Réconciliation nationale et enseignement au menu de la presse en ligne burkinabè

Les journaux en ligne burkinabè commentent, ce samedi, l’actualité nationale marquée par des sujets liés à l’enseignement et à la réconciliation.Wakatséra.com publie une déclaration de la Coalition pour la démocratie et la réconciliation nationale (CODER) sur le Dialogue politique annoncé par le président du Faso. 

«Séminaire gouvernemental : Le HCRUN et le gouvernement discutent de réconciliation », titre pour sa part, Burkina24.com, informant qu’un séminaire gouvernemental a réuni hier vendredi à Ouagadougou, le Haut conseil pour la réconciliation et l’unité nationale (HCRUN) et le gouvernement au palais présidentiel de Kosyam. 

Le média en ligne précise qu’au sortir du séminaire, le Premier ministre burkinabè Christophe Joseph Marie Dabiré a souhaité l’instauration d’un dialogue permanent avec le HCRUN.

Parlant de cette rencontre, Lefaso.net ajoute que cette activité, qui a été marquée par des exposés, a permis d’enregistrer des contributions d’experts venus du Burundi et de la Tunisie sur la justice transitionnelle.

Le même site d’information évoque la conférence de presse animée à Ouagadougou, jeudi dernier par des avocats d’enseignants de la sous-région.

Selon Lefaso.net, «sur des professeurs agrégés, titulaires d’universités du Togo, du Bénin et de la Côte d’Ivoire, pèsent des accusations relatives aux +manquements de leur devoir éthique+». 

«Appelés le 16 avril 2016 au siège du Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur (CAMES) sis à Ouagadougou, plus précisément devant la Commission d’éthique et de déontologie, les mis en cause ont dénoncé une violation des textes et des éléments basiques du droit dans la procédure », relate le journal en ligne. 

Et de mentionner que c’est pour prendre à témoin l’opinion publique nationale et internationale que les avocats de ces professeurs visés ont animé, ce jeudi, 18 avril 2018 à Ouagadougou, une conférence de presse sur le sujet.

A ce propos, Zoodomail.com affiche : «Cinq professeurs d’université accusent le CAMES de partialité».

Religion et éducation au menu des quotidiens burkinabè

Les journaux burkinabè parus ce vendredi, font écho de la grève organisée la veille, par la Coalition nationale des syndicats de l’éducation (CNSE), sans oublier de commenter des sujets liés à la religion, notamment, les préparatifs de la fête chrétienne de Pâques et du pèlerinage à la Mecque 2019.Le journal privé Le Pays renseigne que pour le Hadj 2019, «le gouvernement accorde une subvention de plus d’un milliard de F CFA aux pèlerins burkinabè». Une annonce  faite, hier jeudi lors d’un point de presse animé par le ministre en charge de l’administration territoriale, Siméon Sawadogo.

Pour sa part, le quotidien à capitaux publics Sidwaya fait observer que lors de la rencontre avec les journalistes, le ministre Sawadogo a également annoncé que pour le Hadj  2019, «il faut débourser 2.132.000 F CFA».

A ce sujet, Aujourd’hui au Faso, quotidien privé affiche : «Hadj 2019 : Coût de participation fixé à 2.132.000 F CFA», tandis que L’Observateur Paalga fait remarquer que cette année, «le coût est en baisse de 153 000 F CFA».

A deux jours de Pâques, Sidwaya parle de cette fête chrétienne comme d’«une solennité chargée d’obligation pour le chrétien».

Pour sa part, Le Pays propose «les horaires des offices du triduum pascal» dans l’archidiocèse de Ouagadougou et l’église des Assemblées de Dieu de Gounghin.

De son côté, L’Observateur Paalga, le plus vieux des quotidiens privés burkinabè, dans sa rubrique ‘’Intelligence africaine de la foi », publie un texte de l’Assomptionniste Jean-Paul Sagadou, intitulé «le crucifié-ressuscité des Negro spirituals».

Le même journal parle de l’insécurité au Burkina Faso et titre : «Les hommes de Chériff (Moumina SY, ministre de la Défense, Ndlr) font le point».

Le confrère relate que comme on pouvait s’y attendre, l’insécurité au Burkina Faso est au centre du premier Conseil d’administration du secteur ministériel (CASEM) de la Défense, ouvert hier jeudi à Ouagadougou.

Evoquant le mouvement d’humeur des enseignants, L’Observateur Paalga titre : «Syndicats de l’éducation : Après la trêve, la grève».

