Sport et politique au menu de la presse en ligne burkinabè

Les journaux en ligne burkinabè font écho de l’actualité nationale marquée par des questions de politique, sans oublier le sport, avec la sortie médiatique relative au nouvel entraineur des Etalons du Burkina Faso.Burkina24.com renseigne que la Fédération burkinabè de football (FBF) a présenté, hier vendredi à Ouagadougou, le nouvel entraîneur des Etalons du Burkina, Kamou Malo.

«Le désormais ancien entraîneur de l’Union sportive des forces armées (USFA) s’est vu confier pour mission de qualifier les Etalons à la CAN 2021 et atteindre les huitièmes de finale», écrit le confrère qui rapporte les propos du nouveau coach qui dit : «J’ai à cœur de prouver qu’avec le local, on peut faire de bonnes choses».

Pour sa part, Fasozine.com affiche : «Éliminatoires Can 2021: Kamou Malo a +l’obligation de constituer une  équipe gagnante+».

Pendant ce temps, Lefaso.net, autre site d’information, met en exergue les propos de Kamou Malo, déclarant : «Je demande le soutien de tous pour relever ce défi».

Quant à Wakatséra.com, il rapporte que «le nouvel entraineur dit reconnaitre que cette confiance placée en lui est un «poids» et compte relever le défis.

Le même média en ligne informe que la 8e Conférence au sommet du Traité d’amitié et de coopération (TAC) entre la République de Côte d’Ivoire et le Burkina Faso se tient du 27 au 31 juillet 2019 à Ouagadougou, sous la co-présidence des présidents Roch Marc Christian Kaboré et Alassane Ouattara.

De son côté, Lefaso.net, en politique, publie une interview de Paul Kaba Thiéba, ancien Premier ministre, avec en exergue cet extrait des propos de l’interviewé: «Je demande aux Burkinabè de me pardonner, ce n’est pas que je n’avais pas la volonté, mais les difficultés étaient là».

Fasozine.Com revient sur la coopération entre le Burkina Faso et la Chine, mentionnant que l’ambassadeur chinois, Li Jian a fait, hier vendredi, le point de la coopération au Premier ministre burkinabè, Joseph Dabiré.

La politique en vedette dans les quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce vendredi évoquent l’actualité nationale dominée essentiellement par des sujets liés à la politique.«TAC: Ouagadougou accueille la 8e Conférence au sommet», arbore le quotidien national Sidwaya, informant que la 8e Conférence au sommet du Traité d’amitié et de coopération (TAC) entre la République de Côte d’Ivoire et le Burkina Faso se tient, du 27 au 31 juillet 2019, dans la capitale burkinabè.

Selon le journal, cette rencontre se tient sous la co-présidence des présidents Roch Marc Christian Kaboré du Burkina Faso et Alassane Ouattara de la Côte d’Ivoire.

Pour sa part, le journal privé Le Pays revient sur la conférence de presse, animée la veille à Ouagadougou, par l’Alliance des partis de la majorité présidentielle (APMP).

Il cite le président de l’APMP, Simon Compaoré qui déclare à propos du dialogue politique initié par le président du Faso que: «C’est une leçon que nous venons de donner, comme nous l’avons fait lors de l’insurrection».

Aujourd’hui au Faso cite également Simon Compaoré, par ailleurs, président intérimaire du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP, au pouvoir) qui dit : «Aujourd’hui, Roch (Marc Christian Kaboré, Ndlr) rime avec liberté, ce n’est pas rien !».

Le même journal rapporte que le Parti pour l’unité nationale et le développement (PUND) de Boukary Kaboré dit ‘’Le Lion du Boulkiemdé », a animé un point de presse, hier jeudi à Ouagadougou, pour donner sa position sur la situation nationale.

«Le parti dénonce une mauvaise gouvernance du pouvoir en place et interpelle le président Roch Kaboré à revoir sa copie en revisitant son discours d’investiture», écrit le confrère.

A ce propos, L’Observateur Paalga (privé), titre : «Le Lion du Boulkiemdé sort de sa tanière», tandis que Le Quotidien reprend les propos du président du PUND qui estime que «la présence des forces françaises sur notre sol est un danger pour les Burkinabè».

Social, politique et football au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce mercredi présentent des menus diversifiés où dominent des sujets liés à la politique marquée par le dialogue initié par le président du Faso et au sport avec la désignation, la veille, d’un nouveau sélectionneur pour les Etalons, sans oublier le social.«Réinsertion sociale : 63 femmes retirées de la rue reçoivent des kits d’installation», titre le journal privé Le Pays qui renseigne que la ministre de la Femme, de la Solidarité nationale a procédé, hier mardi à Ouagadougou, à la remise de lots de matériels, d’équipements et de fonds de roulement au profit de femmes retirées de la rue et formées en gestion d’activités génératrices de revenus.

Pour sa part, le quotidien public Sidwaya rapporte que le Conseil national pour la protection sociale (CNPS) a tenu sa 7e session, le mardi 23 juillet 2019, sous la présidence du Premier ministre, Christophe Dabiré.

Il informe que dans le secteur de la protection sociale, un registre unique des personnes vulnérables est en élaboration.

Le même journal (Sidwaya), en politique, évoque la rencontre manquée entre le gouvernement et les syndicats, soulignant que «l’UAS (Unité d’action syndicale, Ndlr) dénonce un +jeu de cache-cache+».

Quant au journal privé Le Quotidien, il revient sur la conférence de presse animée, la veille à Ouagadougou, par le Chef de file de l’opposition politique (CFOP), Zéphirin Diabré, qui a déclaré à propos du dialogue politique initié par le président du Faso que «les intérêts de politiciens doivent être relégués au second plan lorsque les fondements de la Nation sont menacés».

De son côté, Aujourd’hui au Faso affiche également à sa une ces propos de Zéphirin Diabré : «il appartient au gouvernement de concrétiser ses engagements».

En sport, le même quotidien privé fait observer que «Kamou Malo est le nouveau sélectionneur des Etalons», précisant que l’information a été rendue publique hier 23 juillet, à travers un communiqué de la Fédération burkinabè de football (FBF).

Le sujet occupe la Une de L’Observateur Paalga (privé) qui titre : «Etalons : Kamou Malo, nouveau patron de l’écurie».

Sidwaya relate que l’actuel entraineur de l’Union sportive des forces armées (USFA), Kamou Malo, remplace le portugais Paulo Duarte en poste depuis 2016, dont le contrat, qui arrivait à échéance le 31 juillet prochain, n’a pas été renouvelé par la FBF.

Les résultats du dialogue politique en exergue dans les quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce mardi commentent largement les résultats du dialogue politique initié par le président du Faso, la semaine dernière.«Dialogue politique national : Ils ont discuté, se sont entendus sur tous les points sauf un», arbore, en première page, L’Express du Faso, quotidien privé imprimé à Bobo-Dioulasso, la deuxième capitale burkinabè.

Le journal rappelle que la majorité présidentielle et l’opposition politique ont, du 15 au 22 juillet, cogité ensemble sur les élections de 2020 et sur la situation nationale.

«C’est avec un sentiment de satisfaction générale que la clôture de ce dialogue politique est intervenue ce lundi 22 juin 2019, en présence du président du Faso», écrit L’Express du Faso.

De son côté, le quotidien national Sidwaya rapporte que la rencontre a abouti à plusieurs points de consensus et un seul de désaccord, à savoir la non prise en compte de la carte consulaire biométrique aux élections de 2020.

A ce sujet, L’Observateur Paalga (privé) affiche : «Conclusion dialogue politique : la carte consulaire, seule fausse note de la symphonie de Kosyam (nom désignant la présidence du Faso, Ndlr)».

Dans le même sens, Le Pays, autre quotidien privé, fait remarquer que «hormis la carte consulaire, tous les autres points ont fait l’objet de consensus».

