Sénégal : Macky Sall reçoit Patrice Talon à Dakar

Macky Sall le président sénégalais a reçu en audience le jeudi 27 Janvier 2022 son homologue béninois Patrice TALON. Les deux chefs d’Etat ont échangé autour du Sommet Union Européenne-Union Africaine (UE-UA) et la CEDEAO.

Selon Frissons radio, le président Sénégalais, Macky Sall prendra la tête de l’union Africaine courant mois de Février. Il était donc de bon ton que le président béninois ait des échanges avec lui sur plusieurs sujets liés à l’avenir du continent.

Le président Patrice Talon a effectué ce Jeudi 27 Janvier 2022, un voyage aller-retour Cotonou-Dakar-Cotonou pour un bref échange avec son homologue sénégalais. Les préparatifs du Sommet Union Européenne-Union Africaine (UE-UA) et des sujets liés la Cedeao étaient les principales raisons du déplacement du premier Béninois.

Il faut rappeler qu’avant cette visite au Sénégal, le président du Bénin était il y a quelques jours en Côte-d’Ivoire où il a eu à échanger avec son aîné, le président Alassane Ouattara. Précisons que le sommet Union Européenne-Union Africaine (UE-UA) est prévu du 17 au 18 février 2022 à Bruxelles.

 

450 sénégalais bénéficient d’un programme de formation financé par l’UE

Quelque 450 chômeurs, femmes, jeunes déscolarisés et migrants de retour bénéficieront d’un renforcement de compétences techniques dans les secteurs des bâtiments et travaux publics et de transformation de produits agricoles dans le cadre d’un programme financé à près de 394 millions de francs par l’Union européenne (UE), a appris l’APS.

Cela se fera sur la base d’un programme dénommé ‘’Défi Archipelago’’ dont les bénéficiaires vont provenir des régions de Dakar, Diourbel, Kolda et Louga. Un projet officiellement lancé mardi à Dakar par la Délégation de l’UE au Sénégal.

Il s’agit de renforcer les compétences techniques et l’employabilité des jeunes bénéficiaires dans les secteurs du bâtiment/travaux publics, de l’eau para-agricole et de la transformation des produits agroalimentaires, en vue d’améliorer leur insertion sur le marché du travail, a-t-on appris de l’équipe de coordination du projet.

‘’Il s’agit d’une formation duale entre le lieu de travail et le centre de formation’’ a précisé, la cheffe de coopération de la délégation de l’Union européenne, Cécile Tassin-Pelzer, lors du lancement.

Elle a précisé que la formation allait concerner la mécanique, l’hôtellerie, les travaux/bâtiments, des filières de l’eau para agricole, la transformation agro-alimentaire, sont renforcées en matière de développement et d’animation de clusters et pôles de compétitivité.

‘’A travers ce projet l’Union européenne cherche à développer des opportunités économiques au Sénégal et proposer aux jeunes une formation professionnelle adaptée au Sénégal’’, , a indiqué Tassin-Pelzer.

Vols Sénégal-UE: Les discussions diplomatiques se poursuivront vendredi

Le Sénégal et l’Union européenne (UE) ont engagé des ‘’discussions diplomatiques’’ sur l’ouverture de leurs territoires aux ressortissants de pays tiers. Les deux parties ont donc convenu de se retrouver vendredi prochain, a appris l’APS de source officielle sénégalaise.

En effet, dans un communiqué parvenu à l’APS, le ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur s’est réjoui du dernier acte de ces ‘’discussions diplomatiques’’conduites par le ministre de tutelle de la diplomatie du Sénégal, Amadou Bâ, en présence de l’ambassadrice et déléguée de l’UE au Sénégal, Irène Mingasson.

