Ousmane Sonko en Turquie : un partenariat stratégique renforcé avec Erdoğan

En visite officielle en Turquie, le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko a réaffirmé, au nom du président Bassirou Diomaye Faye, la volonté du Sénégal d’approfondir son partenariat stratégique avec la Turquie. Accueilli par le président Recep Tayyip Erdoğan à Ankara : bâtir une relation de confiance, réciproque, tournée vers l’action.

Une relation fondée sur le respect et la souveraineté

S’exprimant aux côtés de son hôte, Ousmane Sonko a rendu un hommage appuyé à la Turquie, saluant le leadership de Recep Tayyip Erdoğan. Il a rappelé les liens fraternels unissant les deux pays et salué le modèle turc de développement : « Vous êtes une source d’inspiration pour nous, et vous continuerez à l’être. »

Mais plus encore, Sonko a défendu une vision lucide des relations internationales : « Vous avez en face de vous des leaders africains de nouveau type : décomplexés, conscients de leurs responsabilités, qui ne demandent pas la gratuité, mais veulent une collaboration saine, respectueuse et équilibrée. »

Cette déclaration s’inscrit dans une volonté de rupture avec les logiques d’assistanat, pour promouvoir une coopération fondée sur la dignité et la souveraineté.

Cap sur le développement économique et la sécurité

Au cœur des discussions : l’ambitieux plan « Sénégal 2050 » et le renforcement des échanges économiques. Le Premier ministre a annoncé l’objectif d’un volume commercial de 1 milliard de dollars entre les deux pays, tout en appelant à une implication renforcée du secteur privé. Il a également souligné le rôle clé que la Turkish EximBank pourrait jouer dans le financement des projets stratégiques sénégalais.

La sécurité régionale n’a pas été en reste. Ousmane Sonko a plaidé pour une coopération accrue dans le domaine de la défense, en valorisant l’expertise de l’industrie militaire turque. « Nous croyons fermement que nous pourrons équiper notre pays des outils nécessaires à sa sécurité grâce à notre partenariat avec la Turquie », a-t-il affirmé.

Gaza, un point d’unité diplomatique

Sur le plan international, les deux dirigeants ont exprimé leur solidarité avec le peuple palestinien et dénoncé « le génocide en cours à Gaza ». Recep Tayyip Erdoğan a salué la constance et le courage de la diplomatie sénégalaise sur cette question, marquant une convergence de vues sur les enjeux géopolitiques actuels.

La visite d’Ousmane Sonko en Turquie marque une étape décisive dans le partenariat stratégique Sénégal-Turquie. Au-delà des symboles, elle traduit une volonté claire : inscrire cette relation dans une dynamique d’égalité, d’action et de transformation durable, au service des deux peuples.

Sonko en Türkiye : vers un tournant stratégique dans la coopération Sénégal–Turquie

Le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko a entamé ce mardi une visite officielle de cinq jours en Türkiye, à l’invitation du président Recep Tayyip Erdoğan. Objectif : porter la coopération Sénégal–Turquie à un niveau inédit, avec un cap fixé à un milliard de dollars d’échanges commerciaux.

Cette mission s’inscrit dans la relance active de la diplomatie économique du Sénégal, alignée sur la Vision Sénégal 2050, récemment dévoilée par le gouvernement. Les échanges commerciaux entre les deux pays ont atteint 249,1 milliards FCFA en 2024, en hausse après le recul de 2023, mais restent en deçà du record de 2022 (261 milliards FCFA).

Des projets d’envergure pour cimenter le partenariat

La coopération Sénégal–Turquie repose sur des investissements majeurs. Parmi eux : le Centre international de conférence Abdou Diouf (CICAD), financé à hauteur de 32 milliards FCFA, ou encore l’Aéroport international Blaise Diagne, achevé par le consortium turc Summa–Limak pour 74 milliards FCFA. À cela s’ajoutent le Marché d’intérêt national de Diamniadio et le Dakar Arena, deux infrastructures phares.

Les importations sénégalaises depuis la Türkiye ont bondi à 239 milliards FCFA en 2024, soit 4,8 % des importations totales, avec des produits variés : fer, acier, plastiques, agroalimentaire. Le Sénégal exporte pour sa part des produits halieutiques, minéraux et graines oléagineuses.

