion du 32e anniversaire du décès de son mari, la veuve Mariam Sankara réclame toujours justice.

De son côté, le quotidien public Sidwaya parle de «L’espoir prisé», soulignant qu’«assassiné le 15 octobre 1987, trente et deux ans après sa disparition tragique, son rêve d’émancipation des peuples burkinabè et africains n’est pas encore une réalité».

Pendant ce temps, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés arbore: «Dossiers Thomas Sankara : les regards tournés vers Paris et Abidjan».

En effet, selon le confrère, le collectif d’avocats constitués aux côtés des ayants droit de Thomas Sankara ont animé, hier lundi à Ouagadougou, une conférence de presse où il a été question de l’évolution du dossier judiciaire.

Et de signaler que de l’avis de Me Bénéwendé Stanislas Sankara, l’un des avocats de la famille Sankara, «le dossier suit normalement son cours avec de nouvelles inculpations et le reversement, par la France, de deux lots de documents déclassifiés».

«Assassinat de Thomas Sankara, 32 ans après: Enquête rogatoire, vérité, justice et… polémique sur l’exhumation», titre pour sa part, Aujourd’hui au Faso.

A lire le commentaire de l’éditorialiste du journal, le dossier Thomas Sankara suit normalement son cours et connaît des avancées notables avec des nouvelles inculpations.

«32 ans après cette soirée fatidique qui a interrompu brutalement le processus de la révolution, et quatre ans après la réouverture du dossier par la justice burkinabè et l’inculpation d’une vingtaine de personnes dont Blaise Compaoré et son numéro deux le général Gilbert Diéndéré,

Le juge est toujours à l’œuvre pour «faire éclater la lumière dans ce dossier aux nombreuses ramifications grâce aux témoignages recueillis lors des auditions», fait observer Aujourd’hui au Faso.

Politique et société dominent la Une des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce lundi commentent l’actualité nationale marquée par des faits de société et la politique.Le doyen des quotidiens privé, L’Observateur Paalga revient sur la crise au sein du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP, ex-parti au pouvoir), évoquant la récente rencontre entre les protagonistes et le fondateur du parti, Blaise Compaoré, à Abidjan, la capitale ivoirienne.

«Crise au CDP: Epîtres de +Saint+ Blaise à ses apôtre», arbore ce journal qui mentionne également qu’il s’est agi d’«une médiation qui vient tout +gnagami+ (mélanger en langue nationale dioula)».

Dans la même lancée, L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso, la capitale économique burkinabè, estime que «Blaise Compaoré crée plus de problèmes à son parti». 

Le Pays, autre journal privé, aborde le sujet dans sa rubrique ‘’Confidence du week-end », sous le titre : «Crise au CDP : Blaise Compaoré demande à Eddie (Kombïgo) de +rapporter+ les sanctions», publiant deux lettres adressées aux protagonistes par le fondateur du CDP. 

A ce propos, Aujourd’hui au Faso (privé) affiche: «deux épistolaires de Blaise à ses ouailles : dans la tête du fondateur du CDP». 

Le même journal aborde le 2e tour de la présidentielle en Tunisie faisant remarquer qu’«avec les données nettes claires et massives hier, en attendant les résultats officiels de l’ISIE le mercredi prochain donnaient l’iconoclaste Kaïs Saïed vainqueur à ce 2nd round de la course à la magistrature suprême, avec 77% à hauteur d’homme».

Pendant ce temps,  le quotidien national Sidwaya consacre son éditorial à la manifestation organisée samedi dernier, à Mavaré au Mali, pour exiger le départ des forces étrangères dans la sous-région.

Pour l’éditorialiste, il s’agit d’«une défiance inopportune», surtout que la manifestation «a viré à un pillage en règle du camp de la MUNISMA».

Le même journal évoque le phénomène des établissements scolaires érigés provisoirement sous la forme de hangars de fortune, mettant en exergue : «Ecoles sous paillotes à Mogtodo (85 km à l’Est de Ouagadougou): S’instruire dans la hantise». 

Le Pays, pour sa part, aborde un autre phénomène de société, notamment, les rackets des forces de l’ordre au Burkina, sous le titre : «Des solutions et recommandations pour y mettre fin».

Transport aérien et loi de finances au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce vendredi évoquent l’adoption, la veille, par l’Assemblée nationale, de la loi de finances rectificative gestion 2019, sans oublier d’aborder des sujets relatifs au transport aérien.Le quotidien privé Aujourd’hui au Faso, dans ses ‘’News du VSD (vendredi-samedi-dimanche) » met en exergue : «Air Burkina: la privatisation en marche !».

«Transport : la grève dans l’aéronautique au Burkina, annulée», titre le quotidien privé Le pays qui traite du sujet dans sa rubrique ‘’Pot-pourri » où il publie un communiqué du Service d’information du gouvernement (SIG).

A ce propos, le quotidien national Sidwaya arbore, en première page : «Grève annoncée dans l’aviation civile : Les syndicats suspendent leur mot d’ordre»,

Selon le journal, le collectif de syndicats de l’aéronautique civile a suspendu, hier jeudi, son mot d’ordre de grève, initialement prévu les 11 et 12 octobre du mois courant, pour dit-il, «donner une chance au dialogue et à la négociation».

Sidwaya rappelle que ce mouvement d’humeur visait à dénoncer des «manquements» dans la convention de délégation de service public de l’aéroport international de Donsin.

Le même journal informe que les députés ont voté, à la majorité de 85 voix sur 120 votants, la loi de finances rectificative de la loi de finances gestion 2019, lors de la plénière du jeudi 10 octobre 2019, soulignant «une hausse de 153 milliards F CFA du budget».

L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso (2e capitale du Burkina) affiche : «Assemblée nationale : la loi de finances rectificative adoptée à 85 pour et 35 abstention».

A travers sa rubrique ‘’Autant le dire », ce quotidien mentionne : «Budget de l’Etat 2019, ça va malgré tout».

Sous le titre : «Adoptée à 85 voix favorables», Aujourd’hui au Faso rapporte que le ministre de l’Economie, des Finances et du développement, Lassané Kaboré a pris part à la séance plénière et a défendu le projet de loi.

Quant à L’Observateur Paalga, doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, parlant de cette loi de finances rectificative 2019, il fait observer que «Kosyam (présidence du Faso, Ndlr) renonce à l’acquisition d’un avion présidentiel».

Les faits de société en vitrine de la presse burkinabè

Les quotidiens burkinabè parvenus à APA, ce jeudi matin, présentent des menus où l’on retrouve majoritairement, des sujets liés à la société.L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés burkinabè, évoque le phénomène des talibés dans la ville de Nouna, située au Nord-ouest du Burkina Faso, arborant: «Nouna: Dans le +ghetto+ des talibés».

Le journal rappelle que les talibés ou garibous, comme on les appelle souvent, sont des apprenants de la religion musulmane.