A lire l’article,  «marche-meeting, remise de message ont été les actes majeurs de la grève décrétée par la Coalition nationale des syndicats de l’éducation (CNSE) le jeudi 18 avril 2019».

A ce propos, le journal privé Le Quotidien arbore : «24 H de grève de la CNSE : Forte mobilisation des enseignants».

C’est à juste titre que Le Pays arbore cette vitrine : «Grève des enseignants : des établissements scolaires paralysés à Ouaga», là où Sidwaya mentionne : «L’+avertissement+ des enseignants».

Aujourd’hui au Faso cite ces propos du Secrétaire général de la CNSE, Bonaventure Bélem, à l’issue du mouvement d’humeur : «la lutte engagée se poursuivra jusqu’à la victoire».

Les quotidiens burkinabè à fond sur la grève des agents de santé

Les quotidiens burkinabè, dans leurs livraisons de ce jeudi, commentent largement la grève du Syndicat national des travailleurs de la santé humaine et animale (Synthsa), entamée la veille sur toute l’étendue du territoire.«Grève du SYNTSHA : Des mesures pour stopper l’hémorragie», affiche L’Observateur Paalga qui relate que les hôpitaux publics tournent depuis hier au ralenti en raison d’un mouvement de grève de 48 heures.

Le doyen des quotidiens privés burkinabè  précise que le mouvement est lancé par le Syndicat national des travailleurs de la santé humaine et animale (Synthsa) qui exige l’application du protocole d’accord signé avec le gouvernement le 13 mars 2017.

De son côté, Aujourd’hui au Faso, autre quotidien privé, fait observer que, suite à la grève du Synthsa, «des malades se tordent de douleur à Ouagadougou» et que «des patients cherchent soignants à Dédougou».

Quant à L’Express du Faso, quotidien privé imprimé à Bobo-Dioulasso (2e capitale du Burkina Faso), il informe que «le mot d’ordre est suivi à Bobo-Dioulasso» et «la mobilisation est aussi forte dans le Kénédougou (Ouest)».

Le journal privé Le Pays mentionne qu’à Bobo-Dioulasso, «le syndicat n’a pas prévu de service minimum».

Pendant ce temps, le quotidien public Sidwaya met en exergue «le service minimum assuré à Yalgado», rapportant que le secrétaire général du ministère de la Santé, Dr Robert Karama a effectué une visite au Centre hospitalier universitaire Yalgado Ouédraogo (CHU-YO) dans la matinée du mercredi 17 avril 2019.

Le même journal, toujours dans le domaine de la santé, renseigne que concernant la couverture sanitaire du pays, un Centre hospitalier régional (CHR) verra le jour à Manga (capitale de la région du Centre-sud) dans 18 mois.

A ce propos, le confrère évoque une décision prise, hier mercredi, en conseil des ministres.

Mouvements d’humeurs des financiers et politique se paient la Une des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce mercredi commentent l’actualité politique nationale, tout en jetant un regard sur le mouvement d’humeurs des agents du ministère en charge de l’Economie et des finances.«Crise au MINEFID (ministère de l’Economie, des Finances et du Développement, Ndlr): voici les réalités aux Impôts», affiche le quotidien public Sidwaya, avant d’ajouter que «le Premier ministre rassure le patronat».

Selon Sidwaya, une délégation du Conseil du patronat burkinabè, conduite par le président Apollinaire Compaoré a été reçue en audience, hier mardi à Ouagadougou, par le chef du gouvernement, Christophe Joseph Marie Dabiré.

«Plusieurs sujets dont les conséquences de la crise au ministère en charge des finances sur les activités des entreprises ont été à l’ordre du jour», rapporte le journal.

Ainsi, le confrère fait remarquer que la crise au MINEFID a des répercussions sur le recouvrement des impôts, la mobilisation des recettes et a affecté les entreprises.

Le journal privé Le Quotidien reprend, en première page, la position (révélée hier en conférence de presse) de l’opposition politique à propos de la crise. Ainsi, le représentant de l’opposition estime que «le président du Faso en tant qu’ancien ministre des finances est comptable de la situation».

Pour sa part, L’Observateur Paalga, le plus vieux des quotidiens privés du Burkina Faso, arbore : «Grève des agents des finances : Les commerçants ne cachent plus leur ras-le-bol».