Etaient notamment présents, selon le communiqué, le secrétaire général du ministère de la Santé et de l’Action sociale, et son homologue du ministère du Tourisme et des Transports aériens.
Le Sénégal va fermer ses frontières aériennes aux pays qui auront pris une mesure similaire à l’encontre de ses ressortissants, a déclaré le ministre du Tourisme et des Transports aériens, Alioune Sarr, la semaine dernière.
Il a annoncé cette décision après que l’Union européenne a pris la mesure, pour atténuer la propagation du coronavirus, de n’ouvrir son espace aérien qu’aux ressortissants de quatre pays africains seulement, l’Algérie, le Maroc, le Rwanda et la Tunisie.
‘’La question de la réciprocité, principe de tous nos accords, a été au préalable rappelée par le Sénégal. Et les discussions qui se sont déroulées dans une ambiance cordiale ont montré une réelle volonté de toutes les parties de trouver une solution’’, souligne le communiqué.
Il ajoute que c’est dans ce cadre que le ministère de la Santé et celui du Tourisme ‘’vont transmettre à l’UE les dernières mesures sanitaires prises pour alimenter leur documentation’’.
‘’Tout en précisant que la première liste publiée (celle comprenant l’Algérie, le Maroc, le Rwanda et la Tunisie) n’est que provisoire et étant appelé à une révision régulière, l’UE a tenu à rappeler toute l’importance du Sénégal dans les relations de coopération qui les lient et réaffirme sa ferme volonté de tout mettre en œuvre dans la recherche d’une solution’’, ajoute la même source.
Pour ce faire, annonce le communiqué, ‘’les deux parties se sont donné rendez-vous vendredi prochain pour la poursuite de ces discussions, pour une solution profitable à tous’’.
Le président sénégalais, Macky Sall, a annoncé la réouverture des frontières aériennes de son pays, à partir du 15 juillet. Elles sont fermées depuis mars en raison de la pandémie de coronavirus.
Lors du dernier conseil des ministres, mercredi, il a demandé au gouvernement de veiller à ‘’une bonne préparation de la réouverture des frontières aériennes’’.

Fermeture de l’espace Schengen: L’UE semblerait revenir sur sa décision au sujet du Sénégal

Alors que le Sénégal annonçait qu’il appliquerait la réciprocité pour tous les pays qui ferment leurs frontières aux sénégalais, l’Union Européenne semble faire machine arrière.

En fait, l’UE avait annoncé la fermeture de son espace aérien aux Africains qui font face Covid-19 à l’exception de la Tunisie, l’Algérie, le Maroc et le Rwanda.

Cependant suite à l’annonce du Sénégal, Irène Mingasson ambassadeur de l’UE à Dakar, a apporté des précisions. En effet sur les antennes de iRadio, elle a expliqué que:

« En vérité, le Sénégal qui a décidé de rouvrir ses frontières aériennes à partir du 15 juillet 2020, n’est pas concerné par cette nouvelle situation. »

« L’approche de l’UE n’est pas surprenante. C’est comme le Sénégal qui a opté pour un retour graduel de sa réouverture des frontières. En ce qui concerne la recommandation européenne, je crois qu’il y a un malentendu sur la perception de la décision. Le but visé n’est vraiment pas de fermer les frontières mais de les rouvrir. Il s’agit de lever graduellement, de façon ordonnée et transparente, les restrictions qui, depuis des mois, s’appliquent aux mouvements et aux voyages non essentiels à l’intérieur de l’Europe et entre l’Europe et le reste du monde« , a expliqué l’ambassadeur.

Fermeture de l’espace Schengen: L’UE semblerait revenir sur sa décision au sujet du Sénégal

Alors que le Sénégal annonçait qu’il appliquerait la réciprocité pour tous les pays qui ferment leurs frontières aux sénégalais, l’Union Européenne semble faire machine arrière.

En fait, l’UE avait annoncé la fermeture de son espace aérien aux Africains qui font face Covid-19 à l’exception de la Tunisie, l’Algérie, le Maroc et le Rwanda.

