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Bassirou Diomaye Faye, élu dès le premier tour, incarne l’espoir et le changement pour le Sénégal. Voici un aperçu de cinq éléments clés à connaître sur le cinquième président de ce pays.

Né le 25 mars 1980 dans la région centrale du Baol, Bassirou Diomaye Faye, à l’âge de 44 ans, devient le plus jeune président de l’histoire du Sénégal. Il a suivi des études de droit et a obtenu sa maîtrise à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar en 2004. Par la suite, il a intégré l’ENA et a poursuivi une carrière fructueuse en tant qu’inspecteur des impôts, où il a croisé le chemin d’Ousmane Sonko.

Bien qu’il n’ait pas été le premier choix de son parti, Bassirou Diomaye Faye a été désigné candidat le 19 novembre 2023, remplaçant ainsi Ousmane Sonko, dont la candidature avait été invalidée par la Cour Constitutionnelle. Malgré des débuts complexes, les deux hommes ont uni leurs forces et mené une campagne conjointe après leur libération de prison.

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Le 18 avril 2023, Bassirou Diomaye Faye a été inculpé et placé en détention provisoire pour « outrage à magistrat et diffamation ». Grâce à une amnistie, il a été libéré dix jours avant les élections. Sa libération officielle a eu lieu le 15 mars 2024.

Bassirou Diomaye Faye se présente comme le « candidat du changement de système » et défend un « panafricanisme de gauche ». Il a fait des promesses électorales importantes, notamment le rétablissement de la souveraineté nationale et la lutte contre la corruption. Il s’est également engagé à renégocier les contrats gaziers et pétroliers conclus par le président sortant Macky Sall avec les multinationales étrangères.

Un collectif d’organisations de la société civile, unies sous la bannière de « Sursaut Citoyen et Demain Sénégal », adresse ses chaleureuses félicitations au président nouvellement élu, Bassirou Diomaye Faye, tout en exprimant leur confiance quant à la concrétisation des objectifs du Pacte national de bonne gouvernance démocratique.

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Dans une déclaration relayée par l’APS, ces organisations saluent la victoire éclatante et légitime du président élu, soulignant sa position en tant que premier signataire du Pacte national de bonne gouvernance démocratique, fruit des délibérations des Assises Nationales et des recommandations de la Commission nationale de réforme des institutions (CNRI).

« Sursaut Citoyen et Demain Sénégal » nourrit l’espoir que les réformes préconisées par ce Pacte seront rapidement et efficacement mises en œuvre par les nouvelles autorités.

Encourageant l’ensemble des mouvements citoyens à unir leurs efforts, ces organisations appellent à une mobilisation continue pour la réalisation des objectifs du Pacte national de bonne gouvernance démocratique, répondant ainsi aux aspirations du peuple en faveur du renforcement de la démocratie, de l’État de droit et de la bonne gouvernance.

Elles considèrent que malgré les défis nombreux et les événements regrettables ayant précédé l’élection présidentielle du 24 mars 2024, cette dernière représente une étape décisive dans l’histoire politique du pays. Cette victoire est interprétée comme le résultat de la détermination du peuple sénégalais et comme une manifestation de sa volonté inébranlable de défendre sa souveraineté.

Les dernières données électorales au Sénégal révèlent des tendances significatives dans divers départements du pays, offrant un aperçu des performances des différents candidats.

Dans le département de Koungheul, Amadou Ba de la coalition « Benno Bokk Yakaar » (BBY) a triomphé avec 23 312 voix, devançant Bassirou Diomaye Faye, arrivé deuxième avec 21 591 voix. Aly Ngouille Ndiaye et Khalifa Sall occupent respectivement la troisième et la quatrième place.

À Vélingara, Amadou Ba a également remporté une victoire écrasante, consolidant ainsi sa position de leader au sein de la coalition BBY.

Les résultats de Kolda ont placé le candidat de la coalition « Diomaye Président » en tête, illustrant la diversité des choix électoraux à travers le pays.

Dans le département de Sédhiou, Bassirou Diomaye Faye a obtenu un soutien significatif, tandis qu’à Kébémer, Amadou Ba a dominé les urnes, consolidant ainsi sa position dans la compétition.