Le journal privé Le Quotidien croit savoir à juste titre que «la carte consulaire biométrique continue de diviser majorité et opposition», présentant à sa Une, l’image du Chef de file de l’opposition politique (CFOP), Zéphirin Diabré et le président par intérim du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP, au pouvoir), Simon Compaoré.

Politique et société au menu des quotidiens burkinabè

Les journaux burkinabè de ce lundi évoquent l’actualité nationale marquée par des faits de société, sans oublier la politique.L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés burkinabè informe que l’ancien député de l’Union pour le progrès et le changement (UPC, opposition), Albert Elisée Kiemdé, vient de créer l’Union pour la république et la démocratie (URD).

Selon le journal, M. Kiemdé, lors de l’installation officielle de ce nouveau parti politique, samedi dernier à Ouagadougou, «n’y est pas allé par quatre chemin pour dire tout le bien qu’il pense de l’attitude actuelle de l’opposition».

De son côté, Le Pays, autre journal privé, affiche à sa une les propos du président de l’URD, Elisée Kiemdé qui déclare : «Nous sommes contre ceux qui pensent que tous les moyens sont bons pour arriver au pouvoir».

Dans sa rubrique ‘’Autant le dire », L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso, deuxième capitale du Burkina Faso, posent la question de savoir: «peut-on réussir une réconciliation sans Blaise Compaoré ?».

Quant au quotidien national Sidwaya, il publie «les attentes des OSC et des citoyens» concernant le dialogue politique initié, la semaine dernière par le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré.

Le même journal consacre son éditorial au mouvement d’humeur des agents de santé débuté depuis plusieurs semaines, estimant qu’il faut «sauver les patients !».

Sidwaya informe également que les lauréats aux examens du Certificat d’étude primaire (CEP) et Brevet d’études du premier cycle (BEPC) parmi les enfants retirés de la rue lors de l’année scolaire écoulée, ont été récompensés.

Pendant ce temps, L’Observateur Paalga revient sur le décès de 11 gardés à vue dans les locaux de l’Unité de lutte antidrogue, parlant de «ce qui s’est passé cette nuit fatidique-là».

La presse en ligne burkinabè commente la victoire de l’Algérie à la CAN 2019

Les journaux en ligne burkinabè évoquent, ce samedi, le triomphe des Fennecs de l’Algérie à Coupe d’Afrique des Nations (CAN 2019) dont l’apothéose est intervenue la veille au Caire en Egypte.«CAN 2019 : Deuxième étoile pour les Fennecs d’Algérie», titre Burkina24.com, soulignant que déjà vainqueur de la compétition continentale en 1990, l’Algérie est, à nouveau, sur le toit de l’Afrique.

Et de préciser que Les Fennecs d’Algérie ont réalisé l’exploit en battant en finale les Lions de la Téranga du Sénégal (1-0), hier vendredi 19 juillet 2019 au Caire.

A ce sujet, Fasozine.com, un autre journal en ligne, affiche : «CAN 2019: l’Algérie championne d’Afrique !», avant de faire remarquer que les Sénégalais se sont inclinés de nouveau face aux Algériens après la défaite (0-1) en match de poule.

Pour le confrère, la malédiction sénégalaise continue en finale de la CAN car c’est la deuxième finale perdue après celle de 2002.  

De son côté, Lefaso.net met en exergue «l’Algérie sur les pyramides d’Égypte», rapportant que «cette finale débutait sur des chapeaux de roue, car dès la 2e minutes sur une frappe contrée de son attaquant, l’Algérie ouvrait le score».

Pendant ce temps, Wakaséra.com indique que le Sénégal a joué et l’Algérie a gagné, mentionnant que «c’est la grande leçon à tirer de cette finale qui n’a pas été le meilleur symbole de la magie du foot africain».

«Une frappe de Baghdad Bounedjah détournée par le défenseur sénégalais Sané dans les buts de son gardien Alfred Gomis», commente le confrère qui se projette déjà dans l’avenir.

«Que nous réserve la CAN 2021?», se demande Wakatséra.com, ajoutant que la question ne connaîtra sa réponse qu’au soir de la finale du prestigieux tournoi.

«En attendant, chaque équipe affûte déjà ses armes pour les éliminatoires qui débuteront en principe le 11 novembre prochain pour prendre fin le 17 novembre 2020», conclut le média en ligne.

Grève des médias publics et justice au menu des journaux burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce jeudi commentent l’actualité liée à des questions de justice, sans oublier la grève de 24 heures organisée, la veille, par le Syndicat autonome des travailleurs de l’information et de la culture (Synatic).L’Observateur Paalga (privé) rappelle qu’après son sit-in du mois dernier, le Syndicat autonome des travailleurs de l’information et de la culture (Synatic) met de nouveau la pression sur le gouvernement pour exiger la mutation des médias publics en société d’Etat (SE).

C’est à juste titre que le confrère arbore : «Sidwaya (quotidien national) et RTB (Radiodiffusion télévision du Burkina) en SE : Nouveau tapage… médiatique du SYNATIC».

Selon L’Observateur, hier mercredi, les membres du syndicat ont observé à la RTB télé un piquet de grève de 24 heures afin d’exiger de l’Etat le respect du protocole d’accord que les deux parties ont signé en décembre 2016.

Pour sa part, le journal Le Quotidien reprend à sa Une, les propos du porte-parole du Synatic, Rufin Paré qui dit : «Nous n’allons plus continuer dans le dilatoire avec le gouvernement».

Aujourd’hui au Faso cite le même responsable syndical qui prévient en ces termes: «Nous passerons à la vitesse supérieur si rien n’est fait».

Ce journal privé revient sur la mort, lundi dernier, de onze personnes gardées à vue dans les locaux de l’unité antidrogue à Ouagadougou, affichant que «les avocats du Faso s’interroge sur les circonstances réelles du drame».

A ce sujet, Le Pays, autre quotidien privé fait observer que «le SYNAF (Syndicat des avocats du Faso, Ndlr) est disposé à accompagner les familles des victimes».

Toujours à propos de justice, L’Observateur Paalga aborde la situation sanitaire de l’ancien ministre, le général Djibrill Bassolé, inculpé dans le procès du putsch manqué de septembre 2015 et objet d’une déclaration rédigée par le président du parti politique Le Faso Autrement, Ablassé Ouédraogo.

Le journal met en exergue: «Santé de Djibrill Bassolé: Ablassé plaide son évacuation pour éviter l’irréparable».

Infrastructures, faits divers et politique au menu des journaux burkinabè

Les quotidiens burkinabè, dans leurs parutions de ce mercredi, évoquent la situation nationale marquée par, entre autres, la politique, des faits de société, sans oublier l’inauguration, la veille, d’une importante route à Ouagadougou par le président du Faso.Le quotidien national Sidwaya informe que le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, a lancé officiellement, à Ouagadougou, les travaux de réhabilitation et d’amélioration du boulevard des Tansoba (rocade Sud-Est) reliant l’échangeur de l’Est à celui de Ouaga 2000, le mardi 16 juillet 2019 à Ouagadougou.

Selon ce journal, d’un coût de 30 milliards de francs CFA, toutes taxes comprises, le financement des études et de la réalisation a été assuré par l’Agence japonaise de coopération (JICA).

«Cette route aura peau neuve dans 35 mois», arbore de son côté, Aujourd’hui au Faso (privé), là où Le Quotidien se contente d’afficher : «Rocade Sud-est du Boulevard des Tansoba : les travaux de réhabilitation et d’amélioration lancés par le président du Faso».

Pendant ce temps, Le Pays  met en exergue le coût de l’infrastructure, soulignant qu’il y a «29 milliards de F CFA à mobiliser» pour la reconstruction et l’élargissement du Boulevard des Tansoaba.

En politique, ce même journal privé revient sur le dialogue politique entamé deux jours plus tôt, à l’initiative du président du Faso, publiant «ce qu’en pensent des Burkinabè».

Pour sa part, L’Observateur Paalga (privé), évoque la présidentielle de 2020, notamment, la candidature indépendante annoncée par l’expert en développement durable, Salomon Justin Yaméogo.