Cependant suite à l’annonce du Sénégal, Irène Mingasson ambassadeur de l’UE à Dakar, a apporté des précisions. En effet sur les antennes de iRadio, elle a expliqué que:

« En vérité, le Sénégal qui a décidé de rouvrir ses frontières aériennes à partir du 15 juillet 2020, n’est pas concerné par cette nouvelle situation. »

« L’approche de l’UE n’est pas surprenante. C’est comme le Sénégal qui a opté pour un retour graduel de sa réouverture des frontières. En ce qui concerne la recommandation européenne, je crois qu’il y a un malentendu sur la perception de la décision. Le but visé n’est vraiment pas de fermer les frontières mais de les rouvrir. Il s’agit de lever graduellement, de façon ordonnée et transparente, les restrictions qui, depuis des mois, s’appliquent aux mouvements et aux voyages non essentiels à l’intérieur de l’Europe et entre l’Europe et le reste du monde« , a expliqué l’ambassadeur.

Recommandations de l’UE: «l’abandon du parrainage serait un acte du peuple souverain» (Aly Ngouille Ndiaye)

Le ministre de l’Intérieur Aly Ngouille Ndiaye, a ainsi réagi à la recommandation de la Mission d’observation électorale de l’Union européenne (UE) d’abandonner le parrainage citoyen pour les prochaines locales.

Dans un communiqué, le ministre de l’Intérieur revient sur l’avènement du parrainage au Sénégal «le parrainage a existé depuis fort longtemps dans notre législation. Elle a juste fait l’objet d’une extension aux partis et coalitions de partis politiques et aux élections locales pour des besoins de rationalisation face à une inflation progressive des candidatures».

«C’est en toute souveraineté que cette extension a été faite par le peuple sénégalais à travers la représentation nationale. Toute modification ultérieure sera le fait du peuple sénégalais souverain dans les mêmes formes», écrit Aly Ngouille Ndiaye.

Pour lui, il est à noter que la recommandation de la Mission d’observation électorale de l’Union européenne (UE) d’abandonner le parrainage citoyen pour les prochaines locales « va au-delà de l’objet pour lequel l’observation électorale a été effectuée en ce qu’elle dépasse le cadre de l’élection présidentielle».

A lire aussi: Elections au Sénégal: l’UE demande la suppression du parrainage

La Mission d’observation électorale de l’Union européenne (MOE-UE) a suggéré lundi 17 juin, l’abandon du parrainage-citoyen afin d’éviter d’éventuelles difficultés d’application politique et organisationnelle lors des élections locales prévues en décembre.

Le parrainage implique que tout candidat ou liste de candidature à une élection recueille au minimum 0, 8 % et 1 % au maximum de signatures des électeurs inscrits sur le fichier électoral au moins dans sept régions.

Elections au Sénégal: l’UE demande la suppression du parrainage

L’organisation fait cette recommandation pour éviter d’éventuelles difficultés d’application politique et organisationnelle lors des élections locales prévues en décembre.

 

La Mission d’observation électorale de l’Union européenne (MOE-UE) est sans ambages. «Au titre des recommandations prioritaires, la MOE UE préconise l’abandon du parrainage-citoyen pour les élections locales, dont l’application poserait des problèmes politiques et organisationnels sérieux», a déclaré lundi le chef de la MOE-UE, Elena Valenciano. C’était au cours d’une conférence de presse de présentation de son rapport final d’observation de la présidentielle du 24 février dernier.

La de parrainage des candidatures à toutes les élections a été adopté par l’Assemblée nationale du Sénégal en avril 2018.

Ce texte oblige tout candidat ou liste de candidature à une élection de recueillir au minimum 0, 8 % et 1 % au maximum de signatures des électeurs inscrits sur le fichier électoral au moins dans sept régions.

Elle a débouché sur l’invalidation par le Conseil constitutionnel de quelque 19 candidatures à la présidentielle du 24 février.

«Nous recommandons également de mener une réflexion d’ensemble sur les dispositifs du parrainage-citoyen pour les élections présidentielle et législatives», a précisé Elena Valenciano, ajoutant que «ces discussions devraient être conduites dans le cadre d’une large concertation».

Le rapport comprend une analyse détaillée du processus électoral ainsi que des recommandations techniques pour l’amélioration des scrutins futurs, dont huit sont jugées prioritaires par la mission de l’UE.

