Hydrocarbures : Le Sénégal franchit un cap historique dans la production de pétrole et de gaz

Le Sénégal franchit un tournant décisif dans sa stratégie énergétique. Le rapport mensuel d’avril 2025, publié ce lundi par le ministère de l’Énergie, du Pétrole et des Mines, révèle une nette progression de la production sur les sites clés que sont Sangomar, Grand Tortue Ahmeyim (GTA) et Gadiaga. Ces résultats marquent un pas stratégique vers la souveraineté énergétique et la consolidation des revenus publics.

Au large, le champ pétrolier de Sangomar confirme sa stabilité. Quatre cargaisons de pétrole brut – identifiées de SAN027 à SAN030 – ont été vendues en avril, représentant un total de 3,8 millions de barils. Malgré les fluctuations du marché, les prévisions annuelles restent inchangées, avec un objectif de 30,53 millions de barils en 2025. Ce rythme soutenu témoigne d’une exploitation maîtrisée et rentable.

Plus au nord, le projet gazier Grand Tortue Ahmeyim, fruit d’un partenariat avec la Mauritanie, a franchi une étape symbolique. Le 15 avril, la toute première cargaison de gaz naturel liquéfié (GNL), d’un volume de 163 259 m³ – soit 3,71 millions de MMBtu – a été chargée. Cet événement marque l’entrée officielle du Sénégal et de son voisin dans le cercle restreint des pays exportateurs de GNL. La montée en puissance du site se poursuit, avec des installations progressivement mises en service.

Dans la région de Thiès, le site terrestre de Gadiaga poursuit également ses efforts. Il a produit 548 078 Nm³ de gaz naturel sur le premier trimestre, dont 219 809 Nm³ rien qu’en avril. Bien que plus modeste, cette production contribue directement à l’alimentation locale en énergie, renforçant la résilience énergétique du pays.

Entre la régularité de Sangomar, l’innovation de GTA et la continuité de Gadiaga, le Sénégal affiche une ambition claire : diversifier ses sources de revenus, réduire sa dépendance énergétique et s’imposer comme un acteur régional majeur dans le secteur des hydrocarbures.

CORAF : assurer la pérennité des parcs agricoles en Afrique de l’Ouest et du Centre

Alors que le Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricole (CORAF) prépare ses activités pour 2025, la question du financement demeure centrale. Ce mardi, l’organisation a tenu une réunion pour évaluer la campagne 2024 et planifier l’expansion des parcs de technologies agricoles dans la région.

La suspension des financements de l’USAID constitue un défi, mais le CORAF reste confiant. Le Dr Lamien Nieyidouba , chargé de programme, a souligné que l’organisation n’a jamais voulu dépendre d’un seul bailleur. « Nous bénéficions du soutien de partenaires comme la Banque mondiale et la coopération suisse, qui continuent à nous accompagner » , a-t-il affirmé.

Pour pérenniser son action, le CORAF mise sur une diversification des financements et l’implication des gouvernements locaux . L’objectif est d’ étendre ces parcs et de rapprocher les innovations des producteurs .

Le Sénégal, pionnier des parcs agricoles en Afrique de l’Ouest

Depuis 2020, le Sénégal est un modèle régional dans le développement des parcs de démonstration . Initialement installés à Bambey , ces parcs sont désormais présents dans sept régions .

Cette initiative a été portée par le Dr Aliou Faye , chercheur à l’ Institut Sénégalais de Recherche Agricole (ISRA) . Il a développé la plateforme I-RICH , qui vise à diffuser les innovations agricoles au-delà des laboratoires.

Les parcs de démonstration adoptent une approche « one-stop show » , rassemblant des variétés améliorées, des pratiques culturelles innovantes et des outils d’aide à la décision . Leur impact est visible :

La variété de mil SL 28 affiche un rendement de 3,7 tonnes/hectare , contre moins d’une tonne pour les variétés traditionnelles.
Un agriculteur cultivant trois hectares peut obtenir jusqu’à 10 tonnes de mil , assurant sa sécurité alimentaire et un surplus commercialisable .