Le département de Kanel a également montré un fort soutien pour Amadou Ba, soulignant la tendance en sa faveur dans plusieurs régions.

Nioro du Rip a vu Bassirou Diomaye Faye prendre la tête, mais avec une compétition serrée de la part de ses concurrents.

À Guédiawaye, Bassirou Diomaye Faye a remporté une victoire claire, mais avec une solide performance d’Amadou Ba, reflétant la compétition acharnée dans cette région densément peuplée.

Dans le département de Matam, Amadou Ba a consolidé son avance, illustrant ainsi une base de soutien solide.

Foundiougne a également enregistré une victoire pour Amadou Ba, bien que la compétition ait été serrée avec Bassirou Diomaye Faye.

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Dans le département de Ziguinchor, Bassirou Diomaye Faye a obtenu une victoire écrasante, mettant en lumière la diversité des résultats à travers le pays.

Bignona a également vu une domination totale de Bassirou Diomaye Faye, confirmant ainsi son attrait dans diverses régions.

Enfin, Bounkiling a apporté son soutien à Bassirou Diomaye Faye, illustrant une fois de plus la diversité des préférences électorales.

Ces résultats mettent en évidence la complexité du paysage politique sénégalais, avec une compétition féroce entre les principaux candidats dans chaque région.

À l’issue du scrutin présidentiel, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, âgé de 44 ans, émerge comme le plus jeune président élu de l’histoire du Sénégal. Son adversaire, Amadou Ba, candidat du pouvoir sortant, a concédé sa défaite avant même la publication des résultats officiels.

Cette victoire annoncée est le fruit d’une bataille ardue. Six jours seulement après le lancement de la campagne électorale, Bassirou Diomaye Faye a été libéré de prison pour se lancer dans une course effrénée aux suffrages, endossant le rôle de leader dans une lutte acharnée pour la victoire, au nom d’un projet politique porteur d’espoir pour beaucoup.

Sa participation à l’élection présidentielle est le reflet des épreuves et des obstacles surmontés par son parti politique depuis 2021, marqués par des accusations de viols contre Ousmane Sonko, le leader des Patriotes africains pour le travail, l’éthique et la fraternité (Pastef), désormais dissous.

La candidature de Bassirou Diomaye Faye est le résultat d’une lutte acharnée de son parti contre le pouvoir en place, une adversité qui a parfois pris des tournures tragiques : emprisonnement, décès et blessures. Cependant, ces épreuves ont renforcé son engagement et son dévouement envers son projet politique, le conduisant même à être prêt à sacrifier sa vie pour la cause.

Sa période en prison a accéléré sa maturation politique, le transformant en un leader affirmé. Son émergence publique lors de sa libération, accueillie avec enthousiasme par ses partisans, symbolise une sorte d’intronisation populaire.

Malgré l’absence de son mentor, Ousmane Sonko, lors de cet événement, celui-ci a témoigné sa confiance en désignant Bassirou Diomaye Faye comme son héritier politique, chargé de poursuivre la lutte contre un système qu’il aspire à renverser.

De lieutenant à président, Bassirou Diomaye Faye incarne la surprise politique du moment, appelé à défier un système dont son mentor rêve d’abolir.

Dans un épisode électoral marqué par l’excitation et l’anticipation, le Sénégal célèbre une nouvelle ère politique alors que Bassirou Diomaye Faye, le candidat de la coalition Diomaye Président, est entrain d’être déclaré vainqueur du premier tour de l’élection présidentielle ce 25 mars 2024. L’ex-Premier ministre et candidat de la majorité, Amadou Ba, a personnellement téléphoné à Faye pour le féliciter et lui offrir ses prières, selon le porte-parole du gouvernement, Abdou Karim Fofana.

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La veille, le 24 mars 2024, Faye avait déjà affiché un sentiment de confiance en faisant le geste de la victoire après avoir déposé son vote au bureau de vote de l’École Ndiandiaye à Ndiaganiao. Les félicitations ont afflué de toutes parts, avec Amadou Ba de la coalition Benno Bokk Yaakaar adressant ses vœux de réussite au nouveau Président élu.

