A Thiès, l’imam Bachir Diallo recommande la crainte de dieu aux fidèles

L’imam Bachir Diallo, de la mosquée de la cité Ballabé, à Thiès (ouest), a appelé mercredi les fidèles à craindre leur Seigneur et à éviter ‘’les ruses de Satan’’.

‘’Allah n’est intéressée (…) que par votre crainte envers Lui’’, a-t-il dit, citant une recommandation du prophète Mohamed (PSL) et exhortant les fidèles à veiller à la ‘’sincérité’’ de leurs intentions dans l’accomplissement des actes cultuels.

L’imam Bachir Diallo a dirigé la prière de l’Aïd El-Kébir à la mosquée de la cité Ballabé, en remplacement de Malick Mbaye, actuellement alité.

Il a exhorté les exhorté les fidèles à accomplir de bonnes actions et à s’abstenir du mal. ‘’Evitez les plaisirs et les ruses de Satan’’, leur a recommandé le guide religieux, ajoutant que Dieu n’agrée que les œuvres des personnes qui éprouvent de la crainte envers Lui.

‘’En vérité, Allah ne prête attention ni à votre forme, ni à la couleur de votre peau. Mais Il regarde vos cœurs et vos actions’’, a-t-il encore dit aux fidèles.

‘’Pensez au jour où vous vous séparerez de vos amis et de vos ennemis et où on vous recouvrira de terre. Seules les bonnes œuvres seront utiles et seules les mauvaises actions nuiront à l’homme’’, enseigne Bachir Diallo.

Parlant de la fête de l’Aïd El-Kébir, il a rappelé qu’‘’il s’agit d’une pratique du prophète Ibrahim, ‘’une sounna’’ par laquelle le croyant se rapproche de son Seigneur.

L’imam Bachir Diallo a rappelé les qualités exigées de la bête à sacrifier le jour de la fête de l’Aïd El-Kébir, rappelant qu’il peut s’agir d’un chameau, d’un bœuf, d’un bouc ou d’un mouton. ‘’Le propriétaire de l’animal doit l’immoler lui-même, de préférence, ou au besoin déléguer la tâche à une personne de confiance, tout en étant présent’’, a-t-il expliqué.

‘’Rien de cette viande ne doit être vendu’’, a poursuivi le guide religieux, tout en précisant qu’il est recommandé de donner une partie de la viande en cadeau ou en faire l’aumône aux indigents.

Il a prié pour que le sacrifice du mouton par les musulmans soit agréé par Dieu. De même a-t-il dit des prières pour la guérison des malades.

Macky Sall : ‘’personne ne peut ternir la réputation de la démocratie sénégalaise’’

La ‘’démocratie sénégalaise’’ a une réputation que personne ne peut ternir, a soutenu le président de la République, Macky Sall, laissant entendre des opposants tentent de vilipender le Sénégal à l’étranger.

‘’Personne ne peut tenir la réputation de la démocratie sénégalaise. Partir à l’étranger en dénonçant le président de la République, en ternissant l’image du pays, en pensant que cela va nous mettre hors de la voie empruntée, c’est une erreur. On doit discuter’’, a lancé le chef de l’Etat en marge de la prière de la fête musulmane de l’Aïd El-Kébir, appelée Tabaski au Sénégal.

‘’C’est Dieu et les populations qui donnent le pouvoir, choisissent celui qui sera président’’, a ajouté Macky Sall, s’exprimant en wolof, après avoir prié à l’Institut islamique de Dakar.

Selon le chef de l’Etat, la démocratie sénégalaise est un ‘’héritage’’ qu’il faut sauvegarder. ‘’Nous devons le respect des autres pays envers le nôtre à l’héritage de notre démocratie, pas à notre notre population ou à notre puissance’’, a-t-il souligné.

Macky Sall s’est dit favorable à la discussion entre la majorité et l’opposition, ‘’dans le respect des institutions et de la démocratie’’.

‘’La démocratie a des règles. Si tout le monde est d’accord sur les règles, nous pouvons aller aux élections, ce qui renforce la démocratie sénégalaise’’, a-t-il poursuivi, parlant encore en wolof.