Une diplomatie ambitieuse, ancrée dans l’histoire

Les relations entre Dakar et Ankara remontent à 1962. La Türkiye a ouvert en 1964 sa première ambassade en Afrique subsaharienne à Dakar. Depuis, les échanges politiques et économiques se sont intensifiés. Erdoğan a effectué cinq visites officielles au Sénégal, tandis que Bassirou Diomaye Faye a visité la Türkiye à l’automne 2024.

Les deux pays collaborent désormais dans des secteurs stratégiques comme l’aérospatiale. En avril 2024, un accord a été signé pour créer une Sénégal Space Valley, fruit d’un partenariat entre les agences spatiales des deux pays. Ankara et Dakar souhaitent aussi renforcer leur coopération en matière de défense, d’environnement et de gestion de l’eau.

Cette dynamique s’inscrit dans un agenda diplomatique offensif. Fin juin, Ousmane Sonko s’est rendu en Chine, où il a défendu une coopération « respectueuse et équitable ». Il y a rencontré des géants comme Huawei et Alibaba, et jeté les bases d’un suivi renforcé des projets en cours.

Ousmane Sonko en Turquie : Forum économique et rencontre avec la diaspora à Istanbul

Du 6 au 10 août 2025, le Premier ministre Ousmane Sonko effectuera une visite officielle en Turquie, comme l’a annoncé l’Ambassade du Sénégal à Ankara. Ce déplacement s’inscrit dans une dynamique de renforcement des relations diplomatiques, économiques et sociales entre les deux pays.

Istanbul : entre forum économique et dialogue avec la diaspora

Deux événements majeurs sont programmés le samedi 9 août à Istanbul, à l’hôtel Le Méridien :

  • Dès 9h00, un Forum économique sénégalo-turc réunira des entrepreneurs, investisseurs et décideurs sénégalais et turcs. Objectif : stimuler les partenariats commerciaux, promouvoir les investissements croisés et accroître les échanges économiques.

  • À 20h00, Ousmane Sonko rencontrera la diaspora sénégalaise installée en Turquie. Ce moment d’échange permettra au Premier ministre d’écouter les préoccupations des ressortissants sénégalais, de réaffirmer l’engagement du gouvernement envers ses citoyens de l’étranger, et de renforcer les liens communautaires.

Pour une organisation fluide et sécurisée, l’Ambassade a invité trois structures clés — la Fédération des Associations sénégalaises, l’Association des Sans-papiers et celle des Étudiants — à désigner entre 10 et 20 représentants chacune. Ces délégations doivent refléter la diversité et l’inclusivité de la communauté sénégalaise en Turquie.

Ousmane Sonko en Turquie : une diplomatie orientée vers l’extérieur

Ce déplacement d’Ousmane Sonko en Turquie marque une étape importante dans la stratégie diplomatique et économique du Sénégal. Il témoigne de la volonté des autorités de placer la diaspora et la coopération internationale au cœur de leur vision de développement.

Sonko lance l’Agenda national pour refonder le service public sénégalais

Le Premier ministre Ousmane Sonko a présidé, ce lundi 4 août 2025, au CICAD, la cérémonie de présentation de l’Agenda national de transformation du service public au Sénégal. Cet événement majeur s’est tenu en présence de plusieurs membres du gouvernement, dont Olivier Boucal, ministre de la Fonction publique et de la Réforme du Service public.

Dès l’ouverture de son discours, le Chef du gouvernement a tenu à redéfinir le concept même de service public.

« Quand on parle de service public, les esprits pensent uniquement à l’administration publique. Or, il s’agit de toute activité d’intérêt général exercée par l’État ou sous son contrôle », a-t-il précisé.

Une administration à repenser

Le Premier ministre a dressé un état des lieux critique du fonctionnement de l’administration actuelle. Il dénonce une accessibilité inégale des services de base, notamment dans certaines zones reculées, et met en cause la gestion passée de l’État.

« Il faut rompre avec les logiques anciennes. Le service public doit être repensé comme un outil de régulation, de proximité et d’équité », a martelé Ousmane Sonko.