Une approche complète pour transformer l’agriculture

Les parcs de technologies agricoles s’appuient sur trois piliers :

Variétés améliorées : adaptées aux conditions climatiques pour maximiser le rendement.
Pratiques culturelles innovantes : comme l’ association mil-niébé , qui améliore la rétention d’eau et la résilience climatique.
Outils d’aide à la décision : pour ajuster les stratégies agricoles selon l’environnement.

L’impact de cette approche est scientifiquement prouvé , avec plusieurs mémoires d’ingénieurs agronomes validant les résultats obtenus.

Un appel aux gouvernements et au secteur privé

Pour garantir l’extension de ces parcs , le Dr Nieyidouba appelle les autorités nationales à soutenir financièrement cette initiative. Il plaide également pour une mobilisation du secteur privé , afin d’ accélérer l’adoption des technologies agricoles.

L’avenir des parcs de technologies agricoles repose sur une coopération renforcée entre bailleurs, États et acteurs du secteur privé . Leur succès au Sénégal montre qu’une agriculture plus performante et résiliente est possible en Afrique de l’Ouest et du Centre .

Un « New Deal Technologique » pour accélérer la transformation numérique

Un tournant majeur pour le numérique sénégalais

Le Sénégal franchit une nouvelle étape dans sa transformation numérique avec le lancement du « New Deal Technologique » , une stratégie ambitieuse visant à moderniser l’administration et à stimuler l’économie numérique. Le président Bassirou Diomaye Faye a dévoilé cette initiative lors d’une cérémonie au Centre International de Conférences Abdou Diouf (CICAD) .

Une vision axée sur l’innovation et la souveraineté numérique

Porté par le ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique, ce projet repose sur trois piliers :

Souveraineté numérique : garantir l’indépendance technologique du Sénégal.
Digitalisation des services publics : moderniser l’administration pour une meilleure efficacité.
Développement de l’économie numérique : soutenir l’innovation, les startups et les investissements technologiques.

Le New Deal Technologique s’inscrit dans la continuité de la Stratégie Nationale SN VISION 2050 – OS6 , qui place la révolution numérique au centre du développement du pays.

Une ambition forte pour l’avenir

Dès son arrivée au pouvoir, Bassirou Diomaye Faye a exprimé sa volonté de transformer l’administration grâce au numérique. Cette nouvelle stratégie marque un tournant décisif pour positionner le Sénégal comme un leader africain dans le domaine technologique.

Un Sénégal plus numérique, plus performant, plus innovant : le pari est lancé !

La Société Africaine de Raffinage marque une étape décisive avec le raffinage du premier pétrole brut national

Le Sénégal prend un virage stratégique avec le raffinage du pétrole de Sangomar

La Société Africaine de Raffinage (SAR) a franchi un jalon historique dans l’industrie pétrolière du Sénégal avec le raffinage réussi du tout premier pétrole brut national, celui de Sangomar. L’annonce a été faite par la Direction Générale de l’entreprise le jeudi 13 février, marquant une étape déterminante pour le pays dans sa quête d’autonomie énergétique.

Dans son communiqué, la SAR indique que les résultats du raffinage ont été pleinement satisfaisants. Le transfert des produits dérivés, notamment le fuel et le gasoil, est actuellement en cours vers les zones de stockage dédiées.

Ce succès revêt une importance capitale pour le Sénégal, soulignant la capacité du pays à traiter et à valoriser ses propres ressources pétrolières. La Direction de la SAR a insisté sur l’importance du savoir-faire local et de l’excellence opérationnelle qui ont permis de mener à bien cette opération stratégique.