‘’Quand on dirige un pays, on ne perd pas de temps à cause des discussions. Mon devoir, c’est d’appeler au dialogue (…) Le dialogue n’est pas seulement politique. (…) Les affaires concernant le pays ne se résument pas à la politique. La politique ne fait pas marcher un pays’’, a commenté le président de la République.

Le gouvernement doit aussi entretenir un ‘’dialogue social’’ avec les travailleurs, les syndicalistes, les retraités et d’autres segments sociaux, a-t-il ajouté, ajoutant que le dialogue nécessaire en politique a déjà eu lieu et qu’il ne reste qu’à organiser les prochaines élections, la présidentielle et les locales de 2019.

Macky Sall adresse ses vœux de paix à la communauté musulmane

Le président de la République, Macky Sall, a souhaité prier pour ‘’la paix’’ et ‘’la communion’’ au sein de la communauté musulmane mondiale, à l’occasion de la célébration de la fête de l’Eid El-Kébir, communément appelée Tabaski au Sénégal.

‘’En cette circonstance, je présente mes vœux les meilleurs à toute la Ummah (la communauté musulmane, Ndlr). Je formule des prières pour la paix, la communion…’’ a-t-il déclaré dans un communiqué reçu de la présidence sénégalaise.

‘’L’Eid El-Kébir nous offre encore l’occasion de réaffirmer les valeurs de paix, de pardon et de solidarité de l’islam. Notre commune volonté de vivre ensemble trouve tout son sens dans ce jour béni, symbole insigne du sacrifice pour le salut de tous’’, a écrit le chef de l’Etat.

‘’Notre commune volonté de vivre ensemble trouve tout son sens dans ce jour béni, symbole insigne du sacrifice pour le salut de tous’’, a-t-il ajouté, souhaitant à ‘’tous les musulmans sénégalais une excellente fête de Tabaski’’.

La majorité des musulmans sénégalais célèbre la Tabaski mercredi, suivant le conseil de la Commission nationale de concertation sur le croissant lunaire, un organe officiel constitué de représentants des confréries musulmanes du pays.

Pour d’autres, dont les membres de la Communauté des musulmans du Sénégal, la fête a eu lieu mardi.

La célébration de l’Eid El-Kébir marque la fin du pèlerinage à La Mecque, en Arabie Saoudite.

La ‘’fête du sacrifice’’ célèbre un épisode relaté dans le Coran, selon lequel Dieu demanda à Ibrahim de sacrifier son fils, Ismaël, pour éprouver sa foi.

Au moment où l’homme s’apprêtait à immoler l’enfant à l’aide d’un couteau, l’ange Jibril intervint et remplaça l’enfant par un bélier, l’animal le mieux recommandé pour la célébration de la Tabaski, la plus importante des fêtes musulmanes.

Trafic de migrants : Plus de 49 suspects dans les prisons sénégalaises

L’arrestation de quatre suspects à l’Aéroport international Blaise Diagne (Aibd), pour trafic de migrants n’est pas sans rappeler les nombreux cas qui font l’objet d’enquêtes judiciaires. Une dizaine de suspects séjournent dans les prisons sénégalaises à Dakar et dans les régions, en attendant leur procès.

Comme révélé en exclusivité par le journal L’Observateur, trois dames et un homme ont été arrêtés par la police sénégalaise dans l’enceinte de l’Aéroport international Blaise Diagne (Aibd), alors qu’elle tentait de convoyer quatre personnes au Brésil, en transitant par le Mali. C’était le 12 août dernier. De faux documents dont quatre passeports et autant de titres de séjour brésiliens ont été trouvés chez les mis en cause. Ce qui leur a valu une garde à vue, en attendant qu’ils atterrissent à la case prison où ils vont rejoindre d’autres personnes poursuivies pour les mêmes faits. Ce cas vient allonger la longue liste des personnes détenues dans les prisons sénégalaises, pour trafic de migrants et infractions similaires. En décembre 2017, trois personnes ont été arrêtées à Dakar, pour «convoi international de migrants» en société et «trafic de migrants». Le premier, Adama Mbaye, est présenté par l’accusation comme un passeur cité dans des faits de trafic de migrants et de traite de personnes, en Libye. Il a été arrêté par des éléments de la Section de recherches de la Gendarmerie nationale, dans les locaux de la radio Rfm où il participait à l’émission «Thème de la semaine».