Une nouvelle vision du service public

Avec cet agenda national, le gouvernement entend transformer en profondeur le rapport entre l’État et les citoyens. Cette réforme vise à :

  • Rendre les services publics accessibles partout sur le territoire

  • Moderniser les outils de gestion et de suivi administratif

  • Instaurer une culture de performance et de transparence

Ce discours s’inscrit dans une dynamique plus large de refonte de la gouvernance publique impulsée depuis l’arrivée au pouvoir du duo Diomaye Faye – Ousmane Sonko.

Diomaye Faye acte la rupture : un Sénégal planifié, transparent et souverain

Ce vendredi 1 août, dans un discours fort et structuré, le président Bassirou Diomaye Faye a présenté le Plan de Redressement Économique et Social « Jubbanti Koom », annonçant un changement radical dans la gouvernance publique. Finie l’ère de l’improvisation : désormais, l’État planifie, chiffre et rend compte. Une démarche saluée par les partenaires internationaux comme le FMI, en quête de clarté et de rigueur budgétaire.

Une rupture assumée avec les pratiques du passé

Le président Faye n’a pas hésité à qualifier les méthodes précédentes de gestion de « lidianti », terme wolof évoquant l’improvisation. Cette logique de débrouillardise, selon lui, est à l’origine de nombreuses dérives financières, notamment l’accumulation de dettes cachées. En réponse, le plan de redressement économique du Sénégal est bâti sur une budgétisation rigoureuse de 5 667 milliards de francs CFA, avec une ventilation ligne par ligne de chaque dépense.

« C’est précisément ce type de rigueur que le FMI attendait comme réponse », a affirmé le président, qui veut rompre avec les approximations du passé pour restaurer la confiance des citoyens comme des bailleurs.

Transparence, gouvernance et reddition des comptes

Symbole de ce changement, la réactivation du Comité national de la dette publique permettra de surveiller et prévenir les abus. Diomaye Faye a donné un exemple édifiant : l’État a continué à payer des loyers pour un immeuble pourtant acquis depuis 2014, coûtant 3 milliards de francs CFA en 2024. « C’est cela que nous corrigeons, méthodiquement », a-t-il martelé.

Par ailleurs, la dissolution du HCCT et du CESE a permis de réorienter les budgets vers des priorités sociales concrètes. Résultat immédiat : le recrutement de 2 000 enseignants. Une démonstration tangible des bénéfices du redressement économique.

Une vision patriotique et inclusive du développement

Diomaye Faye appelle à un patriotisme économique : « Nous devons d’abord compter sur nous-mêmes », a-t-il insisté. Citant l’excellence du jeune Pape Natango Mbaye, il a rappelé que la principale richesse du pays reste sa jeunesse, sa résilience et sa capacité à bâtir un avenir souverain.

Le plan de redressement économique du Sénégal se veut aussi participatif. Les consultations nationales, les États généraux, les assises, témoignent d’une volonté d’impliquer les citoyens dans la transformation du pays.

« Ce que nous envisageons de faire ne se fera pas sans vous, mais avec vous et pour vous », a conclu le président.

Le plan « Jubbanti Koom » incarne bien plus qu’un programme économique. Il symbolise la volonté de reconstruire un État fort, juste et responsable, où chaque franc public est investi avec transparence, où chaque citoyen est acteur du redressement. Le Sénégal entre ainsi dans une nouvelle ère, où gouverner, c’est prévoir — et rendre des comptes.

Sonko dévoile le Plan de redressement économique du Sénégal : cap sur la souveraineté et la transparence

Le Premier ministre Ousmane Sonko a lancé, vendredi 1er août 2025, le Plan de redressement économique et social (PRES). La cérémonie s’est tenue au Grand Théâtre de Dakar, en présence du président Bassirou Diomaye Faye, de membres du gouvernement et de la société civile. Ce plan vise à sortir le pays de l’impasse économique actuelle.

Baptisé « Jubbanti Koom », il s’inscrit dans la lignée de programmes comme le PREF, le plan Sakho-Loum ou le Plan Sénégal Émergent (PSE). Cette fois, l’approche change : plus rigoureuse, plus axée sur la souveraineté nationale.