«Confiés à des maîtres coraniques, ces enfants arpentent à longueur de journées les voies de Nouna à la recherche de leur pitance quotidienne. Quand ils sont fatigués des longues marches, ils ont un point de rencontre pour se reposer et se divertir», relate L’Observateur Paalga.

Pour sa part, Aujourd’hui au Faso (privé) évoque l’interdiction de la marche de protestation programmée par des Organisations de la société civile (OSC), le samedi 12 octobre prochain.

Selon le confrère, les organisateurs de la 4e édition des Journées anti-impérialistes devront revoir leur agenda, car, s’empresse-t-il d’ajouter, «dans une correspondance adressée au président du Mouvement burkinabè des droits de l’homme et des peuples (MBDHP), le maire de la commune de Ouagadougou a marqué son opposition à la tenue de cette manifestation».

Aujourd’hui au Faso croit savoir que pour l’édile de la capitale burkinabè, la manifestation que projette le MBDHP et les organisations partenaires est «inopportune au regard du contexte sécuritaire».

C’est à juste titre que le quotidien titre: «Journées anti-impérialistes 2019: +Inopportune !+, selon  la mairie de Ouagadougou».

A ce sujet, Le Pays affiche: «Interdiction de la marche du 12 octobre à Ouaga : le MPP (Mouvement du peuple pour le progrès, au pouvoir, Ndlr) et alliés accusés de dérive autoritaire», publiant le communiqué signé des OSC organisatrices de la manifestation.

De son côté, L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso (2e capitale du Burkina), en guise de titre de sa rubrique ‘’Autant le dire », mentionne: «Vous voulez marcher, allez-y le faire au Nord !».

Dans sa rubrique ‘’L’autre Regard »,  le quotidien national Sidwaya revient sur la 6e Conférence de reconstitution du Fonds mondial de lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme, organisée à Lyon (France) par les ONG intervenant dans le domaine humanitaire.

Le journal estime qu’il convient de «repenser la lutte contre le SIDA», soulignant, entre autres, que «cela doit passer par la dédramatisation du VIH».

Sécurité et sport au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce mercredi présentent des menus diversifiés où l’on retrouve des sujets liés au sport et aux questions sécuritaire«Lutte contre l’insécurité: Dans l’univers des femmes Kogl-wéogo (groupe d’auto-défense, Ndlr)», barre à sa Une le quotidien national Sidwaya.

Selon ce journal, principalement constitués d’hommes, les Kogl-wéogo se sont progressivement ouverts à l’autre moitié du ciel.

«Des centaines de femmes ont donc rejoint leur rang et se battent à leurs côtés, pour la sécurité de leur espace vital», précise Sidwaya, avant d’ajouter qu’«organisées en association, des femmes Kogl-weogo, celles qui font partie des unités d’intervention se font appelées Wibsé, (pluriel de Wibga), qui veut dire épervier pour symboliser la force et la vigueur de cet oiseau».

Pour sa part, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, revient sur le Mouvement de résistance populaire du Bam, lancé lors d’un  meeting, samedi dernier dans la ville de Kongoussi, capitale de la province du Bam, région du Centre-nord.

 Le journal donne la parole à Aly Nana, le coordonnateur du mouvement, qui explique qu’il s’agit d’une initiative patriotique visant à appuyer les Forces de défense et de sécurité (FDS) sur le terrain, «en termes de renseignements opérationnels».

D’où le titre: «Lutte contre le terrorisme dans le Bam : Aly le résistant explique».  

Pendant ce temps, Aujourd’hui au Faso revient sur l’attaque terroriste perpétrée, courant août  dernier, sur un détachement de l’armée nationale à Koutougou (Sahel) et qui avait occasionné la perte d’une vingtaine de militaires burkinabè.

Le quotidien privé souligne que «dans un rapport confidentiel, les  services de renseignement burkinabè avaient déclaré que cette attaque avait été préparée, planifiée et exécutée par Abdoul Hakim, chef d’une  branche de l’État islamique au Grand Sahara dirigé par  Adnan Abou Walid Al Sahraoui».

C’est à juste titre que Aujourd’hui au Faso s’interroge ainsi : «Attaques de Koutougou, Boulkessi et Mondoro  Iyad Ag Ghali et Al Sahraoui sont-ils de mèche ?».

En sport, Sidwaya renseigne que Hugues Fabrice Zango, auréolé de sa médaille de bronze fraîchement acquise en triple saut aux championnats du monde d’athlétisme au Qatar fin septembre, a été reçu en audience par le président du Faso, Roch Kaboré, hier mardi, au palais présidentiel de Kosyam.

A ce propos, L’Observateur Paalga, mentionne : «Médaille de bronze aux 17es   mondiaux d’athlétisme: Kosyam déroule le tapis rouge à Fabrice Zango».

Quant au journal privé Le Quotidien, il arbore: «Médaille de bronze aux championnats du monde d’athlétisme: Le président Kaboré exprime sa fierté à Hugues Fabrice Zabgo».

Développement et politique occupent la Une des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè parvenus à APA ce mardi matin, traitent de l’actualité marquée par des sujets liés à la politique et au développement.L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso, 2e capitale burkinabè, titre : «Education dans les Hauts Bassins (Ouest du Burkina, Ndlr) : Le privé, principal promoteur».

Le même journal évoque l’implémentation de la e-éducation au Burkina Faso, renseignant que l’Ecole nationale des enseignants du primaire (ENEP) de Loumbila, à la périphérie de Ouagadougou, vient d’être dotée en cyber-classes et cyber-salles.

 De son côté, le quotidien national Sidwaya consacre sa manchette au forum scientifique de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA), organisé dans le cadre du 25e anniversaire de l’institution, affichant «des réflexions pour améliorer la libre circulation».  

A ce sujet, Aujourd’hui au Faso, quotidien privé, met en exergue: «25e anniversaire de l’UEMOA : Une longue marche vers l’intégration».

Ce journal arbore également à propos d’intégration et de développement: «3e grande commission mixte Togo-Burkina : L’axe Ouaga-Lomé de nouveau chaud».

Toujours dans le volet développement, Sidwaya rapporte que le Premier ministre, Christophe Dabiré a ouvert, samedi dernier à Bruxelles, en Belgique, la 6e édition du Rebranding Africa Forum (RAF) portant sur les enjeux de l’exploitation minière en Afrique.

En politique, le même confrère aborde  dans sa rubrique ‘’Trait de plume », la situation au Cameroun, notamment, «le grand dialogue national initié par le président Paul Biya, pour un retour de la paix, après la crise anglophone qui a secoué le pays».

Le commentateur du journal parle de «Dialogue salutaire» car, selon lui, cette initiative «commence déjà à porter fruits».

Pendant ce temps, Le Pays (privé), dans sa rubrique ‘’Mardi politique », donne la parole à Mamadou Djibo, philosophe et militant de «Agir ensemble», parti politique nouvellement créé.

L’homme politique, se prononçant sur la prochaine présidentielle au Burkina Faso, déclare qu’«en 2020, vu les dynamiques politiques, personne ne pourra gagner au 1er tour».

