L’Union pour la République et la Démocratie (URD), un parti politique qui vient de voir le jour au Burkina Faso, ambitionne de promouvoir «une société de liberté et de justice», a déclaré son président, Albert Elisée R. Kiemdé, mardi à Ouagadougou.S’exprimant au cours d’une conférence de presse, M. Kiemdé a expliqué que l’URD veut surtout «répondre aux attentes des populations burkinabè», en apportant sa «contribution à la réflexion, au débat d’idées et à la mise en œuvre d’un programme qui vise à la relance économique et social du pays».
Il a expliqué que son parti d’obédience sociale-démocrate ambitionne également de créer une société de liberté et de justice qui aura pour fondement le travail.
«Pour y parvenir, les militants et les sympathisants du parti, libérés de toutes formes d’oppressions et de terreurs, devront s’accorder sur un seul principe, une seule méthode de travail : la démocratie», a ajouté M. Kiemdé.
Créée en juillet 2018, l’URD dispose d’un bureau composé de 14 membres. Ce nouveau-né, porte à 149 le nombre de partis politiques au Burkina Faso.