Des victimes ont cité plusieurs fois son nom au cours de l’émission et il était venu donner sa version des faits. L’affaire a éclaté après une plainte d’une dame du nom de Ndèye Sonko contre un tiers, pour le délit «abus de confiance» portant sur 800 mille FCfa. Durant les investigations, les enquêteurs découvrent que la plaignante recevait de fortes sommes d’argent en provenance de la Libye. Très vite, ils établissent le lien entre le réseau de Ndèye Sonko et celui d’Adama Mbaye, Ndèye Sonko a également été arrêté pour trafic de migrants. Cela au même titre qu’Adama Mbaye. Jeudi 30 novembre de l’année dernière, ce fut l’arrestation d’un Malien pour «convoi international de migrants», à Tambacounda. Une zone décrite comme un point de départ de migrants souhaitant se rendre en Libye. L’homme est soupçonné de faire partie d’une organisation à but lucratif visant à transporter, de manière clandestine, des candidats à l’émigration, en direction de la Libye. Au cours de l’enquête préliminaire, le suspect avait reconnu avoir pour projet entres autres, d’acheminer un client vers Bamako. Ce client devrait se rendre en Libye, rapporte la Police. L’interpellation s’est faite en collaboration avec les brigades du secteur frontalier de Tambacounda.

Détenu à la Maison d’arrêt et de correction de Thiès, le cas Abdou Aziz Ndoye vient s’ajouter à la liste, poursuivi qu’il est pour avoir organisé le voyage illégal de sa copine. Déféré au parquet par le commissariat de Tivaouane, il est toujours en détention provisoire en attendant son procès dont la date reste encore incertaine. Au début de l’année 2018, Interpol a révélé, dans un communiqué publié en ce sens, avoir alpagués entre le 6 et le 10 novembre 2017, 40 trafiquants de migrants. Cette grosse prise a été rendue possible par l’opération «Épervier» menée de manière simultanée dans cinq pays du Sahel, y compris le Sénégal. Quelque 500 migrants qui étaient destinés entre autres à la vente, à la mendicité, à la prostitution et aux travaux forcés ont été sauvés par cette organisation internationale de la Police criminelle. Les personnes incriminées font l’objet d’enquêtes judiciaires pour «traite d’êtres humains, travail forcé et exploitation d’enfants».

Dans la diaspora, plusieurs Sénégalais séjournent dans les prisons des différents pays d’accueil, pour les délits et crimes liés au trafic de migrants. C’est le cas notamment en Italie, en Libye, et d’autres pays en Afrique et en Europe.

8396 milliards FCFA de dépôts dans les banques de l’Uemoa en 2017

Le cumul annuel des dépôts à terme effectués à l’ouverture de nouveaux comptes dans les banques de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) est ressorti à 8.396 milliards de FCFA (environ 14,273 milliards de dollars) en 2017, a révélé mardi la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO).

Comparés en 2016 où ils s’élevaient à 8.059 milliards FCFA en 2016, ces dépôts connaissent une hausse de 4,2% (1 FCFA équivaut à 0,0017 dollar). Selon la BCEAO, cette progression est en lien notamment avec « la hausse des dépôts à terme effectués par les entreprises publiques (plus 17,6%), les ménages (plus 10,0%), et les entreprises privées du secteur productif (plus 5,0%) ».

Par pays, le montant des nouveaux dépôts à terme s’est inscrit en hausse au Sénégal (+42,9%), en Côte d’Ivoire (plus 17,1%), au Mali (plus 14,6%) et au Bénin (plus 7,1%). Par contre, des baisses sont enregistrées en Guinée-Bissau (moins 54,0%), au Togo (moins 28,0%), au Burkina (moins 13,8%) et au Niger (moins 7,2%).

L’examen de la structure des dépôts suivant leur durée révèle qu’en 2017, 81,4% des dépôts effectués par les agents économiques sont de court terme (inférieur ou égal à 2 ans), 21,6% sont de moyen terme (entre 2 ans et 5 ans) et 5,8% sont de long terme (16,4%).