Pour sa part, L’Express du Faso revient sur la crise au sein du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP), ex-parti au pouvoir dont le fondateur est Blaise Compaoré, est actuellement en exil à Abidjan (Côte d’Ivoire), suite à l’insurrection populaire de fin octobre 2014.

Le journal mentionne en première page, cette interrogation: «Qu’est-ce que Blaise Compaoré va dire à ses ouailles en discorde ?».

La situation sécuritaire domine la Une des journaux burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce lundi traitent l’actualité nationale marquée par des sujets liés aux faits de société et surtout à la situation sécuritaire, notamment, la lutte contre les attaques terroristes.«Lutte contre le terrorisme: Christophe Dabiré sollicite l’aide de  Bruxelles», affiche le quotidien national Sidwaya qui informe que le chef du gouvernement burkinabè, en visite dans la capitale belge, a été reçu en audience, vendredi 4 octobre dernier, par le Vice-Premier ministre en charge  des Affaires étrangères et européennes, Didier Reyders.

Pendant ce temps, Aujourd’hui au Faso, quotidien privé, plaque à sa Une: «23 orpailleurs massacrés à Madoudji au Burkina: quel danger représentaient ces ‘’galériens » d’Arbinda ?».

Selon le journal, «dans cette localité de Madoudji située à moins de dix kilomètres d’Arbinda, près de Gorgadji, dans la province du Soum, région du Sahel, 23 orpailleurs artisanaux qui chaque jour tentent d’extirper des entrailles de la terre ce qui pourrait transformer leur vie ont plutôt trouvé la mort en face, pas une mort liée directement à cette tâche dangereuse, mais venue du bout de fusils de terroristes».

Selon Aujourd’hui au Faso, «ce sont ces donneurs de mort qui écument le Sahel depuis plusieurs mois qui sont venus tuer encore toutes ces personnes qui avaient chacune leur ambition».

Pour sa part, le quotidien privé Le Pays, évoque, dans sa rubrique ‘’Confidence du week-end », la situation sécuritaire à travers l’article intitulé: «La population redoute une attaque terroriste à Arbinda (région du Sahel)».

Le même journal renseigne que la province du Bam, située dans la région du Centre-nord du Burkina Faso, «se dote d’un instrument populaire contre les terroristes».

A ce sujet, le journal Le Quotidien arbore à sa Une : «Mouvement pour la résistance populaire contre le terrorisme dans le Bam: +Les FDS seules ne pourront pas vaincre les ennemis du Burkina+», citant les initiateurs du mouvement.

L’Observateur Paalga (privé) quant à lui, titre : «Attaques terroristes au Burkina : Le Bam lance sa résistance populaire», avant de faire observer qu’il s’agit d’«un couteau à double tranchant».

Pour sa part, L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso (capitale économique du Burkina) consacre sa rubrique ‘’Autant le dire » à la situation sécuritaire, avec cette interrogation : «Terrorisme au Nord, que peut-on encore faire ?».

Sidwaya, le quotidien national, dans son éditorial, aborde le cas des déplacés internes dus au terrorisme et croit savoir qu’il faut de la «résilience».

Société et attaques terroristes font la Une des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce lundi évoquent les récentes attaques terroristes au Centre-nord du Burkina Faso, ainsi que des faits de société, notamment, la marche-meeting des Organisations de la société civile (OSC) à Bobo-Dioulasso.«Grève dans le secteur de la santé : Marche des OSC de Bobo pour inviter les protagonistes à privilégier l’intérêt général», affiche le journal Le Quotidien.

L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso, reprend à sa Une les propos du Premier ministre, Christophe Dabiré qui déclare au sujet de la grogne sociale: «Nous n’accepterons pas de mauvaises revendications».

Pour sa part, Aujourd’hui au Faso, autre quotidien privé, consacre sa Une aux attaques terroristes, titrant: «Enième attaque terroriste au Centre-nord : Zimtanga, souffre-douleur des terroristes».

A ce sujet, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, relate que les forces du Mal ont fait parler d’elles le samedi 28 septembre 2019 à Komsilga et à Deneon, deux villages de la commune rurale de Zimtanga, province du Bam.

«Le bilan, selon une source administrative, fait état de 16 civils assassinés et de dégâts matériels», écrit le journal.

Quant au quotidien national Sidwaya, il revient sur la question sécuritaire évoquée lors de la 74e session ordinaire de l’Organisation des Nations unies (ONU), dans un article intitulé: «Insécurité au Burkina : Autopsie à l’ONU».

Le même journal, dans son éditorial, évoque la rentrée scolaire, soulignant que «demain, 1er octobre 2019, c’est la rentrée des classes pour la plupart des établissements d’enseignements publics et privés».

Selon l’éditorialiste, «comme les années antérieures, cette rentrée scolaire est source d’angoisses pour les parents d’élèves.

«Mais cette année, l’Etat, notamment le ministère de l’Education nationale, de l’Alphabétisation et de la Promotion des langues nationales (MENAPLN), doit être particulièrement préoccupé, car les défis sont nombreux», estime Sidwaya.

Economie, politique et société au menu de la presse en ligne burkinabè

Les journaux en ligne du Burkina Faso traitent de l’actualité nationale marquée par des faits de société, sans oublier la politique et l’économie.«Développement endogène: un symposium sur le renouveau économique se tiendra à Ouagadougou ce 1er octobre», affiche Fasozine.com, soulignant que l’initiative est de Citoyen du Renouveau, une organisation de la société civile.

A ce propos, Wakatséra.com, un autre journal en ligne, précise qu’environ 150 experts, spécialistes et acteurs citoyens sont attendus à ce symposium.

Selon le confrère, la rencontre a pour objectifs, entre autres, de faire l’état des mieux de la politique de développement économique du Burkina Faso au cours des décennies passées, d’identifier des instruments macroéconomiques et établir des mesures spécifiques à court, moyen et long termes visant à atteindre les objectifs définis.

Quant à Burkina24.com, il fait remarquer qu’à travers ce symposium,  «Citoyen du renouveau veut repenser la politique économique au Burkina Faso».

Le même site d’information évoque la quatrième édition de la cérémonie de récompense des acteurs du cinéma africain et de la diaspora, dénommée ‘’Sotigui Awards », précisant que l’évènement est prévu du  28 au 30 novembre prochain.

De son côté, Lefaso.net parle de l’évènement sous le titre : «Sotigui Awards 2019: Des acteurs africains et de la diaspora se donnent rendez-vous à Ouagadougou».

Le journal en ligne aborde également dans rubrique société, le lancement  de l’Observatoire national de la santé de la population (ONSP) dont le but, indique-t-il, est de prévenir et de contrôler des maladies au Burkina Faso.

En politique, Lefaso.net titre : «Assemblée nationale: Le président Alassane Bala Sakandé pourrait  »ester en justice » contre les calomniateurs».