Des finances publiques assainies et orientées vers l’avenir

Pour relever les défis budgétaires, le PRES mise sur des ressources domestiques mieux mobilisées. Il prévoit notamment une fiscalité environnementale, le recours au capital-investissement, et l’émission d’obligations vertes. La valorisation des actifs publics est aussi au programme.

Objectif : restaurer la souveraineté économique, sans alourdir la dette ni céder les ressources nationales. Le président Diomaye Faye a salué ce plan, le qualifiant de « démarche de vérité ». Il a insisté sur l’importance d’un chiffrage rigoureux et d’une gouvernance fondée sur la transparence, la rupture et l’efficacité.

Il a également annoncé la relance du Comité national de la dette publique, afin de renforcer la prévisibilité de l’endettement.

Transparence et réformes : le nerf du redressement

Le président a souligné les réformes déjà engagées. Une session extraordinaire de l’Assemblée a permis l’adoption de quatre lois contre la corruption. Celles-ci renforcent le cadre juridique de la transparence publique.

Autre décision forte : la suppression du HCCT et du CESE. Les fonds libérés serviront à recruter 2 000 enseignants. Une anomalie a aussi été corrigée : un immeuble appartenant au HCCT, acquis en 2014, continuait de générer 3 milliards FCFA de loyers en 2024 alors qu’il était déjà propriété de l’État.

Une vision claire pour l’avenir

Avec ce plan de redressement économique du Sénégal, le gouvernement pose les bases d’un modèle nouveau. Sobriété, transparence, innovation : trois piliers pour relancer durablement l’économie. Le cap est fixé vers Sénégal 2050, avec l’ambition d’une croissance souveraine, équitable et résiliente.

Présidentiel Côte d’Ivoire 2025: Ahoua Don Mello défie Gbagbo et se pose en rival de Ouattara

C’est désormais officiel. L’ancien ministre ivoirien Ahoua Don Mello a déclaré sa candidature à la présidentielle du 25 octobre 2025, lors d’une conférence de presse tenue jeudi 31 juillet à Abidjan. Face à l’inéligibilité de Laurent Gbagbo, son ancien mentor, il entend incarner une opposition souverainiste capable de rivaliser avec le président sortant Alassane Ouattara, candidat à un quatrième mandat controversé.

Vêtu d’un costume noir sobre, Don Mello affirme : « Je déclare solennellement ma candidature à l’élection présidentielle. » Il se dit toujours fidèle à Gbagbo, mais rejette la stratégie du boycott. “Si trahir la lutte, c’est d’enlever Ouattara, eh bien, je préfère une telle trahison”, a-t-il martelé.

Révocation immédiate par Laurent Gbagbo

La réaction du Parti des peuples africains – Côte d’Ivoire (PPA-CI) n’a pas tardé. Dans un communiqué sec, le président exécutif du parti, Sébastien Dano Djédjé, annonce la révocation immédiate de Don Mello de ses fonctions de vice-président en charge du panafricanisme. “Bonne continuation à lui”, conclut-il sobrement.

Cette rupture illustre les tensions internes au sein du parti et surtout, les manœuvres pour l’après-Gbagbo. Plusieurs figures du PPA-CI hésitent entre loyauté absolue et affirmation anticipée.

Une lutte pour l’héritage politique de Gbagbo

Pour le politologue Netton Prince Tawa, deux lignes s’opposent. “Certains cadres misent sur la fidélité à Laurent Gbagbo jusqu’à son dernier souffle politique. D’autres, comme Ahoua Don Mello, préfèrent se positionner dès maintenant.”

Cependant, le politologue juge la candidature de Don Mello peu menaçante pour Ouattara. Son passé de militant communiste et son isolement dans l’appareil partisan ne jouent pas en sa faveur.

En parallèle, Gbagbo, Blé Goudé, Guillaume Soro et Tidjane Thiam ont tous été exclus de la course, pour des raisons judiciaires ou administratives. La voie semble donc libre pour Ouattara, sauf surprise de dernière minute.

