USA : Diversité de genre dans le gouvernement Joe Biden.

Investiture du 46e Président américain, Joe Biden, un homme novateur.

En effet, hier le président Joe Biden a été investi 46e président des États-Unis, quelques minutes après que Kamala Harris a prêté serment en tant que première femme vice-présidente. Donald Trump, quant à lui, s’est envolé pour la Floride sans assister à la cérémonie d’investiture.

C’est alors, un nouveau président et nouvelle équipe qui déposent ses valises à la maison blanche. Joe Biden, apparait pour la majorité du peuple américain et du monde d’ailleurs comme un sauveur. Car dans le film de l’élection présidentielle américaine Joe Biden est le héros et Donald Trump le méchant.

Mais si l’absence de ce dernier s’est fait remarquer, plusieurs présidents ont félicité Joe Biden pour son investiture. De plus, les présidents Barack Obama, George W. Bush et Bill Clinton faisaient partie des invités. Ils étaient accompagnés de leurs épouses Michelle Obama, Laura Bush et Hillary Clinton.

Cependant, le président Joe Biden ne rentre pas dans l’histoire américaine que parce qu’il est le plus vieux président élu, mais parce qu’il a osé là où d’autres ont courbé l’échine. En effet, il a déjà annoncé les couleurs, car il se veut être un président novateur.  Il avait déjà déclaré, qu’il était pour la diversité des genres puisque pour lui l’Amérique est un ensemble de culture, de personnes avec des caractéristiques différentes, donc pas d’exclusion pour une minorité.

Son gouvernement est bien la preuve, qu’il est avant-gardiste. Il est le premier Président qui a comme futur ministre des Transports, une personne homosexuelle et une première ministre transgenre adjointe de la Santé au sein de son gouvernement. Que nous réserve de plus Joe Biden, qui sans le douter vient de jouer un gros coup.

Primaires démocrates: Sanders confortablement en tête en Californie

Le sénateur Bernie Sanders était confortablement en tête en Californie à l’issue des primaires démocrates du « Super Tuesday », même si les médias américains se montraient prudents avant de le déclarer vainqueur dans l’Etat qui fournit le plus gros contingent de délégués pour l’investiture présidentielle.

Selon plusieurs médias, alors que le dépouillement de 80% des bureaux de vote avait été réalisé mercredi matin, le sénateur socialiste obtenait 33% des voix, contre 24,2% à l’ancien vice-président Joe Biden, qui représente l’aile plus modérée du parti démocrate.

Une victoire permettrait à Bernie Sanders de sauver l’honneur et de s’inscrire dans un duel de longue haleine face à Joe Biden, redevenu le favori grâce à une avalanche de succès dans la majorité des 14 Etats qui votaient lors du « super mardi ».

A ce stade, le milliardaire Michael Bloomberg, qui a beaucoup investi de sa fortune personnelle en Californie, flirtait dans cet Etat avec le seuil des 15% nécessaire pour y obtenir des délégués. La sénatrice Elizabeth Warren était elle reléguée en-deçà de cette barre.

Malgré l’avance de « Bernie », l’Etat le plus peuplé du pays, bastion de la gauche, n’avait toujours pas été attribué à un candidat par la plupart des médias.

En Californie, en effet, les électeurs pouvaient voter par courrier jusqu’à mardi inclus. Les suffrages vont donc continuer à affluer dans les prochains jours, et pourraient resserrer les écarts s’ils reflètent la dynamique engrangée par Joe Biden depuis le week-end.

En 2016, il avait fallu près d’un mois à compter tous les bulletins de vote pour Hillary Clinton et Bernie Sanders lors de la précédente primaire démocrate, et l’écart en faveur de la première s’était nettement resserré au fil du dépouillement. D’autant que ces votes par correspondance sont devenus prépondérants dans le scrutin californien.