Ouverture à Nouakchott de la réunion des ministres des AE de l’UA

La 33-ème session du conseil exécutif des ministres des Affaires étrangères de l’Union Africaine a commencé ses travaux jeudi à Nouakchott en préparation du 3-ème sommet, prévu les 1er et 2 juillet prochains, a-t-on constaté dans la capitale mauritanienne.L’ordre du jour de ce conseil comporte l’examen du rapport de la 36ème session de la commission des représentants permanents de l’Union et du projet de budget de cette dernière ainsi que l’élaboration d’une vision pour la mise en œuvre du thème du sommet de Nouakchott, en l’occurrence «Gagner la lutte contre la corruption : un chemin durable vers la transformation de l’Afrique».

Les travaux porteront également sur les rapports des commissions sectorielles, des commissions spécialisées et de la commission ministérielle des candidatures africaines au sein du système international, en plus du rapport de la commission ministérielle de la programmation des quotas et des contributions et de celui de la commission sur la situation des droits de l’Homme en Afrique.

Au menu aussi des discussions se trouvent les mécanismes de l’élection des magistrats de la Cour africaine des droits de l’Homme, des membres de la commission africaine du droit international, des experts africains dans le domaine des droits de l’enfant et du président de l’Université africaine.

Dans un mot à l’ouverture de la session, le chef de la diplomatie mauritanienne, Ismail Ould Cheikh Ahmed, a loué les étapes importantes et accélérées franchies par l’UA et dont la première en date était le sommet historique tenu à Kigali en 2018 et qui a été couronné par la signature par 44 Etats africains de la convention portant création de la zone franche commerciale africaine.

Cette zone, a-t-il souligné, se répercutera de façon positive sur le continent africain dans la mesure où elle doit contribuer au renforcement du commerce, des échanges économiques et de la libre circulation des personnes et des biens.

De son côté, le président de la commission de l’UA, Moussa Faki Mahamat, a indiqué que les Etats membres doivent marquer leur engagement à lutter contre la corruption du sceau de l’action et du concret.

Pour lui, la cohésion sociale et la viabilité des Etats seront durablement affectées tant que ce fléau ne sera pas énergiquement combattu.

Dix migrants illégaux interceptés en Mauritanie

Neuf ressortissants sénégalais et un Béninois ont été interceptés par la gendarmerie mauritanienne à Nouadhibou (470 kilomètres au Nord de Nouakchott) alors qu’ils tentaient partir illégalement vers les Iles Canaries espagnoles, a-t-on appris de source sécuritaire.Le groupe de migrants clandestins a été arrêté dans la nuit de mardi à mercredi dans les eaux mauritaniennes à bord d’une embarcation qui mettait le cap sur l’archipel ibérien.

Il a été soumis à un interrogatoire sur les circonstances de son arrivée en Mauritanie et l’identité des éventuels passeurs qui ont organisé le voyage.

Selon l’usage en vigueur, les 10 personnes seront par la suite remises à la police qui les fera expulser vers leur pays d’origine.

Une cinquantaine de ressortissants sénégalais qui étaient en route vers les mêmes Iles Canaries à bord d’une pirogue avaient été appréhendés le 3 juin 2018 au large de Nouadhibou et refoulés vers leur pays de départ.

La Mauritanie est liée à l’Espagne par des accords qui prévoient que les services de sécurité de la première empêchent toute tentative d’infiltration en territoire espagnol à partir de leur pays.

Des membres de la Gardia Civile espagnole sont présents à Nouadhibou, avec du matériel de surveillance maritime, dans le cadre la répression conjointe de la migration illégale.