Selon la BCEAO, la prépondérance des dépôts de court terme traduit le fait que les agents économiques constituent des ressources pour satisfaire des besoins plus ou moins immédiats. « Cette structure des dépôts peut constituer un obstacle dans le processus d’octroi des crédits et de financement de l’économie, car elle limite la capacité des banques à accorder des crédits à long terme », souligne la Banque centrale.

L’institut d’émission est d’avis en effet que la mobilisation de ressources en vue du financement de l’économie de l’UEMOA nécessite la disponibilité d’une épargne adaptée au besoin de ce financement.

Verdict du procès de Khalifa Sall : La Décade Fatidique

C’est dans dix jours, le 30 août plus précisément, que la Cour d’appel rendra son verdict dans le procès du maire de Dakar. Mais ses partisans ne se font pas d’illusion.

Le compte à rebours à démarrer pour Khalifa Sall, ses avocats et ses partisans. En effet, c’est dans dix jours, le 30 août plus précisément, qu’ils connaitront le verdict de la Cour d’appel. Le maire de Dakar a été condamné en première instance à cinq ans d’emprisonnement ferme. En appel, le tribunal a requis la confirmation de la peine en première instance. Ses militants les plus optimistes espèrent son acquittement le 30 août prochain. En revanche, d’autres militants, les plus lucides, ne se font pas d’illusion. Ils redoutent sa condamnation pour l’empêcher de se présenter à l’élection présidentielle dont le premier tour est fixé au 24 février 2019. D’ailleurs, ils sont nombreux ses partisans qui dénoncent un procès politique.

Récemment le député Cheikh Bamba Dièye a accusé les juges Malick Lamotte et Demba Kandji de faire le jeu de l’Exécutif qui cherche d’après lui, à priver Khalifa Sall d’élection. D’ailleurs, toutes les demandes de libération provisoire introduites par les avocats du maire de Dakar ont été rejetées.

Mieux, dans son réquisitoire l’avocat général près la Cour d’appel de Dakar, Lansana Diabé Siby, avait demandé l’annulation partielle du Procès-verbal d’enquête préliminaire au motif que les détenus dans cette affaire n’ont été assistés par leurs avocats.

«Dès l’interpellation, l’avocat doit être présent. Ce débat est terminé. Le procès-verbal d’enquête préliminaire de la procédure doit tout simplement être écarté parce que les interpellés n’ont pas eu droit à la présence d’avocat», avait-t-il explicité. L’avocat général qui n’a pas été suivi par la Cour d’appel allait ainsi dans le sens de la cour de la Cedeao qui réclamait la libération du maire de Dakar pour vice de forme.

Le professeur de droit pénal à l’université Cheikh Anta Diop, Ndiack Fall, affirme que le maire de Dakar, Khalifa Sall, doit être libéré pour «vice de forme». Ce pénaliste explique que la vice de forme annule toute la procédure. Dans son arrêt rendu cette semaine, la Cour de justice de la Cedeao a réclamé sa libération pour «violation de ses droits».

Mais le juge Demba Kandji n’a pas suivi ni l’avocat général et la cour communautaire. Il avait juste renvoyé le procès pour permettre dit-il, à la Cour d’appel de prendre connaissance de la décision de la Cedeao.

Huit projets retenus par un fonds d’appui au journalisme d’investigation

Huit projets soumis par des journalistes sénégalais provenant de divers médias vont bénéficier d’un Fonds d’appui au journalisme d’investigation dont la première édition a été lancée le 28 juin dernier par E-jicom, une école de journalisme dakarois, de concert avec le European Journalism Center (EJC), a-t-on appris des promoteurs du projet.

Ils ambitionnent, par ce biais, de « promouvoir la pratique de l’investigation journalistique sur des sujets d’intérêt public dans les médias sénégalais ».

« Ce Fonds entend encourager ce genre journalistique au Sénégal et inciter les médias à contribuer au débat public par la pratique d’un journalisme de qualité sur les questions vitales de notre société », peut-on lire dans un communiqué.