Le confrère, dans sa rubrique ‘’Carnet santé », aborde la pénurie de sang occasionnée par un mouvement d’humeur du Syndicat nationale des agents de la santé humaine et animale (SYNSHA), titrant : «Cette grève qui anémie nos hôpitaux».

Le Pays revient sur la mort de onze détenus dans les locaux de l’unité anti-drogue, faisant observer qu’il s’agit de «morts qui doivent interpeler tout le monde».

A ce sujet, Sidwaya renseigne que suite à ce drame survenu dans la nuit de dimanche à lundi, le commissaire de l’unité antidrogue, Richard Belem a été limogé, hier mardi.

Dialogue politique et football au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce lundi traitent de l’actualité internationale, marquée par la Coupe d’Afrique des nations (CAN-2019) qui se déroule actuellement en Egypte, sans oublier, au plan national, le dialogue politique ouvert ce matin au palais présidentiel à Ouagadougou.Le quotidien public Sidwaya dans son éditorial parle de «Dynamique salvatrice», soulignant que longtemps annoncé, le dialogue entre les protagonistes de la classe politique est officiellement prévu pour se tenir du 15 au 22 juillet 2019.

Le sujet est abordé dans les ‘’Confidences du week-end » du journal privé Le Pays qui met en exergue : «Dialogue politique : Simon Compaoré et Zéphirin Diabré présideront les travaux».

Selon le confrère, les travaux de cette rencontre politique seront co-présidés par le président de l’Alliance des partis de la majorité présidentielle (APMP), Simon Compaoré, et le Chef de file de l’opposition politique (CFOP), Zéphirin Diabré, avec pour rapporteur général le ministre d’Etat, ministre de l’Administration territoriale et de la Cohésion sociale, Siméon Sawadogo.

Pendant ce temps, L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso (2e capitale du Burkina Faso), dans sa rubrique ‘’Autant le dire » prévient : «Dialogue politique, si jamais…».

Pour sa part, Aujourd’hui au Faso arbore: «Simon et Zéph (Surnom de Zéphirin de Zéphirin Diabré», coprésidents de la Palabre politique: Ça tombe à pic !».

Il rappelle que «ce matin 15 juillet sous le magistère du chef de l’Etat Roch Kaboré, l’opposition et la majorité présidentielle seront des vis-à-vis et ce, pendant une semaine, pour se parler, s’écouter et trouver des solutions consensuelles à certains problèmes nationaux».

Le même journal  privé consacre  sa Une au sport, mettant en exergue les vedettes des deux équipes finalistes de la CAN 2019, avec ce titre : «Sénégal # Algérie : Le duel Mané (Sané) – Mahrez (Riyad)».

Quant à L’Observateur Paalga (privé), il revient, dans son ‘’Regard sur l’actualité », sur les demi-finales de cette compétition continentale, faisant observer que «les 2 Aigles n’ont pas volé haut».

Le journal parle de l’élimination en demi-finale de la Can, hier dimanche, des Aigles de Carthage de la Tunisie et des Super Eagles du Nigéria, par respectivement par Les lions du pays de la Téranga (Sénégal) et Les Fennecs (Algérie).

Economie, justice et sport au menu de la presse en ligne burkinabè

La presse en ligne burkinabè visitée par APA ce samedi, traite de l’actualité nationale marquée par des sujets liés au sport, à la justice et à l’économie.Lefaso.net relate que «nommé en conseil des ministres le 18 avril 2019 à la tête de la Caisse des dépôts et des consignations (CDC-BF), l’ex-Premier ministre, Paul Kaba Thiéba, a prêté serment, vendredi, à l’Assemblée nationale devant la commission de surveillance.

«Caisse des dépôts et consignations du Burkina Faso: Paul Kaba Thiéba prend officiellement les rênes», affiche pour sa part, Fasozine.com, précisant que la prestation de serment du Directeur général (DG) de la CDC-BF devant la Représentation nationale vaut prise de service.

De son côté, Burkina24.com rappelle que cette prestation de serment fait suite à l’installation des 11 membres de la commission de surveillance de la CDC-BF le vendredi 5 juillet 2019 par le Premier ministre Christophe Dabiré et pilotée par le président Bindi Ouoba.

Le même journal en ligne évoque le procès du putsch manqué, citant l’un des accusés, Seydou Soulama qui a déclaré, la veille à la barre: «Ma place, c’est au combat !».

Pendant ce temps, Wakatséra.com, un autre journal en ligne, relaie ces propos du sergent-chef Roger Koussoubé dit Le Touareg : «Pourquoi tant de haine et de calomnie à mon égard?».

En sport, Lefaso.net Le Tour de France, soulignant que «le parcours de la grande boucle 2019 fait cette année 3 480 kilomètres de long, répartis en 21 étapes dont deux contre-la-montre (un par équipe et un individuel)».

Selon le confrère, c’est un tour considéré comme très montagneux avec 30 cols de deuxième catégorie.

Au même moment, Burkina24.com informe que l’athlète Burkinabè Hugues Fabrice Zango a profité de la League de Diamond de Monaco pour battre à nouveau le record du Burkina du triple saut, en réalisant un bond de 17m33.

Fasozine.com, quant à lui, revient sur la Coupe d’Afrique des nations (CAN-2019) qui se joue actuellement (du 21 juin au 19 juillet) en Egypte, faisant remarquer que le dernier carré est connu désormais.

«Le Sénégal vainqueur du Bénin (1-0) en ouverture des quarts de finale affrontera la Tunisie tombeur de Madagascar (3-0). L’Algérie qui a triomphé de la Côte d’Ivoire aux tirs aux buts (1-1/4-3) disputera sa place en finale avec le Nigéria qui a battu l’Afrique du Sud (2-1) », rapporte le journal en ligne.

Lutte contre le terrorisme et syndicalisme à la Une des quotidiens burkinabè

Les journaux burkinabè de ce vendredi commentent largement l’actualité nationale liée au syndicalisme et à la lutte contre le terrorisme.«Lutte contre l’insécurité au Burkina : L’Etat d’urgence prolongé de six mois», arbore le quotidien national Sidwaya informant que loi a été adoptée à l’unanimité des 109 votants présents, hier jeudi à l’Assemblée nationale.

A ce sujet, le journal privé Aujourd’hui au Faso mentionne que cette prolongation de l’état d’urgence, deuxième du genre en cette année 2019, vise à «consolider les acquis» dans la lutte contre le terrorisme.

Quant à Le Pays, il publie des «résultats engrangés avec l’état d’urgence».

Il en ressort entre autres, que 1 593 patrouilles ont été effectuées, 1 117 personnes identifiées, 567 axes routiers et secteurs de résidences ont été visités, 2 160 engins contrôlés et 297 personnes interpellées.

A cela s’ajoutent, toujours selon Le Pays, quatre grandes opérations de ratissage menées, cinq bases terroristes détruites, 22 écoles reouvertes, de nombreux terroristes neutralisés.

Le même quotidien évoque le mouvement d’humeur au ministère de la Fonction publique, citant à sa Une, le Secrétaire général du Syndicat national des gestionnaires des ressources humaines de l’administration publiques (SYNAGRH), Souleymane Zoromé qui déclare que «les concours sont actuellement organisés en toute illégalité».

C’est à juste titre que Sidwaya abordant la conférence de presse animée, hier jeudi à Ouagadougou par le syndicat, fait remarquer que «Le SYNAGRHP dénonce des risques de fraude».

Pour sa part, L’Express du Faso, quotidiens privé édité à Bobo-Dioulasso, dans sa rubrique ‘’Autant le dire », se réjouit du fait que le dialogue entre le gouvernement et les syndicats va bientôt reprendre.