Nouakchott étudie les modalités de sa contribution au financement de l’UA

Le ministre mauritanien de l’Economie et des Finances, Moctar Ould Diay a déclaré, mercredi à Nouakchott, que son département se penche actuellement sur l’élaboration des textes réglementaires et juridiques nécessaires à l’exécution de la décision du sommet de l’Union africaine (UA) à Kigali relative au prélèvement de 0,2 % sur les importations provenant de pays en dehors de l’Afrique pour financer l’organisation continentale.Ould Diay s’exprimait lors de la réunion du Comité des 15 ministres des Finances de l’UA (F15) qui prépare le 31ème sommet ordinaire de l’union prévu les 1er et 2 juillet 2018 dans la capitale mauritanienne.

Cette réunion porte notamment sur l’examen du projet du budget de l’UA pour l’année 2019.

« Elle permettra de mesurer les derniers développements enregistrés par l’UA dans le processus de mise en œuvre des réformes institutionnelles et de l’autofinancement durable et équitable à travers la garantie du financement par les Etats africains des activités de l’Union et la consolidation de l’agenda du développement », a expliqué le ministre mauritanien.

Il a ajouté que ladite réunion permettra également de faire les recommandations nécessaires pour assainir et améliorer les procédures, élaborer et exécuter le budget des différentes instances au cours de la prochaine étape.

Il a passé en revue les multiples difficultés qui entravent le processus de réformes de l’Union africaine, citant notamment le volume considérable des financements et investissements nécessaires et relevant que les défis auxquels le continent fait face impliquent nécessairement la conjugaison des efforts, le renforcement et la rationalisation des moyens disponibles.

« Ceci doit être doublé d’une volonté inébranlable de parvenir aux nobles objectifs visés afin de trouver des voies sûres et garanties pour le financement de l’Union en comptant sur ses propres efforts », a préconisé le ministre mauritanien de l’Economie et des Finances, Moctar Ould Diay.

Il a par ailleurs loué les réalisations majeures enregistrées par l’UA au cours de la dernière période, avec le lancement du marché du transport aérien africain unifié, la signature du traité de la Zone africaine de libre échange continentale (Zlec) et du Protocole additionnel du traité fondateur de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) portant sur la libre circulation des personnes, le droit de résidence et le droit d’établissement.

« Cela, a-t-il indiqué, va contribuer à stimuler la complémentarité économique africaine et renforcer le commerce régional et, partant, la croissance économique ».

Sommet de l’UA : vendeurs ambulants et gardiens privés expulsés des quartiers chics de Nouakchott

Les vendeurs ambulants à Nouakchott, y compris les revendeurs de crédits prépayés de téléphones portables, ont été expulsés par les forces de l’ordre des quartiers chics de Nouakchott, notamment celui de Tevragh Zeina, a constaté APA dans la capitale mauritanienne.Cette expulsion est motivée par la volonté de donner une belle image de ces quartiers où seront logées les délégations attendues au 31e sommet de l’Union Africaine (UA), prévu les 1er et 2 juillet prochains à Nouakchott.

La mesure a également englobé les gardiens de bâtiments ou institutions privés ainsi que les vendeuses de couscous local planquées généralement à l’entrée des supermarchés ou des boutiques de vente en détail.

Une quarantaine de chefs d’Etat prendra part au sommet de Nouakchott, avait annoncé le porte-parole du gouvernement mauritanien, Mohamed Lemine Ould Cheikh, lors d’un point de presse, jeudi dernier à Nouakchott.

Ould Cheikh n’a pas donné de précisions supplémentaires sur les dirigeants qui seront présents.

L’on sait par ailleurs que le sommet verra la participation du président français Emmanuel Macron, qui effectuera ainsi sa première visite en Mauritanie depuis son élection.

La sécurité des délégations dans leur lieu de résidence a été confiée à des unités de la gendarmerie qui se sont d’ores et déjà déployées dans les entourages des hôtels et villas réservés à cet effet.

Vu le nombre très insuffisant des hôtels à Nouakchott, des dizaines de maisons ont été louées pour abriter les participants à cette conférence, la plus grande jamais organisée dans le pays.