A ce propos, NetAfrique.net, publie un communiqué de la direction de la communication de l’Assemblée nationale, avec le titre : «Affaire Bala Sakandé aurait fait retirer son frère de l’armée: La mise au point de l’Assemblé nationale».

Le confrère rappelle qu’il circule depuis hier 26 septembre 2019, des informations accusant le président de l’assemblée nationale, Alassane Bala Sakandé d’avoir fait retirer son frère de l’armée.

«Face à cette rumeur qui a pris de l’empileur sur les réseaux sociaux entraînant des commentaires multiformes, le président de l’Assemblée nationale a tenu à régir à travers un communiqué», écrit NetAfrique.net.

Pour sa part, Fasozine.com informe que le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré a présenté la situation sécuritaire de son pays, le 26 septembre 2019, devant la Commission de consolidation de la paix de l’Organisation des Nations unies (ONU).

Nécrologie et politique occupent la une des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce vendredi abordent l’actualité politique nationale, sans oublier de commenter le décès, la veille, de l’ancien président français, Jacques Chirac.«France-Afrique : Adieu, Chirac +l’Africain+ !», se lamente Sidwaya, le quotidien national qui relate que l’ancien président français (1995-2007), Jacques Chirac est mort, hier jeudi 26 septembre, à l’âge de 86 ans.

«Depuis l’annonce de cette disparition, médias et hommes politiques français évoquent en mémoire, un +homme politique exceptionnel+», écrit Sidwaya.

Le quotidien privé Le Pays estime qu’«une figure de la Françafrique s’éclipse», tandis que Aujourd’hui au Faso titre : «Décès de Jacques Chirac : De la Corrèze au Zambèze, départ d’un ami du village africain !».

L’éditorialiste de Aujourd’hui au Faso souligne que Jacques Chirac restera pour les Africains, ce locataire de l’Elysée qui eut des allures de monarque africain. «Chirac-l’Africain, ajoute le journal, restera l’ami, le+grand président de par la taille+ mais aussi par l’esprit africain. Vérité en-déçà du Zambèze, erreur au-delà de la Corrèze ?».

L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés aborde le sujet du jour dans son ‘’Regard sur l’actualité » sous le titre: «Chirac, notre ami qui n’aimait pas nos +bruits+ ni nos +odeurs+».

Le journal fait remarquer que le défunt était de plus en plus diminué par l’âge et la maladie, mentionnant qu’il fit néanmoins une dernière apparition publique en novembre 2014 dans le cadre des activités de sa fondation.

Et d’ajouter qu’il (Jacques Chirac) souffrait, selon ses médecins traitants, d’anosognosie, un mal neurologique qui cause une absence de prise de conscience ou une prise de conscience amoindrie par d’autres troubles dont peut souffrir le patient.

En politique nationale, L’Observateur Paalga renseigne que la Nouvelle alliance du Faso (NAFA), à travers un communiqué, a fait état de l’assassinat de Yehiya Maïga, ex-conseiller municipal de la commune de Gorom-Gorom (Région du Sahel) par des individus armés non identifiés.

L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso, la capitale économique burkinabè, titre à ce propos : «Le SG de la NAFA Oudalan assassiné».

Le même journal affiche en manchette : «Assemblée nationale : Le député Elisée Kiemdé +déchu+ de son mandat», avant d’ajouter que l’information a été livrée par l’Union pour le progrès et le changement (UPC), hier jeudi, lors d’une conférence de presse.

Dans sa rubrique ‘’Pot-pourri », Le Pays fait savoir que Blaise Compaoré est agacé par les sanctions prononcées contre des militants du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP).

Lutte contre le terrorisme et session parlementaire au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce jeudi traitent de l’ouverture de la deuxième session ordinaire de l’Assemblée nationale, sans oublier la lutte contre le terrorisme évoquée à la 74e session ordinaire de l’Organisation des nations unies (ONU) qui se tient actuellement à New York, aux Etats-Unis d’Amérique (USA).Le quotidien national Sidwaya affiche : «Lutte contre le terrorisme : Le président du Faso plaide pour un mandat offensif de la MINUSMA (Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali)».

Selon le journal, le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, président en exercice du G5 Sahel, s’est adressé à la communauté internationale, à la tribune de l’Assemblée générale des Nations unies, le mardi 24 septembre 2019, à New York.

De son côté, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés burkinabè, indique que «Roch fait une piqure de rappel à l’ONU».

Pendant ce temps, Aujourd’hui au Faso fait observer que lors de la réunion spéciale sur le G5-Sahel à New York, il est ressorti que la Libye et Kidal constituent «les nœuds  gordiens à trancher».

Le journal rappelle que la  rencontre spéciale et extraordinaire, tenue à New York, en marge de l’Assemblée générale de l’ONU, a permis de parler du «grand malade du Sahel central aux dunes et sillons ensanglantés et en proie aux appétits et convoitises les plus inavoués».

Aujourd’hui au Faso consacre sa Une à la 8e édition du Festival international de la liberté d’expression et de la presse (FILEP) qui se tient du 25 au 28 septembre 2019 à Ouagadougou.

Le confrère rapporte que lors de la cérémonie d’ouverture, hier mercredi, le président de l’Assemblée nationale Alassane Bala Sakandé a invité les journalistes à «plus d’afro-optimisme».

Le journal Le Pays évoque cette actualité en titrant: «8e édition du FILEP : L’unité africaine au cœur des débats», là où L’Observateur Paalga met en exergue : «FILEP 2019 : Parachever l’œuvre des pères fondateurs».

Abordant l’ouverture, la veille, de la deuxième session ordinaire de l’Assemblée nationale, L’Observateur Paalga mentionne : «Loi de finance, gestion 2020 : Bala présage une part belle à la sécurité», tandis que Le Pays titre : «Vers un budget national pro-sécurité».

Le quotidien cité en second lieu relate qu’au cours des 90 jours que va durer la 2e session du parlement burkinabè, la représentation nationale examinera, entre autres, les projets de loi de finances pour l’exécution du budget de l’Etat, gestion 2020, le projet de loi de finances rectificatives, le projet de loi de règlement, exercice 2018.

Développement et politique et au menu des quotidiens burkinabè

Les journaux burkinabè abordent, ce mardi, des sujets variés avec toutefois une dominante de ceux liés à la politique et au développement.«Commission climat pour la région du Sahel : Mobiliser les partenaires autour du plan d’investissement», affiche le quotidien national Sidwaya qui évoque ainsi, la réunion consultative de la commission climat pour la région du Sahel, tenue dimanche dernier à New York aux Etats unis d’Amérique (USA).

Selon le journal, le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré a coprésidé, avec son homologue du Niger, Mahamoudou Issoufou, la rencontre.

Pour sa part, L’Observateur Paalga, le plus ancien des quotidiens privés burkinabè, traite du Fonds d’entretien routier au Burkina Faso, signalant que «les voyants sont au vert».