L’entreprise nationale n’a pas manqué de rendre hommage à toutes les parties prenantes. « La SAR exprime sa gratitude à l’ensemble du personnel, aux autorités sénégalaises, ainsi qu’à ses partenaires techniques et financiers pour leur rôle essentiel dans cette réalisation », peut-on lire dans le communiqué.

Cette avancée positionne désormais la SAR comme un acteur incontournable dans la marche vers la souveraineté énergétique du Sénégal. Selon l’entreprise, ce succès ouvre la voie à de nouvelles perspectives pour le pays, renforçant son potentiel en tant que futur hub pétro-industriel régional.

Pour la SAR, cette étape n’est pas qu’un accomplissement technique. Elle symbolise également un tournant dans son développement, consolidant son expertise et son engagement à contribuer activement à la transformation énergétique du Sénégal.

Signature d’une convention entre l’EF du Sud et Sonatel pour le déploiement du service universel au Sénégal

Le 30 décembre 2024, l’École de Formation du Sud (EF du Sud) et la Sonatel ont officialisé un partenariat stratégique pour améliorer la connectivité numérique dans les régions rurales du Sénégal. Ce projet ambitieux vise à offrir un accès aux services de télécommunication à environ 1,7 million de personnes vivant dans des zones où l’accès au numérique est encore limité.

Une lutte contre l’« obscurité numérique »

Les zones ciblées comprennent les régions le long du fleuve Sénégal, le Sénégal oriental, ainsi que les régions du sud comme Sédhiou et le centre du pays. Ces zones, souvent appelées « zones d’obscurité numérique », bénéficieront d’une expansion significative grâce à cette initiative.

Mme Diop Blondin, coordinatrice du Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT), a souligné l’importance de mobiliser les ressources nécessaires pour répondre aux attentes des autorités et des opérateurs.

Un projet de développement durable

Selon le directeur général de Sonatel, M. Sékou Dramé, ce projet s’inscrit dans la vision du gouvernement sénégalais pour accélérer le développement numérique et démocratiser l’accès aux services de télécommunication. Il a également rappelé l’objectif d’installer plus de 500 sites au cours des dix prochaines années, consolidant ainsi la connectivité et stimulant le développement économique des zones rurales.

Le service universel : un droit essentiel

Ce projet traduit l’objectif national de faire de l’accès à la télécommunication un service aussi fondamental que l’eau ou l’électricité, conformément aux recommandations de l’Union Internationale des Télécommunications (UIT).

Grâce à cette convention, le Sénégal franchit une nouvelle étape dans sa transformation numérique, tout en réduisant la fracture numérique entre les zones urbaines et rurales.

 

La Somisen lance un audit financier des sociétés minières sénégalaises

La Somisen (Société des Mines du Sénégal) a décidé de mener un audit financier des sociétés minières opérant au Sénégal. Cette démarche découle de la loi n°2020-31 du 06 novembre 2020, qui a permis la création de la Somisen. L’objectif est de garantir une gestion optimale des ressources minières et d’assurer une meilleure valorisation des parts détenues par l’État dans ces entreprises.

Lancement de l’audit financier

Depuis juin 2024, la Somisen a commencé une analyse approfondie des actions de l’État dans les sociétés minières. Cet audit, divisé en deux phases, a permis d’identifier les entreprises où l’État détient des parts. Par exemple, dans le secteur de l’or, l’État possède 10% des actions dans plusieurs sociétés : Sabadola Gold Opération, Petiwal Mining Company (PMC) SA, Sored-Mines, Afrigold, MANAGEM-BOTO SA, et Makabingui Gold Opérations (MGO).

Part de l’État dans d’autres secteurs miniers

Dans le domaine du phosphate, les parts de l’État varient. Il détient 15% des actions des Industries Chimiques du Sénégal, et 10% dans des entreprises comme Baobab Mining and Chemical Corp. SA et la Société Minière de la Vallée du Fleuve Sénégal. Concernant d’autres ressources comme le zircon, le calcaire et l’attapulgite, l’État possède également 10% des actions dans des sociétés telles que Grande Côte Opérations (GCO), Ciments de l’Afrique Cimaf, Dangote Industries Sénégal SA, et Sénégal Mines. La Société des Mines de fer du Sénégal Oriental est la seule entreprise où l’État détient une part majoritaire de 98%.

