1xBet et le PSG vous proposent la Promo GOAALden Paris

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Comment participer à la promotion

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La création d’un nouveau compte ne prend que quelques minutes, et vous pouvez choisir parmi plusieurs façons de vous inscrire. Une fois que vous avez vos identifiants de connexion, accédez à votre compte et assurez-vous de :

  1. Visiter la page de la promotion sur le site Web de 1xBet.
  2. Participer en acceptant les conditions de participation et en cliquant sur le bouton « Participer ».
  3. Placer un pari d’au moins 3 USD sur le nombre exact de buts marqués par le PSG lors du match.
  4. Recevoir des tickets pour les paris placés selon les règles.
  5. Participez aux trois tirages au sort de chaque étape de la promotion pour savoir si vous êtes le gagnant.

Quels sont les prix ?

Chacune des trois étapes de la promotion est accompagnée de prix passionnants, principalement représentés par des gadgets sympas et les plus récents smartphones, montres intelligentes, ordinateurs, tablettes, haut-parleurs, et bien d’autres encore.

Voici les périodes pour chaque étape de la promotion GOAAALden Paris :

  • Étape 1 – 12.08.2022 – 10.09.2022
  • Étape 2 – 11.09.2022 – 16.10.2022
  • Étape 3 – 17.10.2022 – 13.11.2022

 

Les prix comprennent un système de jeu MSI MEG Trident X 11TE-2263RU, un ordinateur portable de jeu MSI, un MacBook Pro 13, un iPhone 13 Pro Max, et bien d’autres encore.

Vous trouverez plus de détails sur la cagnotte spécifique de chaque étape sur la page de la promotion sur le site de 1xBet. A la fin de chaque étape, un tirage au sort aura lieu pour sélectionner les gagnants et leur offrir leurs récompenses.

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Sénégal : les cimentiers face à l’explosion des coûts de production

Depuis plusieurs mois, les cimentiers sénégalais et les autorités sont en discussion pour ajuster les prix du sac du ciment.

 

Les cimentiers doivent faire face à la conjoncture internationale – d’abord le Covid-19 puis la guerre entre la Russie et l’Ukraine – avec une hausse des coûts de production, alors que le prix du sac de ciment, soumis au régime de l’homologation, n’a pas encore bougé. Ils discutent alors depuis plusieurs mois avec les autorités pour ajuster les prix, tandis que certains ont dû arrêter leur activité.

Depuis le début du mois d’août, plus de 90% du personnel de la cimenterie Dangote Sénégal est en congé collectif et l’usine est à l’arrêt. En cause : l’explosion des coûts de production liée à la hausse du dollar et à l’augmentation du prix du fret et du charbon, matière qui représente 66% de leurs coûts variables.

Ousmane Mbaye est le directeur général de la société Dangote Sénégal. « Tous ces impacts font qu’actuellement, l’industrie de la cimenterie traverse des moments très difficiles. Les coûts de production ont tellement explosé que ce n’était plus rentable de produire et vendre à ce prix actuel sur le marché. »

Mais les prix du ciment sont sous le régime de l’homologation. Des ajustements ne peuvent donc pas être faits sans l’autorisation du ministère du Commerce. Ousmane Mbaye espère que les discussions avanceront d’ici septembre, date à laquelle il souhaite reprendre la production. « Nous espérons trouver d’ici quelque temps une solution qui arrangera tout le monde, un ajustement des prix compte tenu des coûts qui ont explosé. Et chercher le juste milieu entre préserver le pouvoir d’achat du consommateur et préserver les investissements et les emplois. »

Le ministère du Commerce a déjà examiné la demande des cimentiers et terminé ses conclusions qu’il doit encore remettre au conseil national de la consommation avant qu’une décision ne soit prise.

Sénégal : renforcement de coopération militaire avec la Guinée-Bissau

La Guinée-Bissau et le Sénégal partagent 338 kilomètres de frontière commune, le long de laquelle sévit une rébellion depuis une quarantaine d’années.