Pape Natango Mbaye reçoit la première Médaille Gaïndé : un hommage à la persévérance

Le Concours général 2025 a vécu un moment fort d’émotion. Pape Natango Mbaye, élève en situation de handicap, a reçu la première Médaille Gaïndé des mains du président Bassirou Diomaye Faye. Cette nouvelle distinction récompense le courage, l’excellence et la résilience.

Une récompense pour un parcours hors du commun

En série scientifique (S2), Pape Natango Mbaye a obtenu la mention Bien au lycée Ngane Saër, à Kaolack. Malgré un handicap physique, il a passé ses examens en écrivant avec ses pieds. Grâce à sa détermination, il a impressionné tout le pays.

Le ministère de l’Éducation nationale salue ce parcours exceptionnel. Il y voit « une véritable leçon de persévérance et de dépassement de soi ». Pour le président Faye, cette Médaille Gaïndé, qui porte le nom du lion national, envoie un message clair : aucun obstacle ne doit freiner l’excellence.

Une école plus inclusive, une jeunesse inspirée

Créée en 2025, la Médaille Gaïndé vise à mettre en valeur les talents qui surmontent les difficultés. Pape Natango Mbaye en est le tout premier lauréat. Son histoire prouve que le mérite n’a pas de barrière.

De plus, il est sorti premier de son centre d’examen, devenant une figure d’inspiration pour toute une génération. Les réseaux sociaux se sont rapidement emparés de son parcours, provoquant admiration et fierté.

Enfin, lors de la cérémonie du Concours général, il recevra sa décoration aux côtés des meilleurs élèves du pays. Le Sénégal affirme ainsi sa volonté de bâtir une école inclusive, qui valorise l’effort, le mérite et l’équité.

Afrobasket féminin 2025 : le Sénégal écrase le Rwanda et file en quarts contre la Côte d’Ivoire

Le Sénégal poursuit sa course vers le titre à l’Afrobasket féminin 2025. Ce mercredi 30 juillet, les Lionnes ont surclassé le Rwanda (80-37) lors des barrages qualificatifs, s’assurant ainsi une place en quarts de finale.

Le choc des quarts les opposera à la Côte d’Ivoire, pays hôte, ce jeudi 31 juillet à 18h00 GMT, au Palais des Sports de Treichville à Abidjan. Une rencontre explosive s’annonce entre deux équipes ambitieuses.

Le programme complet des quarts

  • Ouganda vs Soudan du Sud – 12h00 GMT

  • Mali vs Mozambique – 15h00 GMT

  • Sénégal vs Côte d’Ivoire – 18h00 GMT

  • Nigéria vs Cameroun ou Angola – 21h00 GMT

Les meilleures nations du basket féminin africain se disputent désormais l’accès au dernier carré. Après cette démonstration face au Rwanda, le Sénégal semble plus que jamais prêt à reconquérir le trône continental.

CHAN 2025 : le Sénégal défendra son titre dans un groupe relevé avec le Nigeria, le Congo et le Soudan

Le Sénégal, champion en titre du CHAN, connaît désormais ses adversaires pour la phase de groupes de l’édition 2025. Logés dans le groupe D, les hommes de Souleymane Diallo croiseront le fer avec le Nigeria, le Congo et le Soudan, dans une poule particulièrement relevée.

Le tournoi, qui se tiendra du 2 au 30 août 2025, sera coorganisé par la Tanzanie, l’Ouganda et le Kenya, une première dans l’histoire du Championnat d’Afrique des Nations.

Le programme du Sénégal au CHAN 2025

  • 5 août à 17h00 GMT : Sénégal vs Nigeria
    Stade Amaan, Zanzibar

  • 12 août à 14h00 GMT : Sénégal vs Congo
    Stade Amaan, Zanzibar

  • 19 août à 17h00 GMT : Sénégal vs Soudan
    Stade Amaan, Zanzibar

Le stade Amaan de Zanzibar, unique théâtre des matchs des Lions locaux durant cette phase de groupes, sera donc le témoin de leur quête pour un second sacre consécutif.

Porté par une nouvelle génération ambitieuse, le Sénégal vise un doublé historique, mais devra d’abord franchir un groupe où chaque match s’annonce décisif. Le choc d’ouverture contre le Nigeria, autre poids lourd du continent, sera un véritable test d’entrée pour les tenants du titre.