«Si le rapport rappelle que le scrutin, le dépouillement des votes et le recensement des résultats ont généralement été évalués positivement par les observateurs de l’UE, il insiste toutefois sur le manque de confiance dans le processus électoral de la part des candidats de l’opposition et de certains acteurs de la société civile», a fait savoir Elena Valenciano.

Elle préconise le renforcement de l’efficacité des commissions de distribution des cartes d’électeur en assurant la traçabilité de leur distribution.

«L’accès au fichier électoral devrait à tout moment être permis aux partis politiques dans des conditions appropriées», disposition qu’elle qualifie de «mesure de confiance et de transparence», a indiqué la patronne de MOE-UE.

Sénégal: la nouvelle mesure UE sur l’importation des mangues entre en vigueur dès septembre

A partir du 1er septembre 2019, la nouvelle directive de l’Union européenne sur l’importation des mangues sera mise en application au Sénégal.

La nouvelle réglementation a été officiellement adoptée par le Sénégal fin mars dernier. Selon L’Agence sénégalaise de promotion des exportations (Asepex), les exportations de mangues du Sénégal vers l’Union européenne (UE) seront bientôt soumises à de nouvelles réglementations. Réglementations qui qui entrent en vigueur à partir du 1er septembre prochain.

Il s’agit de la disposition qui devra désormais régir l’exportation des mangues vers l’UE. Selon le Comité de liaison Europe Afrique Caraïbes Pacifique (Coleacp) contacté par latribune.fr, la nouvelle réglementation a été introduite en réponse au nombre élevé d’interceptions d’importations de mangues dues à la présence de mouches des fruits (Tephritidae non européennes).

A lire aussi: les nouvelles règles phytosanitaires de l’UE sur la mangue applicables en septembre

Il ne reste plus que les exportateurs s’activent afin de respecter les normes. «Afin d’assurer la continuité des exportations de mangues pendant la saison 2020, des mesures doivent être prises dès maintenant par les producteurs, les exportateurs et les Organisations nationales pour la protection des végétaux (Onpv) concernées», prévient l’Asepex.

Toujours selon l’Asepex, pour y arriver, les acteurs du secteur peuvent  s’appuyer sur les conseils du Coleacp qui, dans le cadre de ses programmes Fit for Market (Ffm) et Fit for Market Sps (Ffm Sps), pourrait aider à la préparation des dossiers d’éligibilité.

Sénégal : 5000 observateurs pour le scrutin présidentiel de dimanche prochain

Le gouvernement du Sénégal a validé 5 000 observateurs et 40 accréditations, dont 3 rejetées pour l’élection présidentielle du 24 février prochain.

Sénégal : 5000 observateurs pour le scrutin présidentiel de dimanche prochain

Le gouvernement du Sénégal a validé 5 000 observateurs et 40 accréditations, dont 3 rejetées pour l’élection présidentielle du 24 février prochain.

C’est la résolution de la rencontre du 18 février  entre le ministre de l’Intérieur, Aly Ngouille Ndiaye et des responsables de la Commission électorale nationale autonome (Cena), organe administratif sénégalais chargé d’organiser et de superviser les élections au Sénégal.

Lire aussi : Sénégal : création d’un logiciel « d’agrégation et de traitement » des données électorales

Le journal Les Echos révèle que 5 000 observateurs et 40 accréditations, dont 3 rejetées seront déployés dans les bureaux de vote sur l’ensemble du territoire sénégalais pour le scrutin présidentiel de dimanche prochain.

Des observateurs de la Cedeao et en provenance de 21 pays de l’Union européenne (Ue) seront également sur le terrain au Sénégal pour l’élection du 24 février. L’Eglise catholique du Sénégal va mobiliser, pour sa part, 1 000 observateurs.

Présidentielle 2019 : les observateurs de l’UE pour le scrutin du 24 février

Un accord administratif a été signé ce 14 janvier entre le gouvernement sénégalais et l’UE pour l’Observation de l’élection présidentielle du 24 février 2019.