Quant au journal privé Le Pays, il revient sur le Forum national des jeunes (FNJ), tenu la semaine dernière à Bobo-Dioulasso, la capitale économique, en se posant cette question : «Quel impact sur les préoccupations réelles des jeunes ?».  

Dans sa rubrique ‘’Révélations », le même quotidien informe que Kadré Désiré Ouédraogo et Boureima Badini, deux militants du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP, ex-parti au pouvoir) ont démissionné de cette formation politique.

A ce propos, Sidwaya précise que «suspendu, Kadré Désiré Ouédraogo démissionne».

De son côté, L’Observateur Paalga s’interroge : «Jeu de massacre ou opération de salubrité politique ?», avant de rappeler que la crise ouverte au Sein du CDP est entrée dans une nouvelle phase à l’issue du congrès extraordinaire tenu le dimanche 22 septembre à Ouagadougou.

«En effet, statuant sur les problèmes de discipline et de cohésion, l’instance suprême du parti a procédé à l’exclusion de dix-sept cadres et militants du parti…», relate Le confrère.

Dans sa rubrique ‘’Mardi politique », Le Pays donne la parole à Me Stanislas Sankara, vice-président de l’Assemblée nationale et président de l’Union pour la renaissance des partis sankaristes (UNIR/PS, majorité présidentielle).

 Celui-ci déclare, à propos de la crise au sein de l’ex-parti au pouvoir, que «je souhaite que ces querelles intestines au sein du CDP puissent définitivement l’imploser».

C’est à juste titre que Le Pays croit savoir que «l’ex-parti au pouvoir se tire une balle dans le pied».

La crise au CDP fait les choux gras de la presse burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce lundi commentent largement la situation de crise au Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP, ex-parti au pouvoir), non sans s’intéresser au forum de jeunes, tenu récemment à Bobo-Dioulasso.L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso (Capitale économique du Burkina), rapporte qu’à l’issue du congrès extraordinaire du CDP, tenu la veille à Ouagadougou, certains membres du Bureau politique national ont été exclus des instances du parti.

Le journal cite à sa Une, des noms comme Léonce Koné, Mahamadi Koanda, Fati Ziba, Salia Sanou et Mathieu Sanou, définitivement exclus du CDP, soulignant que d’autres militants tels que Boureima Badini, Juliette Bonkoungou et Roland Diallo, sont suspendus pour 12 mois.

«CDP : Le congrès nettoie les écuries d’Eddie», arbore, pour sa part, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés burkinabè qui présente l’image du président du CDP, Eddie Kombgoïgo.

Le confrère rapporte que «finalement tenu hier dimanche 22 septembre 2019 après une décision favorable de la justice, le congrès extraordinaire du CDP a prononcé des exclusions et des suspensions à l’encontre de nombreux militants, dont plusieurs cadres».

L’Observateur Paalga publie les listes complètes des exclus et des suspendus du CDP, avant de parler de «la victoire judiciaire de Komboïgo».

Quant au quotidien Le Pays, il met en exergue : «Congrès extraordinaire du CDP : Léonce Koné, Mahamadi Koanda, Salia Sanou, Rasmané Daniel Sawadogo…exclus», avant de publier la «réaction de quelques exclus».

Le même journal revient sur la 19e édition du forum national des jeunes, tenu du 18 au 21 septembre à Bobo-Dioulasso, titrant : «Les jeunes ont posé leurs préoccupations au président».

A ce sujet, L’Observateur Paalga fait remarquer que lors du face-à-face entre les jeunes et le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, celui-ci a fait des propositions.

Le quotidien national Sidwaya, de son côté, indique que «la jeunesse burkinabè (était) en conclave à Bobo-Dioulasso».

L’éditorialiste du journal, évoquant cette rencontre, fait observer la nécessité de «changer de vision», précisant qu’«à chaque forum ses enjeux et sa cible».

«Celui (le forum) qui s’est tenu à Bobo-Dioulasso, la capitale économique du Burkina Faso, du 18 au 21 septembre interpelle clairement la jeunesse sur son +son rôle et sa responsabilité dans l’édification d’une nation unie, prospère et émergeante dans un contexte de lutte contre l’insécurité+», rappelle l’éditorialiste de Sidwaya.

Forum des jeunes et lutte contre le terrorisme traités par les journaux en ligne burkinabè

Les journaux en ligne burkinabè visités par APA ce samedi matin, traitent de l’actualité nationale marquée par le terrorisme et le forum des jeunes qui referme ses portes, aujourd’hui, à Bobo-Dioulasso.«Forum national des jeunes : le président du Faso échange avec les jeunes sur leurs préoccupations», affiche NetAfrique.Net qui reprend une dépêche de la Direction de communication de la présidence du Faso.

L’article relate que les principales préoccupations exposées par les jeunes des treize régions du Burkina Faso se rapportent, entre autres, à leur employabilité, au financement des projets, à l’augmentation de l’offre de formation professionnelle à travers la création d’écoles, de centres de formation et l’ouverture de filières professionnalisantes.

Il évoque également la mise en place d’un plan de réinsertion sociale des jeunes déplacés pour cause d’insécurité.

De son côté, Lefaso.net titre : «Forum national des jeunes : La contribution de la jeunesse burkinabè dans la lutte contre le terrorisme au cœur des échanges».

Ce site d’information rappelle que l’édition 2019 du forum national des jeunes se tient à Bobo-Dioulasso du 18 au 21 septembre, sous le thème  «Rôle et responsabilité de la jeunesse dans l’édification d’une nation unie, prospère et émergente dans un contexte de lutte contre l’insécurité».

Parlant de terrorisme, Lefaso.net renseigne que le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré a réaffirmé «l’engagement de l’Etat à tout mettre en œuvre pour vaincre le terrorisme, en évoquant l’attaque qui a eu lieu le 19 septembre à Toéni dans la province du Sourou, et qui a fait 5 morts parmi les forces de défense et de sécurité».

A ce propos, Fasozine.com et Wakatséra.com titrent en chœur: «Attaque terroriste de Toéni : le président du Faso réitère la nécessité de l’implication de tous».

Quant à Burkina24.com, il reprend un extrait de la déclaration du président Kaboré sur sa page Tweeter lorsque celui-ci, évoquant l’attaque de Toéni mentionne : “Je suis profondément meurtri…”.

Education et politique meublent la une des journaux burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce vendredi abordent des sujets liés à la politique, notamment la crise au sein du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP, ex-parti au pouvoir), sans oublier l’éducation.«La situation ne permet pas à certaines écoles de rouvrir», arbore le quotidien national Sidwaya qui cite ainsi, le ministre de l’éducation nationale, de l’Alphabétisation et de la Promotion des langues nationales, Pr Stanislas Ouaro. 

Le journal rapporte que le ministre Ouaro, était face aux journalistes, le jeudi 19 septembre 2019 à Ouagadougou.