Faiblesses de la gestion actuelle

L’audit a révélé que la part de l’État dans les opérations minières est insuffisamment valorisée. Il a aussi montré que l’État n’a, dans la majorité des cas, jamais perçu de dividendes ou que les montants reçus sont insignifiants par rapport à la richesse générée. Cela résulte de pratiques financières et conventionnelles peu transparentes et inefficaces.

Réformes proposées

Pour remédier à cette situation, la Somisen a lancé un audit complet de toutes les sociétés minières concernées. Elle a adressé une correspondance à toutes les entreprises pour les informer de cette initiative. Une fois l’audit terminé, la Somisen remettra un rapport d’évaluation aux autorités, accompagné de recommandations stratégiques. Ces recommandations viseront à améliorer la rentabilité du portefeuille minier de l’État et à garantir une gouvernance responsable des ressources minières, conformément à l’article 25-1 de la constitution sénégalaise.

Le Sénégal renforce ses partenariats stratégiques à Washington

La délégation sénégalaise, conduite par le ministre des Finances et du Budget, M. Cheikh Diba, participe activement aux Assemblées Annuelles du Fonds Monétaire International (FMI) et de la Banque Mondiale à Washington, qui se déroulent du 21 au 26 octobre 2024. Cette mission vise à renforcer les partenariats financiers et à promouvoir une gestion transparente des finances publiques, en phase avec les ambitions de croissance durable du Sénégal.

Dès la première journée, la délégation a marqué un temps fort en effectuant une visite stratégique au Trésor américain. Cette rencontre a permis de réaffirmer l’engagement du Sénégal en faveur d’une gouvernance économique rigoureuse et inclusive. Le ministre des Finances, accompagné du ministre de l’Économie et de la Coopération, Dr. Abdourahmane Sarr, du ministre de l’Industrie et du Commerce, M. Serigne Gueye Diop, et du Secrétaire général du Gouvernement, M. Ahmadou Al Aminou Lo, a exposé les efforts du pays pour renforcer la transparence et la gestion responsable des ressources publiques.

Le Trésor américain a salué les progrès réalisés par le Sénégal, soulignant les avancées en matière de transparence et de bonne gouvernance. En retour, les représentants américains ont exprimé leur volonté d’accompagner le Sénégal dans la réalisation de ses objectifs de développement et d’intensifier la coopération bilatérale, notamment dans les secteurs financiers, économiques et commerciaux.

La présence du Sénégal à ces Assemblées Annuelles est un moment clé pour le pays, qui aspire à consolider son rôle sur la scène internationale. M. Cheikh Diba a déclaré que ces rencontres offrent une plateforme idéale pour partager la vision d’un développement économique durable, attractif pour les investisseurs.

Rencontre stratégique entre le ministre Birame Souleye et Woodside Energy

Le mardi 8 octobre, le ministre de l’Énergie, du Pétrole et des Mines, Birame Souleye, a rencontré à Dakar l’équipe dirigeante de Woodside Energy, comprenant M. RGoyder, Président du Groupe, Mme Meg O’Neil, Directrice Générale, et M. Clives Jones, Senior Vice President de Woodside Sénégal. Cette réunion s’est avérée être un moment clé pour discuter des avancées de la collaboration entre le Sénégal et l’entreprise australienne, ainsi que des perspectives futures.

Au cours de cette rencontre, les deux parties ont échangé sur les progrès réalisés dans le cadre de leur partenariat, soulignant l’importance d’une coopération solide pour le développement du secteur énergétique au Sénégal. Birame Souleye a exprimé son engagement à promouvoir un environnement propice aux investissements, essentiel pour renforcer les infrastructures et assurer la croissance économique du pays.