Exploitation minière et football au menu des quotidiens burkinabè

Les journaux burkinabè de ce jeudi traitent de l’actualité marquée par la Coupe d’Afrique des nations (CAN-2019) qui se jouent actuellement en Egypte, sans oublier des questions liées à l’exploitation minière.«Secteur minier : le permis d’exploitation retiré à Burkina Manganèse SARL», titre le quotidien national Sidwaya qui évoque ainsi un sujet abordé en Conseil des ministres tenu la veille à Ouagadougou.

De son côté, Le Pays (privé), revient sur l’affaire dite de «fraude présumée de charbon fin», affichant que «des OSC exigent une contre-expertise».

Selon le confrère, suite à la polémique que l’actualité nationale connait sur l’affaire de fraude présumée de charbon fin qu’une société de la place aurait tenté de soustraire illégalement au contrôle, le Conseil d’information et de suivi des actions du gouvernement (CISAG), en collaboration avec cinq autres associations, a animé, un point de presse, hier jeudi à Ouagadougou.

Parlant de cette rencontre avec les journalistes, le quotidien privé Aujourd’hui au Faso, fait observer que «le CISAG exige une commission indépendante» dans cette affaire.

Le sujet occupe la une du journal Le Quotidien qui rapporte les propos du président du CISAG, Issiaka Ouédraogo déclarant ceci : «Certaines sociétés minières font clairement du chantage sur notre pays».

Sous un autre chapitre, les journaux reviennent largement sur la CAN 2019, marquée la veille, par la première journée des quarts de finale, notamment, la victoire des Lions du Sénégal et des Super Eagles du Nigéria, face respectivement, aux Ecureuils du Bénin et aux Bafana Bafana de l’Afrique du Sud.

A ce propos, L’Observateur Paalga (privé), dans son ‘’Regard sur l’actualité », fait observer que «Les Ecureuils sortent par la grande porte».

Pendant ce temps, Aujourd’hui au Faso met en exergue : «Ce lion là (Sénégal) avait la peau dur pour l’Ecureuil béninois», là où Le Pays pense que «le miracle n’a pas eu lieu».

Politique et faits de société au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè abordent ce mercredi des sujets variés avec un intérêt particulier pour ceux liés aux faits de société et à la politique.«Crise humanitaire : L’Opposition invite le gouvernement à initier une opération +Boribana+(la fuite est terminée, en langue nationale Dioula, Ndlr», titre Aujourd’hui au Faso.

Ce quotidien privé informe que le traditionnel point de presse hebdomadaire du Chef de file de l’opposition politique au Burkina Faso (CFOP/BF) a eu lieu hier mardi.

«Animée par le 4e vice-président de l’Union pour le progrès et le changement (UPC), Amadou Diemdioda Dicko, cette  rencontre avec la presse a porté sur la crise humanitaire née du terrorisme, le prélèvement du manganèse de la mine de Tambao, l’auto-saisine du Conseil constitutionnel du nouveau Code pénal et l’inscription des sites métallurgiques au patrimoine mondial de l’UNESCO», relate le journal.

De son côté, Le Pays, autre quotidien privé, reprend à sa une, les propos de l’un des représentants du CFOP, qui a déclaré au sujet de l’insécurité au Burkina Faso : «Le gouvernement trouvera un beau matin une bonne partie du pays aux portes de Ouagadougou».

A ce sujet, le quotidien national Sidwaya fait remarquer que la déferlante de réfugiés vers des zones dites sûres inquiète l’opposition politique burkinabè.

Sous un autre registre, le même journal affiche : «Force conjointe G5 Sahel : L’UE promet un nouvel appui de 90 milliards F CFA», renseignant que la haute représentante de l’Union européenne (UE), Frederica Mongherini a échangé, hier mardi, avec le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, en marge du sommet de l’Union africaine à Niamey au Niger.

Dans son ‘’Regard sur l’actualité », L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés burkinabè, met en exergue : «G5 Sahel : Tourisme sécuritaire».

De son côté, le journal privé Le Quotidien consacre sa une au phénomène du grand banditisme à Ouagadougou, titrant : «Echec d’une opération d’enlèvement d’un expatrié».

A ce propos, Aujourd’hui au Faso, mentionne : «Police de Saaba (Ouagadougou): Des apprentis preneurs d’otage arrêtés», là où Le Pays parle de «deux réseaux de présumés malfrats démantelés».

Quant à L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso (2e capitale du Burkina Faso), il aborde  la campagne hivernale 2019, faisant remarquer qu’il y a «un déficit pluviométrique dans les grandes régions agricoles».

Football et Cour pénale internationale à la une des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè reçus à APA ce mardi évoquent des sujets liés à la Cour pénale internationale (CPI), sans oublier le football, avec la Coupe d’Afrique des nations (CAN) qui se déroule actuellement en Egypte.L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés burkinabè se demande si «le classique du football ouest-africain entre le Mali et la Côte d’Ivoire est-il devenu un duel à sens unique ?», précisant que depuis 1969, les Aigles (du Mali) courent derrière une victoire sur les Eléphants (de Côte d’Ivoire).

 «Victoire des Eléphants sur les Aigles : Le Mali n’a pas vaincu le signe…ivoirien», titre, de son côté, Le Pays (privé) qui parle aussi de la victoire de la Côte d’Ivoire sur le Mali (1-0), hier lundi, lors du match comptant pour les 8e de finale de la CAN 2019.

Pour sa part, Aujourd’hui au Faso se contente de faire remarquer que «les Aigles maliens tombent aux pieds des Eléphants».

Le même journal, en politique internationale, évoque dans son éditorial du jour, le transfèrement du Congolais Bosco Ntaganda surnommé Terminator, à la Cour pénale internationale (CPI), sous le titre : «CPI : crime et châtiments pour +Terminator+».

Selon Aujourd’hui au Faso, «c’est un véritable seigneur de guerre que la CPI vient de juger : enrôlement d’enfants soldats transformés en esclaves sexuels, viols massifs de femmes et de petites filles, destructions de sexes, massacres».

L’éditorialiste fait observer que débuté en septembre 2015, le procès de Terminator a porté sur les crimes commis entre 2002 et 2003 en Iturie et au total 18 chefs d’accusation échoient dans sa culpabilité selon la CPI.

A ce sujet, L’Observateur Paalga, à travers son ‘’Regard sur l’actualité », mentionne : «Bosco Ntaganda à la CPI : 18 fois coupable».

Le quotidien national Sidwaya dans son commentaire ‘’Trait de plume » aborde la situation du Malien Mohamed Al-Hassan, s’exclamant : «CPI : un terroriste malien face à son passé !».

Le Pays, quant à lui, résume les deux cas dans sa rubrique ‘’Sur la braise » en titrant : «Bosco Ntaganda/Mohamed Al-Hassan devant la CPI : deux hommes rattrapés par leur passé».

Société et politique en vedette dans les quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce mardi commentent l’actualité nationale marquée par la politique et des faits de société, notamment, la proclamation des résultats du Baccalauréat.L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés burkinabè, arbore : «Résultats premier tour Bac 2019 : On saute, on court ou on se roule par terre», relatant que la matinée d’hier lundi a été celle de «peine et de joie, comme il fallait s’y attendre pour les candidats au Baccalauréat session 2019».

De son côté, Le Quotidien titre: «Résultats du Bac 2019: Les candidats entre joie et tristesse».

Evoquant la proclamation des résultats au lycée Philippe Zinda Kaboré de Ouagadougou, l’un des plus grands établissements scolaires de la capitale burkinabè, le quotidien national Sidwaya mentionne que «rires et larmes (étaient) au rendez-vous».

Pendant ce temps, le quotidien privé Le Pays fait observer que lors de la récente session du Baccalauréat, c’est l’extrait d’un article dudit journal qui a été soumis aux candidats des séries C et D.

Le même journal, dans sa rubrique ‘’Mardi politique », donne la parole à Boubacar Sanou, Secrétaire à l’organisation du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP, ex-parti au pouvoir), qui affirme que «le Burkina actuel n’a pas besoin de politicien de carrière».

