GPRRF : Arrestation d’un grand trafiquant de drogue par la douane.

Le service de GPRRF de la douane sénégalaise vient de porter un grand coup au trafic de stupéfiants dans le pays.

En effet, un grand dealer est tombé dans les filets du Groupement polyvalent de recherches et de répression de la fraude (GPRRF) de la Douane. Selon des informations glanées par le journal L’AS, le dispositif de surveillance du territoire national mis en place par les gabelous reste efficace et couronné de succès.

Basé à Thiès, le Groupement polyvalent de recherches et de répression de la fraude (GPRRF) a effectué, dans le cadre de la lutte contre le trafic de drogue, des opérations «coup de poing» au niveau de la Petite Côte. Les douaniers ont ainsi pu saisir 774 kilos de cannabis transportés par voie maritime et débarqués nuitamment.

Saisie de drogue au Port de Dakar : les accusés aux portes de la chambre criminelle

Les personnes interpellées dans l’affaire de la cocaïne saisie au Port de Dakar, dans la nuit du 25 au 26 juin dernier, ont bénéficié d’un retour de parquet.

Il s’agit de 4 Sénégalais, 5 étrangers, dont un couple allemand, 2 Italiens (le commandant et le capitaine du bateau) et le directeur de Dakar Terminal de nationalité française.

Il leur est reproché des délits d’association de malfaiteurs, contrebande, importation sans déclaration de marchandises, trafic international de drogue, complicité séditieuse pour conspiration interne en milieu portuaire avec un réseau organisé transfrontalier…

Des chefs d’accusation qui, selon l’Observateur, devrait être connus de la Chambre criminelle. Pour cela, il faudrait que le doyen des juges, qui a hérité du dossier, maintienne, après l’instruction de cette affaire, ces motifs. Le journal indique que le Procureur a déjà requis le mandat de dépôt contre les mis en cause.

Pour mémoire, les douanes sénégalaises ont saisi près de 800 kg de cocaïne en provenance du Brésil cachée dans des véhicules neufs sur un bateau au port de Dakar. La cocaïne saisie dans la nuit de samedi 25 au dimanche 26 juin dernier, d’une quantité de 798 kg, a été découverte sur 15 véhicules  dans un lot contenant des dizaines de voitures neuves.

Sénégal-Kaolack: 7 tonnes de drogue incinérés

C’était hier, au cours d’une cérémonie en présence du gouverneur de la région et le procureur de la République.

Cinq tonnes de drogue et cinquante tonnes de produits impropres à la consommation, d’une valeur de 2,7 milliards de Fcfa, ont été incinérées, hier, à Kaolack.
Selon Libération, la cérémonie a eu lieu en présence du gouverneur de la région et du procureur de la République.
La drogue a été saisie par les forces de défense et de sécurité. Quant aux produits impropres à la consommation, ils sont à l’actif de la Brigade mixte coordonnée par le service régional du commerce.

Sénégal : Idrissa Cissé remet en question la condamnation des drogués

Le directeur de l’OCRTIS demande au gouvernement sénégalais de reconsidérer le fait d’envoyer systématiquement en prison les personnes consommant la drogue.

 

Le directeur de l’Office central de répression du trafic illicite des drogues (OCRTIS), Idrissa Cissé, a appelé à un changement de démarche relativement à l’envoi systématique des usagers de drogue en prison, par la prise en considération de leur personnalité.

Cela doit être fait ‘’au même titre’’ que pour ‘’un malade ordinaire gardé à vue entre les mains de l’officier de police judiciaire, pris en compte médicalement et référé vers une structure de santé qui le prend en charge correctement’’.

Idrissa Cissé prenait part à l’ouverture d’une formation organisée par l’Alliance nationale des communautés pour la santé (ANCS) au profit des médiateurs des usagers des drogues injectables, des forces de sécurité et d’AJD/PASTEEF.

Selon le directeur de l’OCRTIS, lorsqu’il s’agit d’un usager de drogue, compte tenu des effets de la drogue sur l’organisme humain, on est obligé de privilégier les considérations sanitaires et lui faire un diagnostic avant tout envoi en prison.

A l’en croire, l’envoi systématique des consommateurs de drogue en prison doit être revu, parce que le code des droits n’a pas attendu le contexte actuel pour prendre en charge les considérations sanitaires les concernant.

Il a rappelé que ‘’dans le dispositif du code des droits, il est prévu l’injonction thérapeutique’’. Même le juge pénal qui a devant lui un usager, a la possibilité d’appliquer une sanction pénale ou d’enjoindre l’usager à se faire traiter médicalement, en vue de le sortir de ce piège qu’est la drogue.

Si cela marche, il n’y a pas de raison d’envoyer systématiquement les usagers en prison, où ils pourraient faire face à des situations beaucoup plus pernicieuses qui pourraient compromettre leur santé, a-t-il expliqué.

