Colette Senghor sera finalement inhumée le jeudi et non le mercredi

 Le directeur général de la Fondation Léopold-Sédar Senghor, Professeur Raphaël Ndiaye, a annoncé ce  lundi que la veuve du premier président Sénégalais sera inhumée le jeudi 28 Novembre 2018 et non le mercredi 27 novembre comme initialement prévu.

« L’Archevêque de Dakar n’a pu finalement retenir cette date du 27 novembre du fait d’engagements pris antérieurement qu’il ne pouvait ni reporter ni annuler. L’enterrement de Mme Colette Senghor est prévu le jeudi 28 novembre à 15h30 à la Cathédrale et non le mercredi 27 », lit-on dans un communiqué reçu à l’APS.
La veuve de Léopold Sédar Senghor, décédée à Verson, dans le sud de la France, va reposer aux côtés de son mari et de leur fils Phillipe Maguilène.
La religieuse Marie-Madeleine, une sœur de la défunte, et le maire de la ville de Verson, Michel Marie, prendront le même vol pour venir à Dakar, selon Raphaël Ndiaye.
A son arrivée à Dakar, le corps de Colette Senghor sera acheminé à la morgue de l’hôpital Principal.
Une messe de requiem sera dite jeudi à 15h 30, à la cathédrale du Souvenir africain de Dakar, en présence de Moustapha Niass, président de l’Assemblée nationale du Sénégal et du conseil d’administration de la Fondation Léopold-Sédar-Senghor.
Colette Hubert, née le 20 novembre 1925 à Mouzay, dans le nord de la France, avait épousé Léopold Sédar Senghor, le 18 octobre 1957. Elle fut ensuite Première Dame du Sénégal pendant vingt ans (1960-1980).
Le président sénégalais, Macky Sall, a rendu hommage, sur Twitter, à « une femme discrète ». Son devancier Abdou Diouf a lui honoré la mémoire de l’ancienne première dame à Verson, où elle vivait.
Selon des médias français, la maison des Senghor à Verson sera ouverte au public.

Colette Senghor sera inhumée à Dakar le 27 novembre

Colette Senghor, la veuve du premier président du Sénégal, décédée ce 18 novembre à l’âge de 94 ans, sera inhumée mercredi 27 novembre, au cimetière de Bel Air, à Dakar, a annoncé à l’APS le professeur Raphaël Ndiaye, directeur général de la Fondation Léopold-Sédar-Senghor.
La veuve de Léopold Sédar Senghor, décédée à Verson, dans le sud de la France, va reposer aux côtés de son mari et de leur fils Phillipe Maguilène. Le corps de la toute Première Dame du Sénégal arrivera à Dakar mardi soir, à bord d’un vol d’Air France.
La religieuse Marie-Madeleine, une sœur de la défunte, et le maire de la ville de Verson, Michel Marie, viendront également à Dakar dans le même vol, selon Raphaël Ndiaye.
A son arrivée à Dakar, le corps de Colette Senghor sera acheminé à la morgue de l’hôpital Principal. Une messe de requiem sera dite mercredi à 15 h 30, dans la cathédrale du Souvenir africain de Dakar, en présence de Moustapha Niass, président de l’Assemblée nationale du Sénégal et du conseil d’administration de la Fondation Léopold-Sédar-Senghor.
Colette Hubert, née le 20 novembre 1925 à Mouzay, dans le nord de la France, avait épousé Léopold Sédar Senghor, le 18 octobre 1957. Elle fut ensuite Première Dame du Sénégal pendant vingt ans (1960-1980). Le président sénégalais, Macky Sall, a rendu hommage, sur Twitter, à « une femme discrète ».

Décès de Colette Senghor, épouse de Léopold Sédar Senghor

Colette Hubert Senghor, veuve du président poète Léopold Sédar Senghor, est décédée ce lundi en France, ont annoncé plusieurs médias français.

La défunte, née le 20 novembre 1925 à Mouzay, dans la Meuse, avait épousé, le 18 octobre 1957, Léopold Sedar Senghor et a été par la suite Première dame du Sénégal durant les vingt ans de règne du président . Elle aurait eu 94 ans dans 2 jours. Colette Senghor est décédée dans sa maison de Verson en Normandie.

Après le décès de son époux, le 20 décembre 2001, Colette Senghor fait le choix de rester dans la propriété familiale de Verson. Elle y vivait seule, et recevait régulièrement la visite de sa sœur et d’une religieuse. Au début des années 2000, Colette Senghor apprend qu’elle est atteinte de la maladie d’Alzheimer et choisit de rester en Normandie.
Celle qui a côtoyé les plus grands de ce monde, avait « un caractère bien trempé mais restait très accessible » et était très aimée des habitants. Ils passaient devant chez elle et regardaient sa maison de manière affectueuse, raconte le maire de la ville.