Le Pays renseigne également que pour la présidentielle de 2020, le Chef de file de l’opposition politique (CFOP), Zéphirin Diabré mobilise ses troupes dans le Zondoma (Ndlr : localité située à une centaine de km au Nord de Ouagadougou)».

Revenant sur la crise au CDP, L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso (2e capitale), met en exergue «les soutiens inconditionnels de Eddie Komboïgo (président du parti)».

Dans la même foulée, Sidwaya informe que «les femmes du CDP soutiennent Eddie Komboïgo».

Conflit communautaire et politique se côtoient à la une des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce lundi commentent l’actualité nationale marquée par des faits politiques, sans oublier le conflit communautaire ayant occasionné des morts et des blessés dans la région des Cascades, à l’ouest du pays.«Conflit communautaire dans la Comoé : Cinq morts et plusieurs blessés à Sitiéna/Djongolo», titre le quotidien national Sidwaya, montrant l’image de femmes et d’enfants en train de fuir la localité.

Le journal rapporte qu’un conflit foncier latent depuis des années, a dégénéré en affrontement meurtrier, le samedi 29 juin 2019, entre les populations de Sitiéna et celles du village voisin, Djongolo dans la province de la Comoé.

«Les premiers bilans font état de de 5 morts et plusieurs blessés dont certains par balle, un hameau de culture (Djongolo3) dévasté et plusieurs dégâts matériels», écrit Sidwaya.

A ce propos, L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso (2e capitale du Burkina Faso) affiche : «Conflit foncier dans la Comoé : Diongolo et Sitiéna se sont affrontés et fait des morts».

Quant à Aujourd’hui au Faso (privé), il aborde le sujet sous le titre : «Banfora : La loi des séries continue avec 5 morts dans un affrontement».

Pour sa part, L’Observateur Paalga (privé) parle de ce litige foncier qui a fait «6 morts et plusieurs blessés».

En politique, le même journal évoque la crise au sein du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP, ex-parti au pouvoir), reprenant les propos du président Eddie Komboïgo qui dit, à travers une déclaration: «Une minorité d’antidémocrate infiltrés veulent imposer leur candidat».

De son côté, Le Pays, autre quotidien privé, publie la même déclaration sous le titre : «Crise au CDP : Eddie Komboïgo dénonce +des agissements antidémocratiques, antirépublicains et barbares+».

Le confrère relate aussi que des «observateurs indépendants» appellent à la sagesse.

Pendant ce temps, Sidwaya revient sur le 55e  sommet ordinaire de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), tenu le 29 juin à Abuja au Nigéria, mentionnant à sa une: «Espace CEDEAO : Les dirigeants s’engagent pour une monnaie unique».

L’ex-parti au pouvoir et la justice au menu de la presse en ligne burkinabè

La presse en ligne burkinabè visitée par APA ce samedi évoque divers sujets dont celui relatif au procès du putsch manqué et à la situation du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP, ex-parti au pouvoir).«Burkina: Eddie Komboïgo s’exprime sur la situation au CDP», affiche Burkina24.com qui publie la déclaration du président du CDP, Eddie Komboïgo datée du 26 juin.

Pour sa part, Fasozine.com titre : «Crise au CDP: +La direction prendra avec discernement et fermeté les décisions adéquates à la bonne marche du parti+», citant le président Komboïgo.

Selon le journal en ligne, la déclaration de la direction du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) est relative à la crise qui secoue le parti.

«Dénonçant des manœuvres d’une « minorité d’antidémocrates infiltrés » qui veulent imposer leur candidat, la direction annonce des mesures fortes pour assurer la bonne marche du parti », précise le confrère.

Le même média évoque le «vaste mouvement de magistrats» au Conseil supérieur de la magistrature.

Pendant ce temps, Lefaso.net rapporte que hier vendredi 28 juin 2019, l’audience du procès du putsch du Conseil national pour la démocratie (CND) a été marquée essentiellement par la suite des plaidoiries de la défense.

«Pour leurs clients, les avocats de la défense ont plaidé pour des acquittements et des réductions de peine suite à des circonstances atténuantes », écrit le site d’information.

A ce sujet Burkina24.com arbore ce titre : «Procès du putsch : L’accusé Nion demande une seconde chance», relatant qu’à la reprise de l’audience du Procès, hier vendredi, Me Adrien Nion a continué avec sa plaidoirie.

Il ajoute que «concernant son client l’adjudant Jean Florent Nion, poursuivi pour attentat à la sûreté de l’Etat, meurtre, incitation à commettre des actes contraires au règlement et à la discipline, coups et blessures volontaires, l’avocat a plaidé +coupable+ pour le premier fait».

Déplacés internes et colère des boulangers à la une des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce vendredi évoquent des sujets variés dont le mouvement d’humeur des boulangers, sans oublier les déplacés internes à cause du terrorisme dans certaines zones du pays.«Déplacés internes dans le Centre-Nord: Chemin de croix pour la survie», arbore en première page, le quotidien national Sidwaya, faisant remarquer que les attaques terroristes au Burkina Faso ont occasionné des déplacés dans diverses localités.

Selon le journal, à Kaya, dans la région du Centre-nord, à une centaine de kilomètres au Nord de Ouagadougou, plus de 6 000 personnes y ont trouvé refuge auprès des communautés hôtes ou sur des sites de fortune.

Dans la même lancée, le journal privé Le Quotidien affiche : «Insécurité au Centre-nord : Les villages vident de leurs populations».

En guise d’illustration, le journal montre une image de placés sur un site d’accueil de fortune où l’on peut apercevoir majoritairement des femmes et des enfants.

De son côté, Aujourd’hui au Faso (privé), évoquant la conférence de presse animée, la veille à Ouagadougou, par la Fédération nationale des boulangers et pâtissiers du Burkina (FNBP-B), titre : «Grogne sociale : Les boulangers menacent de rompre la trêve…des confiseurs».

A ce propos, L’Observateur Paalga (privé) met en exergue : «Mise en œuvre convention sectorielle : les boulangers ne veulent plus être roulés dans la farine».

Le confrère fait observer que «en février 2017, une convention  a été signée entre la FNBP-B et les opérateurs de leur secteur d’activité, laquelle devrait permettre l’amélioration des conditions de vies et de travail des employés ».

Mais depuis, souligne L’Observateur Paalga, la mise en œuvre de l’accord piétine.

Le journal privé Le Pays mentionne : «Revendications sociales : Les boulangers et pâtissiers en colère», avant de relater que ces acteurs menacent d’aller en grève si toutefois rien n’est fait.

Il précise que la conférence de presse, animée, hier jeudi par la FNBP-B avait pour objectif d’interpeler le gouvernement du Burkina sur les mauvaises conditions de vie et de travail des boulangers, des pâtissiers et des confiseurs.

 

Justice, infrastructures et mouvements d’humeur au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce jeudi, traitent l’actualité nationale marquée par l’inauguration, la veille, d’une infrastructure routière par le président du Faso, la grève des secrétaires, ainsi que les éclairages du procureur du Faso concernant certains dossiers en justice.«Arrestation de Rama la Slameuse+ sur fond de polémique : Les éclairages du Procureur du Faso», affiche le journal privé Le Pays qui publie l’intégralité d’un communiqué du Procureur du Faso près le Tribunal de grande instance de Ouagadougou, Maïza Sérémé.

Selon le journal, le texte aborde plusieurs dossiers pendants au niveau de la justice et pour lesquels  le procureur apporte des éclairages.

A ce sujet, Sidwaya, le quotidien national, fait remarquer que Mme le procureur du Faso donne des précisions sur l’affaire dite de Ramata Diallo alias Rama La Slameuse, entendue par la justice, le lundi 24 juin 2019 et placée sous mandat de dépôt, celle du charbon fin et bien d’autres.

De son côté, L’Observateur Paalga (privé) mentionne à sa Une : «Construction d’un bunker à Manga : Le procureur annonce une enquête sur Jean Claude Bouda».