Mauritanie : début des travaux du comité des représentants permanents de l’UA

Les travaux de la 36ème session du Comité des représentants permanents de l’Union Africaine (COREP) ont débuté, lundi à Nouakchott, en prélude au sommet de l’organisation continentale prévu les 1er et 2 juillet 2018, a constaté APA.La tenue de cette session a inauguré le nouveau palais des congrès flambant neuf du Centre international des conférences «El Mourabitoune» de Nouakchott, situé à l’extérieur de la ville, sur la route de l’aéroport.

L’ordre du jour des travaux qui dureront deux jours comprend l’examen d’un certain nombre de rapports, dont celui de la réunion conjointe entre le sous-comité du programme et des conférences et le sous-comité chargé de la coordination et de la supervision générale du budget et des affaires financières et administratives.

Il englobe également trois rapports émanant du sous-comité pour la coopération multilatérale, du sous-comité sur les réfugiés, les rapatriés et les personnes déplacées en Afrique et du sous-comité sur la réforme des structures.

Les représentants permanents discuteront aussi des rapports 2017 de la Commission de l’UA sur l’égalité des sexes en Afrique, la situation en Palestine et au Moyen-Orient, les implications structurelles et financières de l’Agence spatiale africaine et la situation humanitaire en Afrique.

Ils examineront en outre d’autres rapports, dont l’un provient de la Commission de l’UA et porte sur la Cour africaine des droits de l’Homme, alors que les autres émanent de la Commission africaine des droits de l’Homme et des peuples, du Conseil consultatif de l’UA contre la corruption et du Parlement africain.

Ouvrant les travaux, le Secrétaire général du ministère mauritanien des Affaires étrangères et de la Coopération, Ahmed Mahmoud Ould Soueid’Ahmed, a indiqué que les défis auxquels l’Afrique fait face « nécessitent de conjuguer les efforts, d’unifier les énergies et de renforcer les capacités pour atteindre les nobles objectifs fixés par les pères fondateurs de l’Union ».

Les sacrifices de ces pères fondateurs « nous obligent à poursuivre le chemin qu’ils ont tracé aux Africains », a-t-il dit, signalant que ces dernières années ont été marquées par plusieurs étapes importantes, notamment la naissance de la Zone de libre-échange continentale (Zlec) et du système de réforme globale en vue de parvenir à des moyens sûrs et efficaces pour le financement de l’UA.

De son côté, la présidente de la 36ème session du COREP, Hope Tumukunde, ambassadrice du Rwanda auprès de l’UA, a salué la décision des Chefs d’Etats et de Gouvernements de consacrer le Sommet de Nouakchott à la lutte contre la corruption, dont la lutte constitue un processus durable à travers la mise en place d’une feuille de route pour éradiquer le phénomène en Afrique.

Elle a souligné que la corruption constitue le plus grand défi qui freine le développement humain.

Mauritanie : l’opposition déclare le sinistre à l’Est et au Centre

L’Institution de l’opposition démocratique en Mauritanie a déclaré l’Est et le Centre du pays comme zones sinistrées du fait de la sécheresse et demandé à l’ONU, aux organisations internationales et aux pays amis de les considérer comme telles et d’apporter leurs soutien face à cette « catastrophe naturelle ».Elle a également exigé, dans une déclaration reçue dimanche à APA, une enquête au sujet des fonds mobilisés par l’Etat pour alléger les effets de la sécheresse et qui « n’ont donné aucun résultat sur le terrain ».

La Mauritanie connait cette année l’une de ses plus sévères sécheresses à cause du déficit pluviométrique enregistré pendant la saison passée.

Le gouvernement mauritanien avait annoncé une enveloppe de 41 milliards d’ouguiyas (98 millions d’euros) pour subventionner les prix de l’aliment de bétail et réaliser des forages dans certaines zones reculées du pays.

Mais, l’Institution démocratique a considéré que le gouvernement n’a fait que « fausser les calculs des citoyens en leur faisant rater l’occasion de s’auto approvisionner à temps ».