«La rentrée scolaire 2019-2020, le bilan des examens spéciaux, le point des affectations spéciales pour nécessité de service, étaient entre autres points-clés de cette conférence de presse du gouvernement», écrit Sidwaya.

De  son côté, le journal privé Le Pays titre : «Rentrée scolaire 2019-2020 : Près de 12 000 agents affectés par nécessité de service».

Quant au journal Le Quotidien, il reprend à sa Une, les propos du ministre de l’Education nationale déclarant que «42 720 élèves des régions de l’Est, du Centre-est, du centre-nord, du Nord, de la Boucle du Mouhoun et du Sahel (sont) affectés par la fermeture de leurs écoles».

Le même quotidien privé évoque  le congrès extraordinaire du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP, ex-parti au pouvoir), avec cette interrogation à sa Une : «Eddie Komboïgo (président du CDP) et le bureau exécutif national, victimes de leurs succès ?».

Pour sa part, Le Pays reprend à sa Une les propos d’un groupe des membres du bureau politique de l’ex-parti au pouvoir qui dit : «Nous ne reconnaissons plus les responsables actuels du CDP comme dirigeants de parti».

Dans sa rubrique ‘’Autant le dire », L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso (2e capitale du Burkina) met en exergue : «Les frondeurs du CDP reviennent à la charge».

Pendant ce temps, L’Observateur Paalga, doyen des quotidiens privés burkinabè, dans sa ‘’Lettre pour Laye » aborde la crise au CDP à travers l’article intitulé : «Le congrès du CDP sous la toge du juge».  

Présidentielle tunisienne et faits de société en vedette dans les quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce jeudi font la part belle aux faits de société, sans oublier la politique, notamment la présidentielle en Tunisie.«Tunisie: la révolution par les urnes», titre le quotidien national Sidwaya qui fait remarquer dans son ‘’L’autre regard » que «l’universitaire à la retraite Kaïs Saïed est sorti vainqueur du premier tour de la présidentielle tunisienne du 15 septembre 2019».

L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés burkinabè, sous le titre : «Second tour de la présidentielle tunisienne : L’ovni et le bagnard», rappelle que «le second tour de la présidentielle en Tunisie, opposera, à une date qui n’est pas encore précisée, Kaïs Kaïed et Nabil Karoui».

Il souligne que les deux finalistes qui faisaient partie d’un «peloton touffu de candidats», ont récolté respectivement, 18,40% et 15,58% de voix, à l’issue des résultats du 1er tour officialisés, hier mercredi.

Dans sa rubrique ‘’Sur la braise », le quotidien privé Le Pays fait observer que deux anti système sont au second tour de la présidentielle en Tunisie.

Selon le journal, il s’agit d’une évolution «vers le parachèvement du Jasmin dans les urnes».

Le commentateur mentionne que «ces résultats constituent une victoire pour le peuple tunisien», avant de conclure que «c’est à lui (le peuple tunisien) d’œuvrer pour le parachèvement de sa révolution».

Le même journal évoque le lancement, la veille, des concours directs de la fonction publique session 2019, renseignant que les chiffres donnent «cette année, 1 247 751 candidats, à l’assaut de 5 892 postes à pourvoir».

De son côté, Sidwaya informe que pour ces concours directs, ce sont 28 220 candidats de la région du Centre-sud qui se disputent les postes à pourvoir.

Quant à Aujourd’hui au Faso, il consacre sa Une au forum des jeunes qui se déroule à Bobo-Dioulasso, mettant en exergue : «C’est parti depuis la ville de Sya (autre nom de la capitale économique, Bobo-Dioulasso) !».

A la Une de L’Observateur Paalga, l’on aborde un autre fait de société, sous le titre : «Village de Satiri (à une trentaine de km de Bobo-Dioulasso): Querelle autour d’un bonnet».

Politique et sécurité en vedette dans les quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce mercredi traitent de l’actualité nationale marquée par des questions liées à la sécurité et à la politique.«Lutte contre le terrorisme : L’envoyé spécial de la France pour le Sahel à Kosyam», arbore le quotidien national Sidwaya qui informe que le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, a reçu, hier mardi au palais présidentiel de Kosyam, l’envoyé spécial de la France pour le Sahel, Christophe Bigo.

Pour sa part, Aujourd’hui au Faso (privé) parle de la coopération militaire, informant que le général Towsend du Commandement des États-Unis pour l’Afrique (AFRICOM) était, la veille,  chez le président Roch Kaboré.

Pendant ce temps, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés burkinabè, donne la parole à l’évêque de Kaya, Mgr Théophile Naré qui évoque la situation sécuritaire dans la région du Centre-nord.

Selon le religieux, «l’Etat devrait se manifester davantage dans cette région (Centre-nord)».

Le même journal relate que des partis affiliés au Chef de file de l’opposition politique (CFOP) ont animé, hier mardi à Ouagadougou, son traditionnel point de presse hebdomadaire, au cours duquel, ils ont abordé, entre autres sujets, la dégradation continue de la situation sécuritaire, la crise de la santé et la répression (lundi dernier) de la marche de l’Unité d’action populaire (UAP).

Concernant le dernier point, à savoir la répression de la marche de l’UAP, L’Observateur Paalga fait observer que «pour le CFOP, il n’y avait pas de quoi fouetter…».

A ce sujet, le journal Le quotidien reprend, à sa Une, les propos du représentant du CFOP qui déclare : «le peuple a l’impression que le régime actuel a trahi l’esprit de l’insurrection».

Quant à Sidwaya, il mentionne qu’à propos de la marche du 16 septembre, «+les marcheurs se sont exprimés de manière pacifique+, selon le CFOP»

De son côté, Le Pays (privé) précise que les échanges avec la presse ont été conduits par les représentants du CFOP que sont le président du Rassemblement des écologistes du Burkina Faso (RDEBF), Adama Séré et le président du Front patriotique pour le renouveau (FPR), Aristide Ouédraogo.  

La marche avortée des syndicats fait la une des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce mardi commentent largement, la marche des syndicats, empêchée, la veille à Ouagadougou par la police.Aujourd’hui au Faso (privé) mentionne à sa Une : «Journée de protestation de l’UAS (Unité d’action syndicale) et des OSC (Organisations des de la société civile) : Pluie de lacry sur les manifestants».

«Marche-meeting du 16 septembre : les manifestants gazés à Ouagadougou», affiche, de son côté, le quotidien privé Le Pays qui informe également que «les marcheurs (ont été) contraints de changer d’itinéraire à Bobo».

Le même journal rapporte que lors de la marche-meeting à Koudougou (capitale de la région du Centre-ouest), «l’impérialisme français (a été) dénoncé».

A ce sujet, L’Observateur Paalga, le plus ancien des quotidiens privés burkinabè, renseigne qu’à Koudougou, la lettre de protestation n’a pas trouvé de destinataire, soulignant qu’à Ouagadougou, la marche a été «dispersée au lacry».

C’est à juste titre que L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso (2e capitale du Burkina Faso), fait remarquer dans sa rubrique ‘’Autant le dire » que «C’est à Ouaga que le gouvernement a bandé les muscles».