Le même quotidien évoque la grève du Syndicat national des administrateurs civils, des secrétaires et adjoints administratifs du Burkina (SYNACSAB), faisant observer qu’il n’y aura «pas de réception de courriers pendant trois jours», soit du 26 au 28 juin.

C’est à juste titre que Le Quotidien arbore ce titre : «Grève de 72 heures des secrétaires du Burkina : Des secrétariats vides».

Quant à Le Pays, il souligne qu’à l’issue de sa marche de protestation en direction du Premier ministère, hier mercredi, «le SYNACSAB n’a pas eu d’interlocuteur».

Sous un autre registre, L’Observateur Paalga parle de l’inauguration, la veille, de la route reliant Tougan (province du Sourou) à Dédougou (province du Mouhoun), par le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré.

Le journal titre : «Inauguration route Dédougou-Tougan : la voie dégagée vers le grenier du Burkina».

A son tour, Sidwaya s’exclame : «Enfin le goudron au Sourou !», tandis que Aujourd’hui au Faso (privé) titre : «Le désenclavement de la Boucle du Mouhoun en branle».

La chanteuse Rama et les agents de santé font la une des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce mardi évoquent l’actualité nationale marquée par le mouvement d’humeur organisé la veille par les agents de santé, ainsi que le transfèrement de la musicienne Rama la Slameuse, à la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou (MACO).«Palais de justice de Ouagadougou : Rama la Slameuse déposée à la MACO», titre le journal privé Le Quotidien, montrant la photo de la musicienne accusée de blanchiment d’argent par le parquet.

A ce sujet, L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso  (2e capitale du Burkina Faso), arbore en première page: «Affaires blanchiment d’argent : Depuis hier, Rama la Slameuse dort à la MACO».

L’Observateur Paalga, le plus ancien des quotidiens privés du Burkina Faso, met à sa une : «Affaire Rama la Slameuse : L’artiste déférée à la MACO pour l’ensemble de son oeuvre».

Quant à Aujourd’hui au Faso (privé), il se contente de titrer : «Ouagadougou : Rama la Slameuse dépose à la MACO».

Le même journal consacre sa une, au mouvement d’humeur des agents de santé, affichant : «Santé : Quatre syndicats crient leur ras-le-bol dans la rue».

De son côté, Le Quotidien laisse lire : «Marche sur le ministère de la santé : les hommes en blouse exigent la satisfaction de leurs revendications». On voit également une photo des agents de santé marchant en direction de leur ministère de tutelle.

«Carton jaune des blouses blanches », titre  L’Observateur Paalga, soulignant que «médecins, sages-femmes, infirmiers, agents itinérants de santé, vêtus de blouses  blanches, ont abandonné par centaines leurs patients dans la matinée du lundi 24 juin 2019 pour la rue».

Politique et justice au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce lundi traitent de l’actualité nationale marquée par des sujets liés à la justice, notamment l’adoption du nouveau code pénal, sans oublier la politique, avec la situation au sein de l’ex-parti au pouvoir, le Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP).«Crise au CDP : +Je ne démissionnerai pas+», arbore le quotidien national Sidwaya qui renseigne que le président du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP), Eddie Komboïgo, a affirmé, samedi dernier à Manga, au cours d’un meeting, qu’il ne démissionnera pas de son poste, comme l’ont exigé certains cadres contestataires qui lui reprochent des manquements dans la gestion du parti.

Le même journal informe que des jeunes du CDP échouent à saboter une rencontre des secrétaires généraux du parti.

A ce sujet, L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso (2e capitale du Burkina Faso) mentionne à sa une : «Congrès pour la démocratie et le progrès : Les loubards ont usé des muscles à la place du cerveau».

Aujourd’hui au Faso (privé) affichent cette interrogation : «Rencontre des secrétaires généraux du CDP : Qui sont ces jeunes venus casser la réunion des SG ?»

Quant à L’Observateur Paalga (privé), il fait observer que «la rencontre des SG tourne au combat de boxe».

Le même journal évoque l’adoption du nouveau code pénal, titrant : «S’il vous plait, je demande la permission de faire un reportage», avant de parler de «cette étrange arme médiatique contre le terrorisme».

De son côté, Sidwaya, sous le titre : «Lutte contre le terrorisme : le code pénal adapté au texte», précise que le nouveau code pénal a été adopté avec 103 voix pour sur les 114 votants du jour.

L’Express du Faso aborde le sujet dans sa rubrique ‘’Autant le dire », considérant qu’il s’agit d’«un véritable recul démocratique».

Le social domine la une des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce vendredi présentent des menus diversifiés où l’on retrouve des sujets liés essentiellement aux faits de société.L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso (deuxième capitale), évoque le cas de récents déplacés installés à Ouagadougou, après avoir fui les attaques terroristes dans la partie septentrionale du pays.

Sous  cette une : «Déplacés de Silgadji à Ouagadougou: des Burkinabè refugiés chez eux au Burkina Faso», le journal montre des femmes et des enfants sur un site d’accueil à la périphérie Nord de la capitale burkinabè.

A propos du même sujet, Aujourd’hui au Faso, autre quotidien privé, affiche : «Ouagadougou : L’arrondissement n°9 face aux flux de déplacés du Sahel».

Pour sa part, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, aborde le travail quotidien des agents de santé du plus grand hôpital du pays, le Centre hospitalier universitaire Yalgado Ouédraogo (CHU-YO) de Ouagadougou.

Le reportage intitulé : «Yalgado : Mon +stage+ d’une journée à la maternité», met en exergue, selon l’auteur, «la situation délicate» des agents de santé qui «se démènent comme de beaux diables pour donner la vie».

Pendant ce temps, le journal privé Le Pays revient sur l’opération ‘’Caisses vides » du Syndicat national des travailleurs de la santé humaine et animale (SYNTSHA), soulignant que c’est «une réalité à Yalgado et Souro Sanou (CHU de Bobo-Dioulasso, Ndlr)».

De son côté, Sidwaya, le quotidien à capitaux publics, parle de «l’acquisition de 300 ambulances actée» au profit de centres de santé burkinabè.

Le même journal, dans sa rubrique ‘’L’invité de la Rédaction », donne la parole au Pr Salaka Sanou, enseignant chercheur à l’Université Joseph-Ki-Zerbo de Ouagadougou, qui déclare qu’«à partir de l’initiation traditionnelle, on peut éradiquer l’insécurité».

Sidwaya informe également que les travailleurs des médias publics, au dernier jour de leur sit-in, ont marché, hier jeudi, sur la Primature pour exiger la transformation de leurs organes de presse en société d’Etat.

A ce sujet, le journal privé Le Quotidien arbore les propos de Siriki Dramé, premier responsable syndical indiquant que «les travailleurs réaffirment leur volonté à entreprendre toute forme de lutte pour l’aboutissement de leur revendication».

Procès putsch et médias publics au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce jeudi traitent de l’actualité nationale marquée par le mouvement d’humeur entamé, la veille, au sein des médias publics, sans oublier le procès relatif au putsch manqué de septembre 2015 qui est dans sa phase de plaidoirie.Abordant l’audience de la veille, notamment, les plaidoiries de l’un des avocats de la partie civile, Aujourd’hui au Faso plaque à sa une : «Procès putsch manqué : Me Séraphin Somé enfonce les accusés».

«Procès putsch manqué : Djibrill Bassolé absent autorisé», titre pour sa part, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, indiquant que, hier mercredi, au deuxième jour de la reprise du procès du putsch manqué, le général Djibrill Bassolé était encore absent du banc des accusés.

«Sur requête du parquet, le président du tribunal avait pris une sommation par voie d’huissier en vue de contraindre l’accusé à se présenter à l’audience malgré les récriminations de ses avocats qui arguent que le premier général de gendarmerie du Burkina n’est pas en mesure d’assister à l’audience du fait de son état de santé », relate le journal.

Selon L’Observateur Paalga, «finalement après la sommation de l’huissier, le premier général de gendarmerie du Burkina a confirmé lui-même ne pas être en état d’assister au procès».