Le journal relate qu’une coalition de 18 associations a donné, hier mardi à la Chambre de commerce et d’industrie du Burkina, sa lecture de la situation au MINEFID, précisant qu’à l’occasion, «les mécontents ont déclaré qu’ils n’en pouvaient plus de ce mouvement des financiers, car il leur est préjudiciable».

En politique, L’Observateur Paalga évoque la conférence de presse animée la veille par l’opposition politique qui s’est prononcée sur l’opération de contrôle de l’authenticité des diplômes des fonctionnaires.

A en croire le confrère, les conférenciers ont souhaité que l’opération doit s’étendre aux membres du gouvernement et aux présidents d’institutions.

De son côté, le journal Le Pays, cite l’un des animateurs de la conférence de presse, Alphonse Marie Ouédraogo du Chef de file de l’opposition politique (CFOP) qui déclare à propos de l’opération d’authentification des diplômes dans la fonction publique : «Pourvu qu’elle ne se transforme pas à un instrument de pression».

Toujours en politique, L’Express du Faso, quotidien privé imprimé à Bobo-Dioulasso (2e ville),  dans sa rubrique ‘’Autant le dire… », mentionne : «Blaise à Roch, la réconciliation est possible».

Revenant sur la lettre de l’ex-président Blaise Compaoré au président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, à propos de la situation nationale, L’Observateur Paalga souligne que «Roch prend acte», là où Aujourd’hui au Faso titre : «Situation nationale : Roch Kaboré répond à Blaise Compaoré».

Terrorisme et administration au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce mardi traitent de l’actualité marquée par les réformes au niveau de l’Ecole nationale d’administration et de magistrature (ENAM), sans oublier des sujets relatifs au terrorisme.«Attaques terroristes au Sahel : Le difficile quotidien des déplacés», arbore en première page, le quotidien à capitaux publics, Sidwaya qui propose un reportage de deux pages sur la situation de nombreux déplacés internes, confrontés à des difficultés d’ordre existentiel.

Le journal rappelle d’entrée de jeu que «depuis 2015, la région du Sahel burkinabè, frontalières au Mali et au Niger, subit des attaques terroristes qui obligent les habitants à fuir pour se mettre à l’abri».

L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, parle de la situation provoquée par le terrorisme dans la région de l’Est où, depuis le 7 mars 2019 et cela jusqu’au 20 avril, les habitants sont soumis à un couvre-feu de 19 heures à 6 heures du matin.

Le journal barre à sa Une: «Fada: Vivre sous couvre-feu», soulignant que «l’assouplissement de ce régime qui court désormais de 22 heures à 5 heures du matin, n’a pas pour autant, réglé tous les problèmes».

Dans sa rubrique ‘’Révélations », Le Pays, journal privé, titre : «Lutte anti-terroriste : Blaise Compaoré se dit prêt à aider Roch Marc Christian Kaboré».

A ce sujet, Aujourd’hui au Faso est davantage précis lorsqu’il met en exergue : «Lutte contre le terrorisme : Dans une lettre, Blaise se dit disposé à soutenir Roch».

Le même quotidien privé renseigne que le président du Faso Roch Marc Christian Kaboré soutient la nouvelle dynamique de formation à l’Ecole nationale d’administration et de magistrature (ENAM).

Pendant ce temps, Le Pays informe que «les Hommes d’affaires burkinabè font désormais partie du corps enseignant» à l’ENAM, avant de relater que dans son processus de formation de ses stagiaires, l’Ecole nationale d’administration et de magistrature veut impliquer les acteurs du secteur privé.

De son côté, Sidwaya affiche : «Partenariat public-privé : L’ENAM reconnaissante à huit +professeurs associés+».

Politique et lutte contre le terrorisme au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè reçus lundi à APA commentent l’actualité nationale marquée par la lutte contre le terrorisme dans le pays et dans la sous-région, sans oublier les nouvelles liées à la politique, notamment, la candidature du député Tahirou Barry à la prochaine présidentielle.« Présidentielle de 2020 : Tahirou Barry annonce sa candidature », titre le journal privé Le Quotidien qui informe que le député a annoncé sa candidature au cours d’une conférence de presse, hier dimanche à Ouagadougou.

Le journal fait remarquer que la candidature de M. Barry rejoint celles de Roch Marc Christian Kaboré, Kadré Désiré Ouédraogo et Gilbert Noël Ouédraogo.

«Cette candidature fait suite à l’appel du Mouvement pour le changement et la renaissance (MCR) et des mouvements associatifs et politiques qui l’invitaient en janvier 2019 à se porter candidat à la présidentielle à venir», précise Le Quotidien. 