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« C’est une victoire incontestable », a déclaré Anta Babacar Ngom, seule candidate parmi dix-sept concurrents, tandis que Déthié Fall a exprimé ses félicitations pour cette « belle victoire manifestement acquise ». Même les candidats malheureux, tels que Papa Djibril Fall, Mamadou Lamine Diallo et El Hadji Mamadou Diao, ont reconnu la supériorité de Faye dans les tendances émergentes des résultats.

Les résultats bureau par bureau, amplifiés par les médias et les réseaux sociaux, témoignent d’un soutien massif en faveur de Bassirou Diomaye Faye, reléguant son adversaire le plus proche, Amadou Ba, très loin derrière, ainsi que les quinze autres concurrents.

Cette élection présidentielle a été perçue comme un moment charnière pour le Sénégal, offrant la possibilité d’un changement potentiellement radical après trois années d’agitation et de crise politique. Avec la victoire de Faye, le pays se prépare à une nouvelle direction, tandis que les espoirs de prospérité et de stabilité sont ravivés pour le peuple sénégalais.

Les résultats préliminaires des élections présidentielles sénégalaises commencent à émerger dans divers départements, offrant un aperçu fascinant de la dynamique politique en jeu.

Au cœur du département de Bakel, le candidat vedette de la coalition Benno Bokk Yakaar, Amadou Ba, brille en tête avec 21 162 voix, selon les données de la commission départementale de recensement des votes. Sa domination est incontestable, avec une avance confortable sur ses rivaux.

À Oussouye, le paysage électoral prend une autre teinte alors que le candidat de la coalition « Diomaye Président », Bassirou Diomaye Faye, émerge en tant que leader incontesté avec 15 824 voix sur un total de 19 891 suffrages exprimés. Cependant, la compétition reste féroce avec des voix significatives pour d’autres prétendants.

Dans le département de Kédougou, l’écart se resserre, avec la coalition Benno Bokk Yakaar devançant de peu son rival, avec 10 833 voix contre 10 064 pour Bassirou Diomaye Faye. Chaque voix compte dans cette lutte serrée pour la prédominance électorale.

Le département de Ranérou n’est pas en reste, où Amadou Ba captive l’attention avec 12 576 votes, solidifiant sa position en tant que candidat favori. Cependant, la compétition reste vive avec d’autres aspirants politiques s’efforçant de maintenir leur emprise.

Dans le sud-est du pays, le département de Saraya voit Bassirou Diomaye Faye dominer le paysage électoral avec une victoire écrasante, accumulant 7 012 des 11 844 votes exprimés. Sa performance impressionnante laisse peu de place à l’ambiguïté quant à sa popularité parmi les électeurs.

À Salémata, un autre département dans la même région, la compétition est plus serrée, mais Amadou Ba maintient sa position dominante avec 4 166 voix. Cependant, Bassirou Diomaye Faye reste un concurrent sérieux, reflétant la diversité des opinions politiques au sein de la population.

Dans le département de Gossas, c’est une victoire éclatante pour Bassirou Diomaye Faye, consolidant sa position avec 13 046 voix, tandis que d’autres candidats se disputent les miettes de suffrages restantes. Sa victoire est un témoignage de son attrait électoral dans cette région centrale.

Le département de Goudomp voit également Bassirou Diomaye Faye triompher avec une majorité écrasante, récoltant 28 697 voix sur un total de 73 097 suffrages exprimés. Sa victoire est indiscutable, illustrant son soutien massif parmi les électeurs locaux.

Dans le département de Médina Yoro Foulah, le résultat est plus nuancé, avec la coalition Benno Bokk Yakaar remportant de justesse avec 14 067 voix, suivi de près par Bassirou Diomaye Faye avec 13 540 voix. La compétition reste tendue, reflétant les différentes perspectives politiques au sein de la population locale.

Enfin, dans le département de Diourbel, Bassirou Diomaye Faye domine une fois de plus, remportant 44 744 voix et capturant 60,38% des suffrages exprimés. Sa popularité inébranlable est un témoignage de sa connexion avec les électeurs de cette région centrale.