Pour la directrice exécutive de l’ANCS, Maguette Mbodji, il est temps que l’intégration de la dimension ‘’santé publique’’ soit réelle dans les approches de lutte contre la drogue.

‘’Je pense que sur ce plan, le Sénégal est très en avance, parce que nous avons un plan stratégique de lutte contre la drogue qui mobilise tous les acteurs de la société civile, du secteur public et privé, autour d’un plan qui nous permet de voir tous les aspects qui nous permettent de mieux gérer la question de la drogue’’, a-t-elle dit.

Selon elle, lorsqu’on parle de drogue, l’aspect répressif est toujours davantage mis en exergue, alors qu’il y a beaucoup d’aspects concernant la santé publique et les droits humains qu’il faut aussi faire valoir.

Elle a appelé à une meilleure collaboration entre les forces de répression et les médiateurs qui font office d’interface entre les usagers des drogues injectables et l

Sénégal : un gang de trafiquants de drogue démantelé

Le réseau était piloté par un prisonnier. Au total, c’est trois tonnes de chanvre indien qui ont été saisi par la gendarmerie de Mbour.

 

Quelque 3, 2 tonnes de chanvre indien ont été saisies à Mbour (région de Thiès) dans le cadre d’une opération de démantèlement d’un réseau international de trafic de drogue, a annoncé la gendarmerie nationale, hier lundi.

Selon l’info relayée par l’APS, il s’agit d’une des plus grosses prises faites dans la répression du trafic illicite de stupéfiants au Sénégal, soutient la gendarmerie dans un communiqué qui fait également état de l’arrestation de trois personnes dont une femme dans cette opération menée mercredi par sa section de recherches.

Les gendarmes étaient depuis 2014 aux trousses des animateurs de ce réseau international alimenté à partir d’un pays limitrophe. Le transport de la drogue se faisait notamment par le biais de camions dotés de fausses parois, selon la source.

L’Agence de presse sénégalaise indique que le réseau, dirigé par un individu de nationalité étrangère, travaillait avec plusieurs complices basés au Mali et s’appuyait sur des Sénégalais pour conduire ses activités qui l’amenaient à réexporter la drogue en Mauritanie, indique la gendarmerie.

Après une première arrestation, le chef du réseau a été libéré en 2014 puis arrêté en nouveau en avril dernier. De la prison il parvenait par des ‘’ moyens détournés à coordonner le trafic malgré les précautions rigoureuses prises par l’administration pénitentiaire’’, apprend-t-on de la même source.

L’opération ayant abouti à la saisie de cette importante quantité de drogue a été menée sur la base de renseignements faisant état de l’arrivée imminente d’une cargaison de drogue en provenance d’un pays limitrophe du Sénégal, selon le communiqué de la gendarmerie.

Le dispositif de surveillance de riposte mis en place par les hommes en bleu a, dans un premier temps, permis de mettre en filature les émissaires présumés du dealer et de les arrêter dans un bus à hauteur de la ville de Mbour.

La fouille des suspects ne permit pas aux enquêteurs de découvrir de la drogue, mais avec enquêtes plus poussées ils apprirent l’existence d’un appartement servant de cache pour la drogue.

‘’ Les triangulations effectués par les techniciens de la plateforme numérique de lutte contre la cybercriminalité de la Gendarmerie indiquent les coordonnées d’un site localisé à Mbour 3, dans la région de Thiès’’, mentionne la source.

Elle précise que la descente des gendarmes de la section de recherches a permis de découvrir une maison dans laquelle, le dealer avait loué un appartement depuis un an mais dans lequel il ne résidait pas.

‘’A l’ouverture de la porte de l’une des chambres, les enquêteurs tombent sur un stock de 3,2 tonnes de chanvre indien(…).les trois personnes interpellées ont été ensuite acheminées sur Dakar’’, ajoute la source.

Diaspora : Deux sénégalais arrêtés en Italie pour vente de drogue

C’est lieu de vente était une pharmacie. Selon la police italienne, ils appartiennent à une organisation criminelle.

 

Deux sénégalais qui vivent en Italie seraient membre d’une organisation criminelle. Où, du mois, si l’on croit à la police italienne. Cette dernière a procédé, hier, à l’arrestation de ses deux hommes. Informé des activités « illégales » d’une pharmacie dans cette zone, les flics avaient installé des caméras aux alentours de cette structure. Ainsi, leurs soupçons ont été confirmé par des entrés et sortis des deux accusés. C’est alors que les agents de la police ont décidé de descendre dans les lieux avec un mandat de perquisition.

Il faut dire que la pêche a été bonne pour les policiers. Car, ils ont saisi 13 grammes de haschich, 8 grammes de marijuana et une importante quantité de cocaïne. Tous les stupéfiants ont disposés en doses individuelles et étaient prêts à la vente. Après l’interrogation, les présumés criminelles auraient révélé être membre d’une organisation criminelle.