 

Le chef d’État-major de l’armée sénégalaise, le général Cheick Wade, a effectué une visite en Guinée-Bissau, le vendredi 19 août, une première depuis le déploiement des forces de son pays dans le cadre de la Mission d’appui pour la stabilisation de la Guinée-Bissau (MASG). Cette visite s’inscrit aussi autour du renforcement de la coopération militaire entre Dakar et Bissau.

Cette visite de 24 heures a permis au chef des armées sénégalaises, le général Cheikh Wade, de s’entretenir avec le commandement des forces sénégalaises déployées en Guinée-Bissau depuis juin dernier dans le cadre de la Mission d’appui pour la stabilisation de la Guinée-Bissau (MASG).

Patrouilles mixtes

Dans le domaine bilatéral, plusieurs accords encadrent actuellement la coopération militaire à savoir, les échanges d’informations notamment, les patrouilles mixtes le long de la frontière commune et la formation des officiers supérieurs bissau-guinéens au Sénégal. Cependant, le chef d’état-major de la Guinée-Bissau, le général Biagué Na Ntan, souhaite que ces liens soient renforcés.

La Guinée-Bissau et le Sénégal partagent 338 kilomètres de frontière commune, le long de laquelle sévit une rébellion depuis une quarantaine d’années. Cette question n’a pas été publiquement évoquée. Or, selon certains observateurs, elle demeure au cœur de l’entretien entre les deux délégations.

Collecte des armes

Dans le cadre des accords signés, le 4 août dernier, entre une faction des indépendantistes de Casamance et le gouvernement sénégalais, la Guinée-Bissau a été chargée, comme partie garante, de superviser le cantonnement et la collecte des armes des rebelles, à partir du mois d’octobre prochain.

Sénégal : Ousmane Sonko candidat à la prochaine présidentielle

C’était au cours de la première sortie de l’opposant Ousmane Sonko depuis la publication des résultats des élections législatives la semaine dernière.

 

Ousmane Sonko annonce sa candidature à la prochaine présidentielle. C’était au cours d’une conférence de presse que le leader du Pastef a fait cette annonce solennelle. Tout seul derrière un pupitre, une affiche « Focus 2024 » en arrière-plan aux couleurs de son parti, Ousmane Sonko annonce sa candidature à l’élection présidentielle de 2024, avant de dérouler sa feuille de route pour les dix-huit mois à venir.

« Je veux dire aux militants et aux militantes d’orienter tous leurs efforts à enrôler les jeunes primo-votants pour qu’ils aillent massivement s’inscrire sur les listes électorales, à implanter des cellules dans toutes les parcelles du territoire national. »

Mais cette nouvelle page avant le scrutin présidentiel va aussi se jouer à l’Assemblée nationale. « Nous avons beaucoup travaillé à identifier énormément de projets de loi. Nous avons également identifié un certain nombre de scandales sur lesquels il faudra exiger la mise en place de commission d’enquête parlementaires », prévient Ousmane Sonko.

L’opposant est aussi revenu sur son projet « panafricain et souverainiste » et sur ses rapports avec la France et d’autres puissances étrangères comme la Russie : « Nous n’avons rencontré ou parlé à aucune puissance étrangère à ce jour. Dans notre entendement, il ne s’agit pas d’échanger une domination contre une autre. Il s’agit d’assumer une souveraineté totale et de collaborer avec tout le monde dans un sens gagnant-gagnant. La France sera un partenaire si elle le désire, mais pas dans les conditions actuelles. »

Sénégal : Pape Djibril réaffirme son engagement dans l’opposition

Le député Pape Djibril Fall s’est exprimé devant les journalistes et les militants, après avoir critiqué le bilan du régime de Macky Sall.

