La Fondation GALIEN, lance le « Prix Galien Afrique » à partir de 2020

Dans le domaine des recherches scientifiques, pharmacologiques et dans les innovations biotechnologiques, la Fondation Galien qui décerne le prix Galien depuis 1970 aux meilleurs recherches, a décidé, depuis peu, de lancer le « prix Galien Afrique  » qui sera remis de manière exclusive en Afrique chaque année et ce à compter de 2020. Cette annonce faite par le président de la fondation en question, Bruno Cohen, sera officielle lors du » deuxième Forum Galien » prévu à Dakar, les 25 et 26 novembre 2019. 

Il donnait une conférence de presse, avec le professeur Awa Marie Coll Seck, présidente du comité scientifique du Forum Galien Afrique, en prélude de la deuxième édition de cette rencontre scientifique.
« Bien plus qu’une récompense, ce prix devrait permettre d’encourager la recherche et l’innovation scientifique en Afrique », a souligné M. Cohen.
Les 25 et 26 novembre, « Dakar sera la capitale de la santé et de l’innovation, avec quelque mille participants attendus dont plus de 300 experts et étudiants en médecine, en pharmacie et odontostomatologie », a-t-il dit.
Des personnalités politiques et des responsables de la société civile, des récipiendaires du Prix Nobel de médecine et du Prix Nobel de la paix prendront part à cette rencontre, selon Bruno Cohen.
Interrogé sur le retour à Dakar, qui avait accueilli l’édition 2018 du Forum Galien Afrique, M. Cohen affirme que la capitale sénégalaise est « un petit village suisse devenu le rendez-vous annuel des décideurs politiques mondiaux ».
« Le Forum Galien Afrique veut faire de Dakar un point de convergence des experts, sur la chaîne scientifique internationale », a-t-il ajouté.
Selon le professeur Awa Marie Coll Seck, la rencontre de Dakar devrait permettre de « porter haut le flambeau de la science et [aider] l’Afrique [à] mieux élaborer son système de santé publique ».
Les étudiants en médecine attendus au forum vont prendre part à des ateliers durant lesquels il y aura des « échanges interactifs », sur les maladies en Afrique, notamment les maladies tropicales négligées, selon Mme Seck