C’est à juste titre que Le Pays, autre quotidien privé, titre : «Tahirou Barry accepte d’être candidat du MCR».

Sidwaya, le quotidien à capitaux publics, ne dit pas autre chose lorsqu’il écrit que «le député Tahirou Barry va défendre les couleurs du MCR dont il a répondu favorablement à l’appel».

De son côté, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso mentionne, en guise de titre : «Tahirou Barry : Oui, j’y vais», faisant observer que l’ancien ministre en charge de la Culture a donné une réponse favorable au MCR qui lui a demandé de porter son flambeau au scrutin présidentiel de 2020.

Le même journal consacre sa Une à l’opération spéciale de sécurisation dans les régions du Centre-est et de l’Est en affichant : « Opération Otapuanu : Mission accomplie, selon le général Miningou ». 

Evoquant ce sujet, Aujourd’hui au Faso, citant le Chef d’Etat-major général des armées (CEMGA), le général de brigade Moïse Miningou, s’exclame : « Mission accomplie !». 

A ce propos, Sidwaya se veut plus précis en mettant en exergue : « Opération Otapuanu : Une centaine de présumés terroristes interpellés ». Le journal signale que le CEMGA a animé un point de presse, vendredi dernier à Fada N’Gourma, capitale de la région de l’Est, « pour présenter le bilan de l’opération Otapuanu en cours ».

Le journal Le Quotidien, dans sa rubrique ‘’Le voyageur de Guena », parle de l’opération Kapidgou, informant que «le Mali et le Burkina neutralisent 24 terroristes».

Victimes du putsch manqué et situation en Algérie au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè continuent de commenter, ce jeudi, la situation sociopolitique en Algérie, sans oublier de revenir sur la situation nationale marquée par le procès de coup d’Etat manqué de septembre 2015, notamment les témoignages de victimes.«Au deuxième jour d’audition des victimes du coup d’Etat manqué, le mercredi 10 avril 2019, le tribunal militaire a entendu d’autres personnes ayant subi des coups et blessures, mais aussi des pertes de biens», rapporte le quotidien à capitaux publics Sidwaya.

Le journal informe aussi que dans le déroulement du procès du putsch manqué, les plaidoiries vont démarrer à partir du jeudi 18 avril prochain.

Le journal privé Le Pays reprend à sa Une le témoignage de la victime Seydou Touré qui a déclaré ceci : «Ils m’ont mis à genou et ont tiré sur ma poitrine».

Quant au journal Le Quotidien, il rapporte ces paroles du procureur : «Même les ambulances n’ont pas été épargnées».

«Témoignages des victimes du putsch: Même les ambulances n’ont pas été épargnées par le RSP», arbore de son côté, Aujourd’hui au Faso.

Pour sa part, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, renchérit à travers cette exclamation: «Ils ont même osé tirer sur une ambulance !».

Dans son ‘’Regard sur l’actualité », L’Observateur Paalga évoque la situation politique en Algérie, titrant : «Présidentielle algérienne : Le tout n’est pas de fixer une date».

Selon le commentateur, la présidence intérimaire algérienne dirigée par Abdelkader Bensalah a fixé l’élection présidentielle (initialement prévue pour le 18 avril) à la date du 4 juillet 2019.

A ce sujet, Le Pays se demande: «Transition politique en Algérie: Bensalah a-t-il les moyens de surprendre agréablement ?», soulignant que moins de 24 heures après sa nomination à la présidence par intérim de l’Etat, Abdelkader Bensalah s’est adressé au peuple algérien dans une allocution télévisée.

«De ce premier discours à la Nation, l’on retiendra principalement l’engagement du nouveau chef de l’Etat à organiser les élections dans les délais constitutionnels de 90 jours», fait remarquer L’Observateur Paalga, ajoutant qu’«à cet effet, il (Abdelkader Bensalah) a annoncé la prochaine mise en place d’une commission».

Colère des contribuables et politique au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè commentent ce mardi, l’actualité politique nationale et internationale, sans oublier d’évoquer le mouvement d’humeur d’usagers des impôts, la veille à Ouagadougou, consécutif à la fermeture des guichets de paiement des impôts.«Zéro service à la Direction des moyennes entreprises du Centre/Ouaga: Manifestation de colère des contribuables», arbore en première page le journal privé Le Quotidien.