 

Pape Djibril Fall a réaffirmé, mercredi 17 août, son ancrage dans l’opposition, même s’il ne rejoindra pas l’inter-coalition Yewwi Askan Wi-Wallu Sénégal. Élu le 31 juillet à la tête de la coalition Les Serviteurs/MPR, qui n’avait obtenu qu’un seul siège, l’ancien journaliste faisait partie des trois indépendants qui pouvaient faire basculer l’Assemblée nationale. Alors que Pape Diop a rejoint le camp présidentiel Benno Bokk Yaakaar, donnant à celui-ci la majorité absolue avec 83 sièges, le positionnement du jeune député rétrécit davantage l’écart entre l’opposition et le pouvoir.

Devant une foule de journalistes et de militants, petit drapeau sénégalais à la main, Pape Djibril Fall a réaffirmé son ancrage dans l’opposition, après avoir critiqué le bilan du régime de Macky Sall :

« Nous sommes dans l’opposition et nous allons travailler justement avec opposition. Nous allons respecter la volonté des populations. Ceux qui ont voté pour nous n’ont pas voté pour Yewwi Askan Wi, ni pour Benno Bokk Yaakaar. Et aujourd’hui, les Sénégalais ont montré une voix qui veut défendre l’intérêt général et les populations, en n’étant pas dans des jeux politiques ou d’appareils. »

Le jeune député a listé ses priorités : lutter contre la cherté de la vie, le chômage des jeunes et les inégalités sociales. Pape Djibril Fall a aussi rappelé l’importance de la souveraineté alimentaire, en soutenant les agriculteurs, les pêcheurs et les éleveurs :

« Aujourd’hui, les populations veulent que l’action du gouvernement soit contrôlée au niveau de l’AN. Je pense que l’AN est importante. C’est là-bas que tout se passe : le budget, la politique… Elle mérite d’être renvoyée à sa vocation première, celle qu’elle n’aurait jamais dû quitter : contrôler l’action de l’exécutif et évaluer les politiques publiques, en étant bien entendu une force de propositions de loi. »

Le troisième député indépendant, Thierno Alassane Sall, de la coalition Alternative pour une assemblée de rupture (AAR), s’était aussi placé dans l’opposition, tout en se présentant comme une troisième voie face aux deux blocs qui divisent l’Assemblée nationale.

Sénégal : Amnesty International pointe la dégradation du maintien de l’ordre lors des manifestations

Cinquante une (51) personnes sont décédées lors de manifestations depuis 2007, selon Amnesty International Sénégal. Et seuls 14 de ces dossiers ont abouti à des condamnations et à des sanctions « parfois très faibles ».

 

Le constat est lourd : au Sénégal, il y a eu 14 décès lors des émeutes de mars 2021, et trois lors des manifestations interdites de juin 2022. Ousmane Diallo, chercheur au bureau régional d’Amnesty International à Dakar, a noté une évolution du maintien de l’ordre dans le pays :

« De plus en plus de structures militaires, qui ne sont pas habilitées à faire du maintien de l’ordre, sont déployées dans ce contexte-là. On a vu que cela a occasionné des cas de décès à la suite de tirs par balles. Au cours des vingt dernières années, on peut noter une détérioration du cadre du maintien de l’ordre portant sur la protection de la liberté de manifester. »

Amnesty International rappelle la demande de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) d’abroger l’arrêté ministériel de 2011, qui interdit les manifestations à caractère politique dans le quartier central du Plateau.

Selon Ousmane Diallo, les restrictions de libertés ont toujours provoqué des violences entre forces de l’ordre et manifestants. « L’exception notable, ce sont les manifestations de mars 2021, où on a parfois assisté à des cas de pillages et de destructions de biens publics et privés. Mais au cours des dix dernières années, on ne peut pas parler de détérioration ou de dégradation des procédés de manifestation, mais plutôt d’une restriction de plus en plus abusive des libertés de manifester pacifiquement qui entraîne des troubles. »

Ousmane Diallo pointe aussi du doigt le manque d’enquêtes et de poursuites judiciaires.

Sénégal-législatives : vers la publication des résultats

Les leaders des deux coalitions qui ont fait alliance se sont donc réunis mercredi 10 août pour annoncer qu’ils n’avaient finalement déposé aucun recours.