Ce faisant, elle a appelé à reporter toutes les activités politiques nationales et à unifier les efforts pour faire face à la catastrophe et aider les citoyens à surmonter l’énorme épreuve qu’ils affrontent.

L’opposition mauritanienne avait déjà lancé un SOS en direction des pays voisins pour venir en aide aux éleveurs dont la plupart dépendent exclusivement du cheptel.

Le secteur de l’élevage en Mauritanie représente 10% du PIB et mobilise 75% de la population.

Le pays compte environ 2 millions de bovins, 1,5 million de camélidés, 12 millions d’ovins et 8 millions de caprins.

Listes communes de l’opposition mauritanienne aux élections

Les leaders du Forum national pour la démocratie et l’unité (FNDU) ont signé, samedi à Nouakchott, un accord pour des listes communes aux élections parlementaires, municipales et régionales prévues début septembre 2018, a constaté APA.L’accord en question intitulé « coalition pour l’alternance démocratique » lie une dizaine de formations politiques membres du FNDU.

« Nous avons décidé d’unifier nos efforts dans la prochaine bataille électorale », a indiqué le président en exercice du Front, Mohamed Ould Mewloud, précisant que l’objectif est de gagner le scrutin.

Ould Mewloud a également critiqué le régime actuel en l’accusant de « détruire le pays et de jouer avec les intérêts des populations ».

Il a par ailleurs souligné que la Mauritanie fait face à une vague de sécheresse et à une famine, alors que le régime est occupé par l’organisation d’une manifestation diplomatique dont le but est de « soigner l’image de la personne du président », en allusion au sommet de l’UA, prévue fin juin 2018 à Nouakchott.

« Nous avons pris la décision d’unifier nos efforts pour ne pas laisser le régime accaparer la scène et continuer à détourner le pays », a aussi dit le président du FNDU, ajoutant que le présent accord a été signé par les partis membres du FNDU mais qu’il sera présenté aux autres parties de l’opposition.

Ould Mewloud a aussi considéré que la liste électorale sera une « liste falsifiée » car, elle est confectionnée sur la base d’un « recensement truqué ».

Mauritanie : les élections législatives et locales fixées au 1er septembre

Le premier tour des élections parlementaires et locales en Mauritanie aura lieu le 1er septembre 2018, informe le communiqué du Conseil des ministres tenu jeudi à Nouakchott.Le texte cite un projet de décret approuvé le même jour lors de la réunion gouvernementale et qui porte sur la convocation du collège électoral pour l’élection des députés à l’Assemblée nationale, des conseillers régionaux et des conseillers municipaux.

Il stipule que les candidatures pour l’élection des députés seront reçues par le représentant local de Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) entre le 18 juillet et le 02 août 2018.

Pour l’élection des conseillers régionaux et des conseillers municipaux, les candidatures seront reçues par le représentant local de la CENI entre le 03 et le 13 juillet 2018.

Quant à la campagne électorale, elle sera ouverte pour les trois scrutins le 17 août 2018 et close le 30 du même mois. Le second tour, s’il a lieu, se déroulera le 15 septembre 2018.

L’opposition mauritanienne a déjà fait savoir qu’elle participera à ces élections.

Plus de 40 dirigeants africains attendus au sommet de l’UA à Nouakchott

Quelque 42 dirigeants africains ont déjà confirmé leur participation au 31e sommet ordinaire de l’Union africaine (UA), prévu fin juin 2018 à Nouakchott, a annoncé jeudi le porte-parole du gouvernement mauritanien, Mohamed Lemine Ould Cheikh.S’exprimant au cours d’un point de presse après le Conseil des ministres, Ould Cheikh a estimé que c’est là un niveau de participation rare aux sommets de l’UA.

Il a pris pour exemple le dernier sommet organisé à Addis Abeba et qui n’a vu que la participation de 22 chefs d’Etats et de gouvernements sur les 55 pays membres.