Le quotidien national Sidwaya, pour sa part, met en exergue : «Marche non autorisée du 16 septembre : la police disperse les manifestants à Ouagadougou».

Dans son commentaire ‘’Trait de plume », le journal parle de «la responsabilité syndicale», faisant observer qu’«alors que l’opinion publique nationale dans son intégralité convient que l’heure est grave au pays des Hommes intègres, l’atmosphère, ces derniers jours, a été polluée par les guerres que se sont livrées les centrales syndicales sur fond de marche-meeting, décrétée par une aile».

Pour l’éditorialiste de Sidwaya, le Burkina Faso est à un tournant historique majeur.

Par conséquent, poursuit-il, «le pays que nos ancêtres nous ont légué au prix du sang et de la sueur surtout dans la période difficile des années 1932-1947, mérite mieux que les foires d’empoigne et les querelles de chiffonniers auxquelles nous assistons actuellement».

Lutte contre le terrorisme et grève, au menu des journaux burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce lundi commentent l’actualité nationale relative aux mouvements sociaux, sans oublier le sommet extraordinaire de la CEDEAO sur la lutte contre le terrorisme, tenu le weekend écoulé à Ouagadougou.«Sommet sur le terrorisme: Un engagement d’un milliard de dollars US pour vaincre les forces du mal», arbore le quotidien national Sidwaya.

Le journal informe que le sommet extraordinaire de la conférence des Chefs d’Etat et de gouvernement de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) sur la lutte contre le terrorisme s’est achevé, le samedi 14 septembre 2019 à Ouagadougou, avec à la clé, plusieurs décisions. 

Pour sa Part, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés burkinabè, affiche : «Lutte contre le terrorisme : le CEDEAO apporte 1 milliard de $ à l’effort de guerre».

Quant à Le Pays, il met en exergue : «La CEDEAO se dote d’un plan d’action pour vaincre l’hydre», avant de publier «le communiqué final du Sommet».

Sous le titre : «S’ouvrir ou périr», Sidwaya consacre également son éditorial au sujet.

Pour l’éditorialiste, «contrairement à ce que d’aucuns pensent, le sommet extraordinaire de Ouagadougou est loin d’être un de plus ou du surplace», ajoutant que «par ailleurs, ce geste de la CEDEAO montre que les pays ont compris qu’ils ont beau avoir des armées bien équipées et bien formées, ils ne peuvent pas grand-chose si derrière leurs frontières, c’est le vide».

«Sommet de la CEDEAO sur le terrorisme : Le G5-Sahel sous éteignoir, vive le G5-Sahel-côtier !», s’exclame, de son côté, Aujourd’hui au Faso.

Ce journal privé renseigne que de la rencontre de Ouagadougou, il ressort que la CEDEAO va devoir se coltiner la somme de 1 milliard de dollars et d’ici 3 mois au sommet de décembre à Abuja, arrêter un plan d’actions en 8 points qui sera déployé, sur 2020-2024. 

Le confrère croit savoir qu’«en décidant d’étendre la sphère géographique de ce G5-Sahel aux pays côtiers et même au Cameroun par exemple, la CEDEAO voit grand, en même temps qu’elle signifie le demi-échec de cette force censée jalonner 5 000 hommes tout au long de 3 fuseaux sahéliens pour circonscrire un terrorisme, qui paradoxalement est très actif ces derniers mois au Burkina et au Mali».

Revenant sur la marche-meeting de l’Unité d’action populaire (UAP), prévue pour ce lundi, Aujourd’hui au Faso pose la question de savoir : «Quelle issue dans le bras de fer gouvernement/UAP ?». 

Dans ses ‘’Confidences du weekend », Le Pays mentionne : «Marche-meeting du 16 septembre : la manif interdite à Ouaga par la mairie». 

Pendant ce temps, L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso (2ecapitale du Burkina Faso), à travers sa rubrique ‘’Autant le dire », titre : «Grève et marches +c’est aujourd’hui, c’est demain». 

Syndicalisme et sommet de la CEDEAO au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce vendredi accordent un intérêt particulier au sommet de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) qu’abrite Ouagadougou, sans oublier l’actualité marquée par le syndicalisme.Les quotidiens burkinabè de ce vendredi accordent un intérêt particulier au sommet de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) qu’abrite Ouagadougou, sans oublier l’actualité marquée par le syndicalisme. 

«Grève du 16 septembre : Des syndicats s’en démarquent», titre le quotidien privé Le Pays, informant que la Coalition des syndicats libres et indépendants regroupant cinq centrales syndicales et environ 18 syndicats autonomes, a animé, hier jeudi à Ouagadougou, une conférence de presse.

Selon le journal, au cours de la rencontre avec les journalistes, la coalition a indiqué clairement sa non-participation à la manifestation du lundi prochain, organisée par l’Unité d’action syndicale (UAS).

A ce propos, Le Quotidien affiche : «Marche-meeting du 16 septembre : la Coalition nationale des syndicats libres et indépendants se démarque de l’UAS».

Quant à L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, il fait remarquer que «la désolidarisation (des syndicats) se poursuit», avant de préciser que «5 centrales syndicales quittent les rangs».

Le même journal arbore, en première page : «Sommet CEDEAO sur le terrorisme : La diplomatie et la défense à l’abordage en attendant les chefs d’Etat».

Dans son ‘’Regard sur l’actualité », l’éditorialiste de L’Observateur Paalga indique que le sommet de la CEDEAO qui se tient samedi à Ouagadougou sur le terrorisme, devrait permettre d’«élargir le G5 Sahel pour mieux étouffer la bête».

De son côté, le quotidien national Sidwaya, met en exergue : «Insécurité dans l’espace CEDEAO : le conseil de médiation propose un plan d’urgence».

« Sommet extraordinaire CEDEAO sur le terrorisme : TD (Travaux dirigés) et TP (Travaux pratiques) sécuritaires pour 15 dirigeants à Ouagadougou», affiche pour sa part, Aujourd’hui au Faso.

«Voulu par Roch Kaboré et entériné par ses pairs lors du 55e sommet de la CEDEAO tenu à Abuja au Nigeria, fin juin 2019, la rencontre de demain 14 septembre des dirigeants de l’organisation continentale, consacrée à la lutte contre le terrorisme qui rassemble les dirigeants de la CEDEAO, élargi au G5-Sahel, se veut un aparté pour une lutte armée ou non commune à la sous-région contre ce monstre aux tentacules innombrables», rappelle le confrère.

Aujourd’hui au Faso, croit savoir que la rencontre de Ouagadougou est «une concrétisation des propositions du sommet du G7 de Biarritz (du 24 au 26 août 2019) lors duquel, Angela Merkel et Emmanuel Macron, ont émis l’idée d’un spectre plus large du G5-Sahel, englobant les pays côtiers tels la Côte d’Ivoire, le Togo, le Ghana, …».