Et de préciser que la solution trouvée et sur laquelle se sont accordées toutes les parties est de lui apporter dans sa résidence surveillée le plumitif où est consigné le compte rendu de l’audience du jour.

C’est à juste titre que Sidwaya, le quotidien à capitaux publics Sidwaya, affiche : «Procès putsch manqué : Djibrill Bassolé suivra les débats depuis sa résidence».

Le même journal informe que le Syndicat national des travailleurs de l’information et de la culture (SYNATIC) a tenu un sit-in, le mercredi 12 juin 2019, sur le territoire national pour manifester son mécontentement vis-à-vis du gouvernement par rapport au traitement réservé au dossier de mutation des médias publics en sociétés d’Etat.

A ce sujet, L’Observateur Paalga, arbore en première page : «Sit-in médias publics : Le SYNATIC installe son +plateau+ devant la RTB», soulignant que les rédactions de la Radiodiffusion télévision du Burkina (RTB) et des Editions Sidwaya sont momentanément restées vides la matinée du mercredi 12 juin.

De son côté, le journal Le Quotidien reprend ces propos d’un responsable syndical : «Les travailleurs seront mobilisés jusqu’à ce que le protocole d’accord soit mis en œuvre».

Education, justice et politique à la Une des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce mercredi traitent des questions liées à la politique, à la justice et à l’éducation, avec le début, la veille, des examens écrits du Certificat d’études primaires (CEP).«CEP 2019 : 419 260 écoliers frappent aux portes des lycées», arbore le quotidien à capitaux publics Sidwaya qui rapporte que le ministre de l’Education nationale, de l’Alphabétisation et de la Promotion des langues nationales, Stanislas Ouaro, a lancé, hier mardi 11 juin 2019 à l’école Tangsèga de Koubri dans la région du Centre, la session 2019 du Certificat d’études primaires (CEP).

A ce sujet, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, mentionne : «Lancement CEP : Le Pr Ouaro ouvre la première enveloppe à Koubri».

Pendant ce temps, Aujourd’hui au Faso, autre quotidien privé, fait remarquer que dans la commune de Ouagadougou, ce sont «52 495 candidats à la conquête du premier diplôme».

Le même journal privé consacre sa une à la conférence de presse animée, la veille à Ouagadougou, par les premiers responsables de l’ex-parti au pouvoir, le Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP).

«Ce sera pour toiletter les textes et non désigner notre candidat», titre Aujourd’hui au Faso, citant le vice-président du CDP, Achille Tapsoba qui se prononce à propos du congrès du parti, annoncé pour le dimanche 16 juin prochain.

De son côté, Le Pays affiche les propos de Achille Tapsoba qui dit au sujet de la polémique autour de la désignation du candidat du CDP à la présidentielle 2020 : «Blaise Compaoré a mis fin à la récréation».

Evoquant la reprise, la veille, au tribunal militaire de Ouagadougou, du procès du coup d’Etat manqué de septembre 2015, Le Pays informe que «les plaidoiries ont commencé».

Quant à Sidwaya, il relate que le procès du putsch manqué a repris, hier mardi, après près de deux mois de suspension, soulignant que «les parties civiles ont entamé leurs plaidoiries pour démontrer, en fait et en droit, à quel point les accusés sont coupables».

Le journal privé Le Quotidien reprend les propos de l’un des avocats de la partie civile, Me Prosper Farama qui déclare : «Dans l’infraction, il n’y a ni petit, ni gros poisson. Soit on est coupable, soit on est innocent».

Sur un ton un peu  comique, L’Observateur Paalga, plaque ce titre interrogatif : «Procès putsch manqué : On était où déjà ?».

Politique et justice au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè traitent ce mardi de sujets liés essentiellement à la justice et à la politique, avec la sortie du premier responsable du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP, au pouvoir).L’Express du Faso, quotidien privé édité à Bobo-Dioulasso (2e capitale du Burkina Faso) revient sur le déjeuner de presse organisé, hier lundi à Ouagadougou, par le Mouvement du peuple pour le progrès (MPP, parti au pouvoir).

Le journal met en exergue les propos du président par intérim du parti, Simon Compaoré qui a affirmé au sujet de la situation nationale : «Si on doit mourir, on meurt tous ensemble».

De son côté, Le Quotidien cite le président intérimaire du MPP qui dit au sujet de la construction d’un hôpital sur le site de la forêt classée de Kua à Bobo-Dioulasso : «Les gens veulent nous empêcher de réaliser ce qu’on veut réaliser à Bobo et ce n’est pas une première».

Aujourd’hui au Faso, autre quotidien privé, titre : «Attaque terroriste, forêt de Kua, fronde sociale, évacuation de Bassolé : Simon Compaoré se lâche».

Quant à Sidwaya, le quotidien à capitaux publics, il renseigne qu’avec les hommes de médias, Simon Compaoré s’est notamment prononcé sur la question sécuritaire, le front social et le dialogue politique initié par le président du Faso.

Dans sa rubrique ‘’Mardi Politique », le journal privé Le Pays donne la parole au député Daniel Rasmané Sawadogo du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP, ex-parti au pouvoir).

Cet élu de la section provinciale du Sanmatenga (Centre-Nord) déclare ceci à la une du journal: «Les militants du CDP ne se laisseront pas imposer un choix contraire à leur aspirations profondes».

Le Pays, à travers une autre rubrique ‘’Droit dans les yeux », revient sur les mesures gouvernementales de sanctionner certains agents publics de l’Etat pour actes d’indiscipline, soulignant que ces «décisions gouvernementales (sont) retoquées par la justice».

Toujours dans le domaine de la justice, Aujourd’hui au Faso, fait remarquer que «Les avocats regagnent les prétoires».

Dans la même veine, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, affiche : «Procès putsch manqué : les avocats retournent au prétoire», publiant un communiqué signé du bâtonnier de l’ordre des avocats, Me Paulin Salembéré.

Médias et sécurité au menu de la presse en ligne burkinabè

Les journaux en ligne du Burkina Faso visités, samedi par APA, traitent de questions sécuritaires, sans oublier les mouvements d’humeur en vue dans les médias publics.«Médias publics burkinabè: Des journées de protestation les 12 et 13 juin 2019», titre Lefaso.net, qui rapporte que «les travailleurs des médias publics, les Editions Sidwaya et la RTB (Radiodiffusion Télévision du Burkina) annoncent deux journées de protestation pour exiger la mutation diligente de ces organes en sociétés d’État avec l’ensemble du personnel et leur dotation en équipements et moyens conséquents pour leur fonctionnement efficace». 

Ce journal en ligne précise que l’information a été donnée hier vendredi 7 juin 2019 à Ouagadougou au cours d’une conférence de presse. 

«Médias publics: le SYNATIC en sit-in «d’avertissement» les 12 et 13 juin 2019», affiche pour sa part, Fasozine.com, qui souligne que la décision du gouvernement du passage des médias publics (RTB et Sidwaya) du statut d’Etablissement publics d’Etat (EPE) à celui de Société d’Etat n’est toujours pas appliquée. 

Selon le confrère, c’est face à ce qu’il qualifie de «mépris» et du «manque de volonté» du gouvernement à respecter ses engagements, que le Syndicat autonome des travailleurs de l’information et de la culture (SYNATIC) a d’observer deux journées de protestation sous forme de sit-in les 12 et 13 juin prochain de 8 heures à 11 heures sur toute l’étendue du territoire national.

Sous un registre, Lefaso.net évoque la situation sécuritaire en titrant : «Nord Burkina: Vaste opération militaire conjointe franco-burkinabè».

A ce sujet, Burkina24.com, un autre média en ligne renseigne que le 11e Régiment d’infanterie commando (11e RIC)  et la force Barkhane ont mené une opération du 20 mai au 3 juin 2019 dans le Nord du Burkina  contre les groupes terroristes.