Le porte-parole qui occupe aussi le poste de ministre de la Culture, de l’Artisanat et des Relations avec le Parlement, a également annoncé une participation internationale remarquable, sans donner de noms.

Le président français Emmanuel Macron a déjà confirmé son déplacement à Nouakchott pour prendre part à ce sommet. Par ailleurs, Ould Cheikh a indiqué que son pays n’a pas reçu de la part de Rabat une confirmation de participation personnelle du roi du Maroc, Mohamed 6.

La venue de ce dernier à Nouakchott a été rapportée par un certain nombre de medias.

Plus de 50.000 candidats passent le baccalauréat en Mauritanie

Quelque 50.045 candidats passent les épreuves du baccalauréat 2018 qui ont commencé lundi en Mauritanie, selon les chiffres du ministère de l’Education nationale.Près de la moitié des candidats (49%) sont des filles, précise le ministère, ajoutant que les examens se déroulent dans 132 centres dans tout le pays, avec 61 centres pour la seule ville de Nouakchott.

Les épreuves portent sur les mathématiques, les sciences naturelles, la filière technique et les disciplines littéraires modernes et originelles (sciences religieuses).

Le baccalauréat mauritanien jouit d’une « crédibilité nationale et internationale » résultant des mesures prises par l’Etat dans une atmosphère caractérisée par le professionnalisme, la justice et la transparence, a déclaré le ministre de l’Education nationale, Isselmou Ould Sid’El Moctar.

Ce diplôme occupe une place de choix dans le processus de promotion et de renforcement de « notre système d’enseignement en vue de rehausser son niveau et de le rendre en harmonie avec les exigences de l’heure et les impératifs de la mondialisation », a-t-il dit lors d’une visite d’information dans des centres d’examen.

Parmi les mesures prises pour contribuer à prévenir la tricherie, figure la coupure de l’internet sur l’ensemble des téléphones portables pendant les horaires des épreuves.

Hydrocarbure : l’accord de partage de gaz entre le Sénégal et la Mauritanie validé

L’Assemblée nationale a approuvé le 1er Juin dernier la loi autorisant le président de la République à ratifier l’accord sur le partage du  gaz avec la Mauritanie

Le projet de loi numéro 16/2018 autorisant le président de la République à ratifier l’accord de coopération inter-Etat portant sur le développement et l’exploitation des réservoirs du champ grand tortue/Ahmeyim entre le Sénégal et la Mauritanie, signé le 09 février 2018 à Nouakchott a été voté vendredi soir à l’Assemblée nationale.

Ainsi, il ressort du dossier de l’accord que des travaux de forage entrepris dans chacune des zones économiques du Sénégal et de la Mauritanie ont révélé l’existence de réservoirs de gaz naturel, dénommés les réservoirs  du champ Gand Tortue/Ahmeyim (GTA) entre le Sénégal et la Mauritanie.

Au sens du présent accord le Champ désigne tous les horizons géologiques, les réservoirs et les zones renfermant du gaz naturel situés au-dessus du périmètre de l’unité jusqu’à la profondeur qui sera définie d’un commun accord et sont spécifiés dans les décrets portant autorisation d’exploitation.

Cette  découverte à fait l’objet de travaux d’évaluation suivis d’essais de production entre 2016 et 2017. Et les données sismiques 3D et celles recueillie des puits ont révélé d’importantes ressources récupérables pour les réservoirs  GTA évaluées à près de 560 milliards de mètres cubes, réparties équitablement entre les deux pays.

Les parties ont manifesté leur désir de s’accorder sur les conditions et les modalités efficientes inhérentes au développement et à l’exploitation du Champ Grand tortue/Ahmeyim GTA comme une unité unique.

C’est au terme de ce processus de négociations avec leurs partenaires que les gouvernements du Sénégal et de la Mauritanie ont signé, le 09 février 2018 à Nouakchott, cet accord  de coopération inter-Etat pour le développement et l’exploitation de ces importants réservoirs.