Ces résultats préliminaires offrent un aperçu fascinant de la diversité politique et de la dynamique électorale au Sénégal, alors que les candidats rivalisent pour le soutien des électeurs dans différents départements du pays.

Alors que les résultats de l’élection présidentielle au Sénégal sont attendus, revenons sur le déroulement de ce scrutin qui s’est tenu aujourd’hui dès 8 heures.

La journée électorale a été marquée par une participation significative, avec un taux de 45% enregistré à 14 heures dans la région de Dakar, selon les déclarations du gouverneur relayées par plusieurs médias. Les Sénégalais se sont mobilisés en masse pour élire leur nouveau président, et les bureaux de vote ont enregistré une excellente moyenne de participation.

Dans différentes régions du pays, les taux de participation ont également été remarquables : à Podor, le préfet a annoncé un taux de 59%, à Diourbel 71%, à Ziguinchor 52%, à Linguère 58%, à Keur Massa 52%, à Bounkiling 56%, et à Sédhiou 54%. Tambacounda affiche un taux de 52%.

Cependant, certains endroits ont enregistré des taux de participation plus modestes, comme Mbour avec 57,99% à 14 heures, Bakel avec 39% à 14 heures, et Kanel avec 52,28% à 16 heures.

Le scrutin de ce dimanche a été précédé par des péripéties, notamment la réduction de la durée de la campagne électorale, finalement arrêtée à douze jours contre 21 selon la loi électorale.

Le taux de participation à l’élection présidentielle s’établit à 57,99% à 14 heures au centre témoin de Nguékokh Wolof, selon Babacar Diouf, président du centre.

Nguékokh Wolof compte 21 bureaux de vote pour 11 985 électeurs inscrits, a précisé M. Diouf.

Aucun incident n’a été signalé entre les militants des différents candidats engagés dans cette élection présidentielle.

Les habitants de la commune de Nguékokh, dans le département de Mbour, se sont mobilisés en masse pour accomplir leur devoir civique.

Le président du centre de vote a également souligné une forte participation des jeunes et des femmes.

La commune de Nguékokh, dans le département de Mbour, compte 17 806 électeurs inscrits répartis dans deux centres de vote.

Le président de l’Assemblée nationale, Amadou Mame Diop, a exprimé sa satisfaction quant au bon déroulement du scrutin présidentiel qui s’est tenu dimanche à Richard-Toll, sur l’ensemble du territoire national et à l’étranger.

Après avoir accompli son devoir civique au bureau 4 du Centre de vote Ecole Richard-Toll 1, M. Diop a déclaré : ‘’Je salue le bon déroulement du scrutin présidentiel sur l’ensemble du territoire national et à l’étranger ainsi que la campagne électorale précédente.’’

Il a ajouté que cet événement illustre la grandeur de la démocratie sénégalaise, et a encouragé les citoyens à voter dans le calme et la sérénité.

La commune de Richard-Toll, située dans le département de Dagana, région de Saint-Louis, compte 16 802 électeurs inscrits répartis entre 13 centres de vote et 63 bureaux de vote.

Rappelons également que le premier tour des élections sénégalaise a eu lieu ce dimanche 24 mars à 8h , dans une ambiance relative calme apaisée et sereine .

La campagne électorale a pris fin vendredi dernier au Sénégal, marquant ainsi le compte à rebours avant un scrutin présidentiel très disputé qui aura lieu ce dimanche.

Dans les rues de Dakar et de Mbour, des foules impressionnantes se sont rassemblées pour soutenir deux des candidats favoris à la présidence.

Cette élection est perçue comme la plus serrée de l’histoire du pays, avec les électeurs se préparant à choisir parmi une liste diversifiée de candidats. Amadou Ba, un vétéran de la politique affilié au même parti que le président actuel Macky Sall, est en compétition avec Bassirou Diomaye Faye, un jeune politicien charismatique soutenu par Ousmane Sonko.

Faye et Sonko gagnent en popularité parmi la jeunesse sénégalaise, qui représente la majorité de la population. Cependant, Amadou Ba bénéficie d’un solide soutien dans sa ville natale de Dakar, où ses partisans se sont mobilisés avec ferveur pour sa campagne.