Les discussions ont également porté sur des initiatives stratégiques visant à garantir une collaboration durable et bénéfique, tant pour Woodside que pour le Sénégal. Le ministre a mis en avant le rôle crucial de l’énergie dans le développement économique, tout en soulignant la nécessité d’adopter des pratiques responsables qui soutiennent la transition énergétique.

Cette rencontre symbolise une volonté partagée d’optimiser les ressources énergétiques du Sénégal tout en respectant des normes environnementales élevées. En favorisant une coopération étroite avec des acteurs internationaux tels que Woodside, le gouvernement sénégalais vise à renforcer sa position sur le marché mondial de l’énergie.

Coopération renforcée : Le Ministre Fofana Bala ajuste les priorités stratégiques en partenariat avec la Banque mondiale

Le jeudi 19 septembre , le Ministre Fofana Bala a présidé une importante séance de travail avec une délégation de la Banque mondiale , visant à faire le point sur les projets et programmes en cours. Cette rencontre a permis de passer en revue les principaux axes d’intervention de l’institution financière, tout en réajustant les priorités stratégiques du ministère.

L’objectif principal de cette réunion était d’optimiser l’alignement entre les objectifs nationaux en matière de développement territorial et le soutien technique et financier apporté par la Banque mondiale. Ce partenariat renouvelé vise à renforcer la coopération et à garantir une meilleure mise en œuvre des projets au profit du développement durable du pays.

Évaluation de l’Environnement des Affaires au Sénégal : Lancement des Ateliers B-Ready pour un Dialogue Public-Privé Renforcé

es autorités sénégalaises, sous la direction du Premier ministre Ousmane Sonko, ont entamé une nouvelle évaluation de l’environnement des affaires du Sénégal. Organisés par l’Agence de Promotion des Investissements et des Grands Travaux (APIX), les ateliers dénommés B-Ready se tiennent du 27 au 30 août et le 3 septembre 2024. Ces rencontres visent à redéfinir et recadrer le dialogue public-privé pour sceller un « PACTE » entre l’État et le secteur privé, avec pour objectif de renforcer la compétitivité du pays.

Selon Bakary Séga Bathily, Directeur Général de l’APIX, cet atelier constitue une étape cruciale dans l’évaluation de l’environnement des affaires et permettra d’apporter les ajustements nécessaires avant le démarrage de la notation B-Ready. Après une décennie de réformes sous le programme PREAC, l’heure est venue d’analyser en profondeur l’impact de ces mesures et de repositionner le Sénégal comme un acteur clé sur la scène économique régionale et internationale.

M. Bathily a insisté sur l’importance du dialogue pragmatique pour surmonter les contraintes au développement du secteur privé. Il a encouragé la participation active des parties prenantes pour garantir que les réformes répondent aux besoins réels du terrain, tout en respectant les principes de justice économique et sociale.

Première Mise en Service de la Centrale WAE au Cap des Biches : Un Pas Décisif pour l’Énergie au Sénégal

Le 22 août 2024, la centrale West African Energy (WAE) au Cap des Biches a réalisé son premier allumage, marquant une étape cruciale pour le paysage énergétique sénégalais. Ce projet, soutenu par Senelec, vise à renforcer la stratégie « gas to power » du pays, réduire les coûts de production d’électricité, et anticiper l’augmentation de la demande énergétique. Avec plus de 1 200 employés sur site, l’accent est mis sur l’expertise locale.

Papa Toby Gaye, Directeur général de Senelec, a souligné l’importance de ce projet pour garantir une électricité fiable à moindre coût, en particulier à l’approche de la période de pointe de consommation. La centrale, dotée d’une capacité de 300 MW et d’une technologie à haut rendement, est prévue pour être opérationnelle en août 2024 en cycle simple, avec un cycle combiné en février 2025.