Selon le texte, cette initiative « entre dans le cadre d’un projet plus vaste, Ethique et Excellence dans le Journalisme (EEJ) », mis en depuis 2017 par E-jicom (Ecole supérieure de journalisme, des métiers de l’Internet et de la communication), avec l’appui de l’EJC, le European Journalism Center.

Dans le cadre de la première édition, signale le communiqué, « le Fonds a décidé d’appuyer des projets relatifs à la bonne gouvernance et pouvant contribuer à exposer la mauvaise gestion dans différents secteurs de la vie nationale ».

Les huit projets sélectionnés ont été choisis par un jury international, suite à un appel public à candidatures ayant permis aux journalistes de soumettre leurs sujets avant que le jury, conjointement mis en place par E-jicom et EJC, ne délibère sur les projets éligibles, précise le communiqué.

Il fait valoir que les projets choisis par le jury « l’ont été sur la base de critères comme l’originalité, la pertinence, la faisabilité, l’intérêt public, etc. »

Les journalistes sélectionnés se retrouveront en atelier avant la remise des fonds et le lancement effectif de leurs travaux, signale-t-on de même source.

Tabaski 2018 : 425 prisonniers graciés par le président de la République

Au total, 425 prisonniers condamnés pour divers délits sont graciés par le président de la République, Macky Sall, à l’occasion de l’Aïd El-Kébir célébrée ce mercredi 22 août 2018 par la majorité des musulmans sénégalais.

« Le président de la République, fidèle à la tradition républicaine, a bien voulu accorder son pardon à 425 personnes condamnées pour des infractions diverses et incarcérées dans les différents établissements pénitentiaires du Sénégal. Cette mesure de clémence concerne des délinquants primaires, des condamnés présentant des gages de resocialisation, de grands malades et des mineurs », explique un communiqué publié par le gouvernement.

Avant l’annonce de la grâce présidentielle, Macky Sall affirmait dans un autre communiqué de presse que la tabaski « nous offre encore l’occasion de réaffirmer les valeurs de paix, de pardon et de solidarité de l’Islam ».

« Notre commune volonté de vivre ensemble trouve tout son sens dans ce jour béni, symbole insigne du sacrifice pour le salut de tous. En cette circonstance, je présente mes vœux les meilleurs à toute la Ummah. Je formule des prières pour la paix, la communion et l’esprit de résilience », écrit-il dans le texte rendu public par le service communication de la Présidence de la République.

Mardi, la coordination des musulmans du Sénégal et la communauté omarienne ont célébré la tabaski.

Sénégal : la plainte de Viviane Wade contre Nsia déboutée

L’ancienne première dame du Sénégal a d’ailleurs été condamnée à payer la 200 millions à la société d’assurance.

 

L’ancienne Première dame Viviane Wade qui avait saisi la Cour suprême contre la société d’assurance Nsia, a été déboutée. Selon Les Echos, ladite Cour l’a condamnée à payer 200 millions de Fcfa à la société d’assurance. La peine, souligne le journal, a été prononcée  hier par la chambre civile et commerciale de la Cour suprême pour l’affaire de l’incendie d’une partie du Lamantin beach survenu en 2011.

Viviane Wade est donc déclarée civilement responsable de l’incendie d’une partie du Lamantin beach. Un feu allumé par le gardien de sa maison, sise à Saly, s’était propagé dans certaines maisons voisines et dans l’hôtel.

Rappelons qu’en première instance, l’ex-Première dame avait été blanchie. Mais devant la Cour d’appel, elle a été condamnée à payer 200 millions de Fcfa. Peine confirmée par la Cour suprême. Elle doit passer à la caisse.

Football : Galatasaray veut recruter Baye Omar Niasse

 

Galatasaray prépare une offre pour Baye Omar Niasse, annonce la presse turque. L’international sénégalais est actuellement pisté par le club turc. L’attaquant d’Everton pourrait donc rejoindre Galatasaray qui jouera la ligue des champions cette saison. Baye Oumar Niasse a inscrit la saison dernière 8 buts en 22 matchs avec Everton. Il n’a pas participé au mondial 2018 avec les Lions du Sénégal