Seydou Sarr, un jeune partisan de Ba impliqué dans la campagne électorale, partage son optimisme quant à la victoire de leur candidat. « Nous avons beaucoup travaillé. Nous sommes allés de porte en porte dans les quartiers, nous avons sensibilisé, dialogué avec les gens, nous leur avons expliqué pourquoi Amadou Ba était le meilleur choix pour eux. Il deviendra le cinquième président, par la grâce de Dieu, le 24 mars », a-t-il déclaré avec conviction.

Avant le rassemblement de Ba vendredi, celui-ci a exprimé sa confiance lors d’une conférence de presse à Dakar, affirmant qu’il se voyait élu dès dimanche.

À Mbour, une autre scène d’enthousiasme électoral a été observée au stade Caroline Faye, où de nombreuses personnes se sont réunies pour soutenir Diomaye Faye. Kedidia Ndiaye, une habitante de Mbour, a expliqué sa motivation : « Je suis ici pour soutenir Diomaye [Faye].».

«Nous croyons en son engagement pour le changement. Nous en avons assez de la situation actuelle et nous voulons voir un nouveau leadership émerger », reflétant ainsi les frustrations de nombreux jeunes sénégalais face au chômage élevé qui les poussent à chercher des opportunités à l’étranger.

À la veille du scrutin, alors que les campagnes électorales sont officiellement terminées, les électeurs se préparent à exercer leur droit de vote. Si aucun candidat ne parvient à obtenir plus de 50 % des voix, un second tour de scrutin sera organisé dans deux semaines pour déterminer le futur président du Sénégal.

Le candidat de la coalition « Idy2024 » à l’élection présidentielle, Idrissa Seck, a affirmé jeudi son engagement à concrétiser ses projets de développement pour le département de Dagana s’il est élu à la présidence le dimanche 24 mars.

Lors de sa visite à Dagana dans le cadre de sa campagne électorale, Idrissa Seck a assuré que les ambitions pour le développement de Dagana et de Saint-Louis sont déjà intégrées dans leur programme, et qu’ils les mettront en œuvre scrupuleusement.

Sans entrer dans les détails de ces ambitions, le président du parti Rewmi a salué l’engagement constant du leader départemental Abdou Fall, soulignant sa présence à ses côtés.

Idrissa Seck a appelé tous les militants de son parti à le soutenir pour le développement du département de Dagana une fois qu’il sera élu le 24 mars prochain.

Anta Babacar Ngom, représentante de la coalition « Alternative pour la relève citoyenne » (ARC) pour l’élection présidentielle de dimanche, a exprimé jeudi à Tivaouane (Thiès, ouest) sa volonté de « débarrasser la sphère de gestion des deniers publics des politiciens professionnels ».

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« Depuis quelques jours, vous avez vu défiler à Tivaouane toute une série de candidats, passant leur journée à faire des promesses de campagne. Ne leur accordez même pas votre attention. Ils jouent leur jeu habituel, celui de toujours promettre », a déclaré Anta Babacar Ngom.

Seule femme parmi les candidats à la présidence, elle estime qu’il est temps de confier les rênes du pays à une « créatrice d’emplois, sans risque de détournement des maigres ressources du Sénégal », après les alternances de 2000 et 2012.

Selon Anta Babacar Ngom, les jeunes de Tivaouane ne devraient pas souffrir autant du chômage, compte tenu des nombreuses opportunités que regorge le département.

« Une femme au pouvoir signifie la fin des tourments pour les hommes, car nous savons ce que nous faisons, grâce à notre expérience acquise sur le terrain et au foyer », assure-t-elle.

Présentant sa candidature comme un « choix conscient et citoyen », elle promet une « rupture systématique et systémique » si elle est élue présidente de la République du Sénégal.

Anta Babacar Ngom est une figure de proue dans le domaine de l’entrepreneuriat. PDG d’un groupe familial, Sedima, employant près de 800 personnes et affichant un chiffre d’affaires de 42 milliards de francs CFA.