Une délégation d’observateurs de l’Union européenne (UE) sera présente au Sénégal à l’occasion de la présidentielle du 24 février 2019, a appris l’APS.

L’annonce a été faite lundi par Irène Mingasson Ambassadeur de L’UE au Sénégal, soulignant que ces missions d’observation électorale sont toujours composées d’un groupe d’experts qui « sont des spécialistes des questions électorales et de tous les aspects qui entourent ces questions ».

« Pour se déployer à travers le pays plusieurs dizaines de ces experts court terme et long terme sont invités dans les semaines qui viennent », a précisé Irène Mingasson.

Elle s’exprimait lors de la signature, avec le ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur, de l’Arrangement Administratif pour l’Observation de l’élection présidentielle du 24 février 2019.

« Par ailleurs, ces experts sont mobilisés dès les semaines qui précédent les scrutins et ils seront rejoints dans les semaines qui viennent par des observateurs long terme et court terme qui certes ont une expérience en la matière mais qui seront plus appelés en qualité de témoin pour ce scrutin », a-t-elle expliqué.

Il s’agit, selon elle d’un exercice qui vise à « soutenir le dialogue et la coopération sur toutes les dimensions de ce processus si important pour la démocratie au Sénégal ».

Selon Irène Mingasson, « le défi majeur de ces missions est surmonté grâce à l’étroite coopération de nos gouvernements, de l’équipe du ministère des Affaires étrangères puisqu’il s’agit de permettre à ses experts d’avoir un accès aussi complet que possible à tous les acteurs pertinents dans le processus électoral ».

« La mission d’observation est un gage de crédibilité, de transparence des élections parce qu’il doit en être ainsi au niveau du Sénégal », a-t-elle ajouté.

Le scrutin présidentiel est prévu le 24 février. Le Conseil constitutionnel a rendu publique lundi une liste provisoire de 5 candidats : Macky Sall, Idrissa Seck, Ousmane Sonko, Issa Sall et Madické Niang.

 

Casamance : accord pour l’exploitation de la filière mangue

Cette entente a été trouvée le 30 Mai dernier, entre l’agence sénégalaise des investissements et la société financière internationale

L’Agence sénégalaise pour la promotion des investissements des grands travaux (APIX) et la Société financière internationale (IFC) du groupe de la Banque mondiale ont signé, mercredi à Dakar, un accord de coopération permettant le lancement du Projet d’appui à l’investissement et à la compétitivité de l’Agrobusiness au Sénégal, axé notamment sur l’exploitation de la filière mangue en Casamance (sud).Financé par l’Agence internationale de développement des Etats-Unis (USAID), le projet, qui court jusqu’en 2021, « a comme objectif de générer 10,5 milliards de FCFA d’investissements dans le secteur et d’avoir un impact notable auprès des revenus des producteurs, notamment en Casamance », explique un communiqué remis à la presse.

Cet « important projet » sera exécuté « sous forme d’accompagnement technique d’IFC auprès de APIX SA » et contribuera « de manière significative » aux revenus des producteurs et au développement de la Casamance, a soutenu le directeur général de l’APIX, Mountaga Sy.

Toutes les régions du Sénégal sont bénéficiaires du projet, mais la Casamance (Kolda, Sédhiou et Ziguinchor) est « prioritaire », a précisé M. Sy, ajoutant que le choix de cette filière est fait « à plein milieu » et est en corrélation avec la vision du PSE.

En effet, explique-t-il, cette région naturelle voit pourrir une bonne partie de sa production de mangues à cause de sa non transformation. Par conséquent le Sénégal, bien qu’il en « exporte » pas moins de « 15.000 tonnes par an », en perd pratiquement autant.

Pourtant, la mangue « c’est de l’or vert » et elle demeure l’une des filières « les plus dynamiques du secteur horticole » sénégalais, a indiqué un agent du ministère du Commerce selon qui le Sénégal a exporté cette année « 17.000 tonnes de mangues » dans les pays de l’Union européenne (UE).