Pour sa part, le quotidien privé Le Pays fait observer que le mouvement d’humeur des agents du ministère de l’Economie, des Finances et du Développement (MINEFID) continue de provoquer des mécontentements au sein de la population du fait des désagréments causés.

«Pour preuve, la Direction des moyennes entreprises du Centre1 (DME1) a connu une journée chaude, hier 8 avril, dans la journée à Ouagadougou», rapporte le confrère.

Les manifestants, selon Le Pays, ont investi les locaux de cette direction pour se plaindre de la fermeture des guichets et de l’absence des agents des impôts à leurs postes.

Dans sa rubrique ‘’Mardi politique » Le Pays donne la parole à Roland Goungounga, celui que le journal a nommé «le président contesté du PARIS (Parti républicain pour l’intégration et la solidarité, Ndlr)».

Le journal fait remarquer que (le bateau du PARIS tangue au milieu des eaux politiques et ce, du fait que deux capitaines se disputent le gouvernail : Roland Tondé et Roland Goungounga».

Dans l’interview, M. Goungounga déclare : «Nous n’avons pas de problèmes avec M. Tondé, c’est le MATDC (ministère de l’Administration territoriale, de la Décentralisation et de la Cohésion sociale) qui nous oppose».

De son côté, le quotidien public Sidwaya aborde l’opérationnalisation de la Télévision numérique de terre (TNT), renseignant que l’extinction de l’analogique est prévue à partir de novembre 2019.

Quant à L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés burkinabè, il titre : «Présidentielle de 2020 : Précampagne : précampagne pour Zida à Banfora et à Gaoua».

Ce journal relate que le mouvement «Génération Zida pour la patrie» a tenu une conférence de presse le 6 avril 2019 à Banfora (Ouest), puis à Gaoua (Sud-ouest).

Selon le journal, au cours de la rencontre avec les journalistes, le coordonnateur du mouvement, Sayouba Ouédraogo a expliqué que le retour aux affaires de l’ex-Premier ministre durant la Transition, Yacouba Isaac Zida «est voulu par la jeunesse».

Santé, justice et sport au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè parvenus à APA ce lundi, commentent l’actualité nationale relative à la politique et au sport, sans oublier des questions sanitaires.«Lutte contre le cancer au Burkina: Un centre de radiothérapie dans 14 mois», arbore en première page le quotidien public Sidwaya, informant que l’Epouse du chef de l’Etat, Sika Kaboré, a posé la première pierre d’une unité autonome de radiothérapie, le samedi 6 avril à Ouagadougou.

A ce sujet, le journal privé Le Pays titre : «Lutte contre le cancer au Burkina: Bientôt un centre de radiothérapie pour soulager les malades».

De son côté, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés burkinabè du Burkina Faso, s’est intéressé à la vente de médicaments génériques dans les Centre de santé et de promotion sociale (CSPS), affichant : «La disparité des prix mise en index».

Le même journal consacre sa Une au procès du manqué de septembre 2015, avec ce titre : «Les victimes à la barre demain».

Au même moment, Sidwaya renseigne que  la défense demande que le tribunal écarte du dossier, les vidéos et les audio diffusés au procès, lors des deux semaines écoulées.

En sport, les journaux ont surtout commenté le sacre de l’haltérophile  burkinabè vivant au Canada, Iron Biby de son nom à l’état civil  Cheick Ahmed Al-Hassan Sanou.

Ainsi, Sidwaya fait remarquer que Iron Biby vient d’être sacré «unique champion du monde» de log-lift (en français, porté à l’épaule), en soulevant un poids de 220 kg, samedi dernier à Leeds, en Angleterre, lors d’une compétition qui a réuni plusieurs haltérophiles de diverses nationalités.

Aujourd’hui au Faso, autre quotidien privé,  jubile lorsqu’il affiche à sa une : «Sport : Iron Biby met le monde à ses pieds», montrant l’image du sportif burkinabè brandissant son trophée.

 

Politique et société se disputent la une des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè commentent largement, ce vendredi, l’actualité nationale marquée par des faits de société, sans oublier la rencontre entre le président du Faso et la classe politique, la veille à Ouagadougou.«Situation nationale: Les acteurs politiques à la recherche d’un consensus», titre le quotidien public Sidwaya qui rapporte que le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré a rencontré, hier jeudi au palais présidentiel, successivement des délégations du Chef de file de l’opposition politique (CFOP) et de l’Alliance des partis de la majorité présidentielle (APMP).