 

Au Sénégal, le Conseil constitutionnel devrait bientôt proclamer les résultats définitifs des élections législatives du 31 juillet dernier. Selon les résultats provisoires, la coalition présidentielle a obtenu 82 sièges, suivie de très près par l’inter-coalition de l’opposition Yewwi Askan Wi – Wallu Sénégal avec 80 sièges – ne permettant à aucune d’entre elles d’assurer une majorité. Les leaders des deux coalitions qui ont fait alliance se sont donc réunis mercredi 10 août pour annoncer qu’ils n’avaient finalement déposé aucun recours.

Les chiffres des résultats provisoires donnés par la commission nationale de recensement des votes sont erronés, ont répété les dirigeants de l’inter-coalition de l’opposition.

Déthié Fall, mandataire national de Yewwi Askan Wi, annonce qu’aucun recours n’a finalement été déposé au niveau du Conseil constitutionnel. « Ce n’est pas au niveau du Conseil constitutionnel que ces trois députés vont nous être restitués », dit-il.

L’inter-coalition a aussi annoncé qu’elle ne participera pas à l’élection des membres du Haut conseil des collectivités territoriales, prévu le 4 septembre prochain.

Cheikh Tidiane Dièye, de Yewwi Askan Wi, en explique les raisons : « Dans le programme de législatures, il a été mentionné clairement que si nous sommes majoritaires à l’Assemblée nationale, nous procéderions à la dissolution du HCCT. La coalition Yewwi – Wallu ne boycotte pas une élection mais veut rester constante dans sa démarche. »

Les leaders en ont aussi profité pour proposer aux trois députés issus des petites coalitions mais aussi aux députés de la coalition présidentielle Benno Bokk Yaakar, de les rejoindre afin de former une majorité à l’Assemblée nationale.

Dakar dénonce l’arrestation de sa diplomate au Canada

Une diplomate sénégalaise, en poste au Canada, s’est retrouvée au cœur d’une opération de police, l’affaire prend une tournure diplomatique.

 

Morsure, coups, arrestation… une diplomate sénégalaise, en poste au Canada, s’est retrouvée au cœur d’une opération de police et depuis, l’affaire prend une tournure diplomatique. La chef de la diplomatie sénégalaise dénonce un « acte raciste et barbare ». Au départ, c’est une perquisition qui tourne mal.

D’après la police de Gatineau, la ville où se sont déroulés les événements, c’est un huissier muni d’une ordonnance qui s’est présenté chez la diplomate sénégalaise. C’est face à son refus de collaborer que l’huissier a fait appel à la police pour exécuter sa mission.

Toujours selon les forces de l’ordre canadiennes, la diplomate en poste à l’ambassade du Sénégal d’Ottawa s’est montrée très agressive, blessant et frappant une policière au visage et en mordant un autre, ce qui a obligé les policiers à maitriser l’émissaire sénégalaise, en la plaquant au sol, avant de la détenir à l’arrière de leur véhicule.

Deux jours plus tard, la réaction du Sénégal ne s’est pas fait attendre. Dans un communiqué, le ministère des Affaires étrangères affirme avoir convoqué la chargée d’Affaires de l’ambassade du Canada à Dakar, pour protester contre « la descente d’une rare violence de la police canadienne » le 2 août chez sa diplomate.

L’État sénégalais parle d’une « violence physique et morale humiliante » de la diplomate, « devant témoins et en présence de ses enfants mineurs ». Il ajoute que la victime a été « menottée et sauvagement tabassée, au point d’avoir du mal à respirer, ce qui a conduit à son évacuation par ambulance à l’hôpital »

Pour sa part, la police de Gatineau se défend en précisant que la diplomate n’a jamais mentionné avoir été blessée ou avoir des douleurs. Elle pourrait lancer une enquête pour voie de fait sur agent.

