Ministère de la Culture : Initiation d’une rencontre des professionnels du 7e art

Le ministre de la Culture et de la Communication a rencontré, hier, les professionnels et promoteurs du cinéma. Les échanges entre Abdoulaye Diop et les professionnels du 7e art ont porté sur la levée des mesures de restriction imposées aux salles de cinéma et de spectacles dans le cadre de la lutte contre le Covid-19.

Dans le même sillage, Abdoulaye Diop, qui a effectué une visite dans le complexe cinématographique Sembene Ousmane sis au Magic Land sur la Corniche Ouest de Dakar, a visité aussi les trois salles de cinéma d’une capacité de 500 places du complexe. Le ministre a salué l’investissement consenti par le promoteur et promis l’accompagnement de son département pour l’ouverture de salles à travers le pays.

Selon L’AS, le ministre de la Culture a ensuite fait cap sur Yarakh pour donner le top de départ du tournage du film «Awa», un long métrage fiction de Moussa Sène Absa. Le film a reçu un appui financier de la part de l’Etat d’un montant 65 millions Fcfa grâce au Fonds de promotion de l’industrie cinématographique et audiovisuelle (FOPICA).

 

Source : Seneweb

Cinéma : le ministre de la Culture et de la Communication lance un appel pour le soutien des réalisateurs.

Invitation à soutenir « les réalisateurs du Sénégal ».
En effet, le ministre de la Culture et de la Communication, Abdoulaye Diop, a invité mardi les opérateurs économiques sénégalais à soutenir « les réalisateurs de talent » du pays.
« C’est le moment d’inviter les opérateurs économiques sénégalais à soutenir les réalisateurs de talent dont regorge notre pays », a-t-il déclaré. C’était au cours, de la conférence de presse pour la promotion du film « Baamum Nafi », nominé aux Oscars du cinéma américain.
De plus, ce long-métrage de langue pulaar, dans lequel jouent des acteurs locaux, a été réalisé avec des fonds sénégalais, dans la région de Matam (nord).
Selon le ministre de la Culture et de la Communication, ce film ‘’n’a reçu le soutien de l’Etat qu’à l’étape de la postproduction, précisément au moment du montage’’.
‘’Il faut préciser et reconnaître qu’il s’agit bien d’un accompagnement de l’Etat dont la vocation n’est pas de se substituer aux canaux de financement du cinéma  » a-t-il précisé, ajoutant que les cinéastes ‘’doivent faire appel au secteur privé et aux partenaires institutionnels « 
Par ailleurs, le Fonds de promotion de l’industrie cinématographique et audiovisuelle, créé en juin 2004 par l’Etat du Sénégal, n’a reçu sa première dotation qu’en 2014, pour un montant de 1 milliard de francs CFA.
En outre, la mise en place du comité de gestion dudit fonds a permis de soutenir en amont de nombreuses initiatives émanant des professionnels du cinéma, à différents niveaux.