Examen scolaire et sport se partagent la une des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce vendredi évoquent l’actualité internationale marquée par l’interpellation, la veille à Paris, du président de la Confédération africaine de football (CAF), le Malgache Ahmad Ahmad, sans oublier le démarrage des épreuves écrites de la session 2019 du Brevet d’études du premier cycle (BEPC).«BEPC 2019: Le ministre Ouaro galvanise les candidats», arbore le quotidien à capitaux publics Sidwaya, informant aussi que pour cette session, ils sont 304 096 candidats soit 52% de filles et 48% de garçons sur l’ensemble du territoire national à prendre part aux épreuves du BEPC.

Le journal rapporte que c’est le ministre de l’Education nationale, de l’Alphabétisation et de la Promotion des langues nationales, Pr Stanislas Ouaro qui a donné le top départ de la session 2019 du BEPC, hier jeudi, au lycée provincial Dimdolobsom de Boussé, dans le Plateau central.

De son côté, le quotidien privé Le Pays affiche : «Examens scolaires session 2019 : 304096 candidats à l’assaut du BEPC».

Pendant ce temps, Aujourd’hui au Faso, autre quotidien privé, fait observer que pour la session des examens scolaires 2019, ce sont au total «316 124 candidats (qui vont) à l’assaut du BEPC, CAP et BEP».

Le journal Le Pays relate qu’un convoi transportant du matériel pour l’examen du BEPC a été attaqué dans la région de l’est, avant de mentionner que grâce à la riposte des Forces de défense et de sécurité (FDS), les assaillants ont été repoussés «avec grand succès».

C’est à juste titre que le confrère, dans sa ‘’Chronique du fou », estime qu’il convient de «relever à tout prix le défi sécuritaire » pour les examens scolaires 2019.

En sport, le journal informe que le président de la Confédération africaine de football (CAF), le Malgache Ahmad Ahmad, a été interpellé, hier jeudi à Paris.

A ce propos, Aujourd’hui au Faso, titre : «Arrestation d’Ahmad Ahmad à Paris: Dérives autoritaires, contrats juteux…  le patron de la CAF sent le soufre».

Selon l’éditorialiste, le Malgache qui était dans la capitale française à l’occasion du congrès de la FIFA a été entendu par les services de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales.

«Un contrat de sponsoring rompu par la CAF serait la cause », croit savoir Aujourd’hui au Faso, avant de préciser qu’«à quelques jours de l’ouverture de la Coupe d’Afrique des nations, le football africain s’en serait bien passé».

Education, culture et politique dominent la Une des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce jeudi évoquent plusieurs sujets dont ceux liés à la politique et à la culture, sans oublier l’éducation, avec notamment les épreuves écrites de l’examen du Brevet d’étude du premier cycle (BEPC) qui ont débuté ce matin.«BEPC, session 2019 : Un examen à trois vitesse», arbore en première page L’observateur Paalga, qui informe que les épreuves écrites du BEPC, session 2019 commencent ce matin, sur toute l’étendue du territoire burkinabè.

«Les élèves dont la scolarité a partiellement été perturbée par la vermine terroriste bénéficieront d’une session spéciale de rattrapage», fait observer le journal.

De son côté, le quotidien privé Aujourd’hui au Faso titre: «Burkina Faso : L’examen du BEPC 2019 a débuté ce matin».

Pour sa part, Sidwaya, le quotidien national consacre sa Une à la pratique des journées culturelles dans les établissements scolaires de Dédougou (capitale de la région de la Boucle du Mouhoun), mentionnant que lesdites journées «riment avec débauche».

Le même journal renseigne que le ministère de la Culture, des Arts et du Tourisme a organisé, le lundi 3 juin 2019 à Ouagadougou, une session de formation sur le patrimoine culturel burkinabè et mondial à l’intention d’une vingtaine d’hommes et femmes de médias.

Toujours dans le domaine culturel, Aujourd’hui au Faso affiche : «Patrimoine mondial de l’UNESCO : des sites de la métallurgie burkinabè en examen».

A ce sujet, L’Observateur Paalga note : «Le Burkina candidate avec les sites métallurgiques de fer». Nos confrères soulignent que «cela se décidera du 30 juin au 10 juillet 2019 à Bakou en Azerbaïdjan, lors de la 43e session du Comité du patrimoine mondial à laquelle prendra part notre pays».

Economie et société au menu de la presse en ligne burkinabè

Les médias en ligne de ce mardi (jour férié au Burkina Faso en raison de la fin du Ramadan) commentent l’actualité nationale marquée par des sujets liés à la société et à l’économie.«Gouvernance économique et financière : Les inspecteurs des finances s’outillent», titre Burkina24.com qui renseigne que pour plus de transparence dans la gestion des finances publiques, le ministère en charge de l’économie et du développement a lancé une série de formations au profit de l’Inspection générale des finances (IGF).

De son côté, Fasozine.com revient sur l’affaire relative à l’exploitation frauduleuse de l’or par une société minière, sous le titre : «+Affaire d’exportation du charbon fin+: le ministre des mines s’explique.

Selon le journal, le ministre des Mines et des carrières, Oumarou Idani a déclaré, hier lundi 3 juin 2019 lors d’une conférence de presse à Ouagadougou, que l’administration minière  n’est mêlée ni de près ni de loin à la présumée tentative d’exportation frauduleuse d’or qui défraie la chronique actuellement.

«Pour le ministre, le rôle de ses services n’a été purement que administratif et qu’ils ont agi +conformément à la législation et à la règlementation régissant le secteur minier+», écrit le confrère.

A ce sujet, Lefaso.net affiche : «Affaire charbon fin : +Un mensonge répété sans démenti devient la réalité+», reprenant les propos du ministre Oumarou Idani.

Le même site d’information, à travers un commentaire, évoque la controverse autour de la forêt de Kua, estimant qu’il s’agit d’une «honte nationale !».

Pour l’auteur de l’article, «ce qui se passe dans cette affaire dite +construction d’un hôpital sur le site de la forêt de Kua+ ressemble simplement à l’art de créer des problèmes là où il n’y en a pas, ou trouver des problèmes à des solutions».

Wakatséra.com, quant à lui, informe que la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) a annoncé hier lundi 3 juin 2019, la fin du mois de Ramadan.

«Par conséquent, la fête de l’Aïd el Fitr sera célébrée au Burkina Faso ce 4 juin 2019 sur toute l’étendue du territoire national», écrit le site d’information qui reprend ainsi, un extrait du communiqué de la FAIB.

La grogne à la police nationale au menu de la presse burkinabè

Les journaux burkinabè de ce lundi traitent principalement de la grogne à la police nationale portée au grand jour par un syndicat, le week-end dernier, lors d’une conférence de presse tenue à Ouagadougou.Parlant de la «gestion de la Police nationale», L’Observateur Paalga indique que « des flics (sont) remontés contre la hiérarchie ». Ce journal rapporte que l’Alliance Police Nationale (APN) a tenu, vendredi dernier à la Bourse du travail de Ouagadougou, une conférence de presse.

Au cours de celle-ci, précise L’Observateur Paalga, les syndicalistes ont dénoncé « certaines pratiques comme la coupure des frais de mission des éléments partant sur le terrain ».

Pour sa part, Le Pays informe que « des agents (de la Police) dénoncent des détournements de fonds », non sans préciser que c’est Ousmane Ouédraogo, le Secrétaire général adjoint de l’APN qui a fait face à la presse le 31 mai dernier.

Aujourd’hui au Faso en conclut que « le torchon brûle entre le Directeur Général de l’APN et ses hommes ». Sidwaya fait part de la naissance d’un autre mouvement syndical dans le secteur de l’éducation : le Syndicat national des instituteurs adjoints certifiés et certifiés du Burkina (SYNIACCB).

Ce journal fait savoir que ce syndicat dit ne pas se sentir concerné par « le statut valorisant des enseignants tant défendu par la Coordination nationale des syndicats de l’éducation (CNSE)».