Pour sa part, le Sénégal dénonce « un acte raciste et barbare » et se réserve le droit de mener toute action appropriée dans ce dossier.

Sénégal-législatives : les résultats en attente

Alors que le pouvoir comme l’opposition continuent de revendiquer la victoire, le score semble très serré pour déterminer quelle coalition aura la majorité à l’Assemblée nationale.

 

Nouvelle joute verbale à la veille de la proclamation des résultats officiels des élections législatives de dimanche dernier, qui est prévue ce jeudi après-midi à 17h (TU) au palais de justice de Dakar. Alors que le pouvoir comme l’opposition continuent de revendiquer la victoire, le score semble très serré pour déterminer quelle coalition aura la majorité à l’Assemblée nationale.

La suspension de la publication des résultats, prévue dans l’après-midi, c’est ce qu’a demandé Déthié Fall, l’un des leaders de la coalition de l’opposition Yewwi Askan Wi. De quoi lui donner le temps pour examiner ses plaintes à la suite d’irrégularités et de fraudes qu’il a notées.

« Nous n’allons pas accepter une confiscation de la victoire », a ensuite déclaré Ousmane Sonko, autre figure de cette coalition qui a fait alliance avec Wallu Sénégal dirigée par l’ancien président Abdoulaye Wade.

Une heure plus tard, au tour de la coalition au pouvoir -Benno Bokk Yakaar- de réagir. Amadou Sall, leur représentant à la Commission nationale de recensement des votes, a parlé de « manipulation », estimant que le processus électoral s’est déroulé jusque-là sans contestation majeure.

« La performance de l’opposition ne fait pas d’elle un groupe majoritaire à l’Assemblée nationale. Nous avons la majorité, même si elle est réduite », a-t-il reconnu, alors que Benno Bokk Yakaar avait obtenu 125 sièges sur 165 lors des précédentes élections législatives de 2017.

Classement FIFA : le Sénégal en tête de l’Afrique depuis 44 mois

Il est le champion d’Afrique en titre, et auteurs d’un sans-faute lors de la dernière levée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations.

 

La FIFA a procédé cette semaine à l’actualisation de son classement mensuel des meilleures équipes nationales lors des trois derniers mois (Mai-Juin-Juillet). Suite aux récentes confrontations lors des journées FIFA et notamment lors des éliminatoires de la CAN 2023, il y a eu plusieurs réaménagements dans le tableau de la Zone Afrique.

Le Sénégal reste indétrônable.

Le champion d’Afrique en titre, et auteurs d’un sans-faute lors de la dernière levée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations (2 victoires lors des deux premières journées), les Lions du Sénégal sont installés au 18e rang mondial.

Rappelons que ce pays occupe cette première place du classement en Afrique depuis novembre 2018.

Cette équipe dépasse largement la performance de celle des Eléphants de la Côte d’Ivoire (35 mois entre 2011 et 2013).

Ci-après le Top 20 africain du mois de Juillet 2022 :

1) Sénégal (18e mondial) (+2 places mondiales)

2) Maroc (22e mondial) (+2 places)

3) Tunisie (30e mondial) (+5 places)

4) Nigeria (31e mondial) (=)

5) Cameroun (38e mondial) (-1 place)

6) Egypte (40e mondial) (-8 places)

7) Algérie (41e mondial) (+3 places)

8) Mali (46e mondial) (+4 places)

9) Côte d’Ivoire (52e mondial) (+1 place)

10) Burkina Faso (55e mondial) (+1 place)

11) Ghana (60e mondial) (=)

12) Afrique du Sud (68e mondial) (+1 place)

13) Cap-Vert (72e mondial) (=)

14) RD Congo (73e mondial) (-6 places)

15) Gabon (79e mondial) (+2 places)

16) Guinée (83e mondial) (-3 places)

17) Zambie (88e mondial) (=)

18) Ouganda (90e mondial) (-2 places)

19) Bénin (91e mondial) (-5 places)

20) Congo (99e mondial) (=)