Syndicalisme et société en couverture des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè présentent, ce mercredi, des menus diversifiés où l’on retrouve les faits de société, avec un accent particulier sur la marche-meeting, en vue, de l’Union d’action syndicale (UAS).Le quotidien privé Aujourd’hui au Faso arbore, en première page, les propos du Secrétaire général (SG) de la Confédération générale du travail-Burkina (CGT-B), Bassolma Bazié qui déclare : «Le meeting de l’UAS du 16 septembre aura lieu car pas interdit».

Selon le journal, les structures membres de l’unité d’action populaire ont annoncé, hier mardi lors d’une conférence de presse, qu’elles organisent une journée nationale de protestation le 16 septembre 2019, sur toute l’étendue du territoire.

«Cette journée sera ponctuée d’une grève de 24 heures, des marches suivies de meeting», écrit Aujourd’hui au Faso.

A ce propos, L’Observateur Paalga, le plus vieux des quotidiens privés burkinabè, affiche : «Marche-meeting du 16 septembre : +Celui qui se met devant notre rouleau compresseur…+», citant ainsi, le SG de la CGT-B, Bassolma Bazié.

De son côté, Le Pays, autre quotidien privé, titre : «An IV du putsch manqué : Syndicats et OSC sonnent la mobilisation».

Pendant ce temps, le quotidien national Sidwaya, sous le titre : «Fautes sur les écriteaux publics : Une source de savoirs impurs pour les scolaires», évoque un problème de société.

Le confrère fait remarquer que «de nombreux affiches, indiquant généralement des commerces et des structures dans la ville de Ouagadougou, sont truffées de fautes d’orthographe», avant de souligner que «l’illettrisme des uns et l’absence de rigueur des autres sont, entre autres, les raisons évoquées».

Pour sa part, L’Observateur Paalga aborde un problème sanitaire, notamment, le cancer du col de l’utérus au Burkina Faso, mentionnant que «les gynécologues (sont) en ordre de bataille sur un terrain invasif».

Situation sécuritaire, société et politique au menu des quotidiens burkinabè

Les journaux burkinabè de ce mardi évoquent, entre autres sujets, la politique et les faits de société, sans oublier la situation sécuritaire marquée par la recrudescence du terrorisme ces derniers jours.«Burkina Faso: 29 civils et 6 pandores tués au Centre-Nord et Sahel : On ne sait plus quoi dire…», barre à sa Une le quotidien privé Aujourd’hui au Faso.

Dans son commentaire, le journal fait remarquer que «le titre pourrait dire aussi +aveu de manque d’inspiration+. Ou d’impuissance», avant de relever que «mais c’est plutôt l’expression du summum de l’exaspération, de la désolation et du  dépassement».

Selon Aujourd’hui au Faso, «le décompte parle. Lugubrement.  En l’espace de moins d’un mois, de quelques semaines».

De son côté, L’Express  du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso (2e capitale du Burkina Faso), dans sa rubrique ‘’Autant le dire », titre «Attaques terroristes, il y a problème». 

Pour sa part, Le Pays, dans ses ‘’Révélations », informe que des présumés terroristes se sont évadés de leur cellule au commissariat de Bogodogo à Ouagadougou.

«D’après nos informations, ils (les terroristes évadés) ont réussi à perforer le mur de leur cellule pour s’enfuir», rapporte le confrère, ajoutant que les évadés «auraient utilisé leurs urines pour humidifier les briques, facilitant ainsi, leur soustraction».

Le Pays publie aussi un communiqué du Comité international de la croix rouge et du croissant-rouge (CICR) qui évoque la situation humanitaire au Burkina Faso et dans lequel il ressort que «plus de 500 000 personnes (sont) privées de soins de santé».

De son côté, le quotidien national Sidwaya consacre sa Une à un autre fait de société, notamment, la planification familiale, affichant : «Sans suivi médical, bonjour les complications !».  

Sous le titre exclamatif: «Zimbabwe : hommage à un héros !», le même journal revient sur le décès (le 6 septembre 2019) de l’ancien président zimbabwéen Robert Mugabe, informant que les obsèques auront lieu le 14 septembre prochain.

Dans sa rubrique ‘’Mardi politique », Le Pays donne la parole au député-maire de l’arrondissement n°4 de Ouagadougou, Anatole Bonkoungou qui avoue que «la gestion du foncier dans notre arrondissement, a été mauvaise et malsaine».

Le journal relate également que le président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), Newton Ahmed Barry a rencontré, hier lundi à Ouagadougou, les représentants des partis politiques et ceux des Organisations de la société civile (OSC) du Burkina Faso.

«Au cours des échanges, il (Newton Ahmed Barry) leur a fait le point des préparatifs pour la révision et la constitution du fichier électoral devant servir pour les élections de 2020 et 2021», rapporte Le Pays qui mentionne que pour la présidentielle et les législatives prochaines, «l’enrôlement débute le 1er janvier 2020».

A ce propos, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés, parle du «chronogramme de Newton», là où L’Express du Faso met en exergue «la CENI en concertation avec les partis politiques».

Politique et société au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce lundi présentent des menus variés avec une dominance des sujets relatifs aux faits de société et surtout à l’actualité politique.L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso (2e capitale du Burkina Faso), consacre sa rubrique « Autant le dire » à la politique, sous le titre: «Ces hommes politiques ne sont pas dignes».

«Mouvement Agir ensemble pour le Burkina Faso : le nouveau parti politique pour accompagner KDO (Kadré désiré Ouédraogo, Ndlr) à Kosyam (présidence du Faso)», arbore, de son côté, le quotidien privé Le Pays.

Le journal rapporte que trois principales entités se sont retrouvées le samedi 7 septembre dernier pour «sceller une alliance politique dont l’objectif est d’accompagner Kadré Désiré Ouédraogo au palais présidentiel en 2020».

Dans son commentaire « Ligne de force », Le Pays parle de la «méthode Kadré…en marche», avant de faire remarquer qu’«il y aura fatalement du piquant à l’occasion de la prochaine échéance électorale».

Pour sa part, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, se pose cette question : «Mouvement Agir ensemble : Cheval de Troie pour porter KDO à Kosyam ?».

Le même journal revient sur un cas d’intoxication ayant occasionné, en l’espace de trois jours, 13 décès, tous membres d’une famille, dans le village de Lapio, commune rurale de Didyr, région du Centre-Ouest du Burkina Faso.

Quant au quotidien national Sidwaya, il évoque un fait social dans la capitale burkinabè, sous ce titre : «Prostitution à Ouagadougou : Ces +tanties choco+ qui ravissent la vedette aux jeunes filles».

Selon Sidwaya, jadis considérée comme une affaire de jeunes filles, la prostitution est en phase de changer de visage.

«Dans la ville de Ouagadougou, ce sont des femmes, mères de plusieurs enfants et affectueusement appelées +tanties choco+ qui sont devenues les cibles privilégiées des hommes», relate le confrère.