Selon le journal, le chef de l’Etat burkinabè  prévoit de recevoir l’ensemble des acteurs politiques autour d’une même table dans les jours à venir.

De son côté, le journal privé Le Pays, parlant de cette actualité, arbore : «Le CFOP et la majorité à Kosyam (Nom du palais présidentiel, Ndlr): Pour peaufiner les positions en prélude au dialogue politique».

Pendant ce temps, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, affiche : «Dialogue politique au Burkina : Prise de contact à Kosyam».

Aujourd’hui au Faso plaque à sa une : «Roch consulte tous azimuts», tandis que L’Express du Faso, quotidien imprimé à Bobo-Dioulasso s’exclame : «Roch a enfin compris !».

Le même journal consacre sa Une aux travaux de réfection du plus important lieu de prière des musulmans de la capitale burkinabè et il titre : «Ouagadougou : La Grande mosquée de Ouagadougou bientôt dans son nouveau boubou».

Le Pays évoque le Chemin de croix chez les catholiques, publiant une interview de l’Abbé Donatien Salegré qui déclare que «la pratique du chemin de croix est plus dévotionnelle que dogmatique».

Quant à Sidwaya, il revient sur les conflits de chefferie à Zoaga (Centre-Est), en arborant cette manchette : «Retour sur une +nuit des longs couteaux+».

Grève des chauffeurs et politique au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce jeudi commentent l’actualité marquée par des sujets politiques (nationale et internationale), ainsi que des faits de société, avec notamment le mouvement d’humeur des chauffeurs routiers.«Grève illimitée des chauffeurs routiers : Des dizaines de camions bloqués le long de la RN1 (Route nationale n°1, reliant les deux capitales Ouagadougou et Bobo-Dioulasso, Ndlr)», affiche à sa Une, le quotidien privé Le Pays.

Le journal relate que les chauffeurs routiers observent depuis le 2 avril 2019, une grève illimitée sur l’étendue du territoire national, ajoutant que «selon certaines informations, ils (les grévistes) protesteraient contre toute reconduction de l’actuel président de l’OTRAF (Organisation des transporteurs routiers du Faso)».

Le Pays rapporte également que les Syndicats des associations et groupements  de transporteurs routiers du Burkina (SAGTRB) étaient face à la presse, hier mercredi 3 avril à Ouagadougou.

«Se prononcer sur le mouvement d’humeur entamé par les chauffeurs routiers depuis le 2 avril dans la ville de Ouagadougou, tel était l’objectif de ce point de presse», fait remarquer le confrère.

A ce sujet, L’Express du Faso, quotidien privé imprimé à Bobo-Dioulasso (2e ville du Burkina Faso), arbore : «Mouvement d’humeur des chauffeurs routiers : les transporteurs routiers s’en démarquent».

Le journal Le Quotidien reprend les propos des animateurs de la conférence de presse qui font savoir qu’«aucun des 18 syndicats, associations et groupements de transporteurs n’est concerné par ces mouvements».

Sidwaya, le quotidien à capitaux publics titre : «Mouvement d’humeur de chauffeurs routiers: Une œuvre d’individus non identifiés, selon les transporteurs».

Aujourd’hui au Faso, autre quotidien privé, abonde dans le même sens lorsqu’il mentionne, en vitrine : «Grève des chauffeurs routiers: les transporteurs s’en démarquent».

Dans sa rubrique ‘’Les News du jour », le même journal mentionne que dans le cadre du dialogue politique, le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré rencontre l’Opposition et la majorité ce matin au palais présidentiel.  

Pendant ce temps, Sidwaya revient sur la démission du président algérien Abdelaziz Bouteflika dans son ‘’Autre Regard », parlant de «L’équation de la transition».

Quant à L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, il consacre sa manchette à ce sujet, laissant lire: «Démission de Bouteflika : Ce qu’en pense Mohamed Doumi, le plus Burkinabè des Algériens».

Le confrère met en exergue les propos de M. Doumi qui sonnent comme une interpellation : «Attention à ne pas sombrer dans la chienlit !».

Situation nationale et démission de Bouteflika à la une des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce mercredi commentent largement la démission, la veille, du président algérien Abdelaziz Bouteflika, sans oublier d’évoquer la situation nationale.«Réconciliation nationale : La CODER pour le retour des exilés», arbore en première page le quotidien à capitaux publics Sidwaya, informant que le Premier ministre, Christophe Joseph Marie Dabiré, a échangé avec la Coalition pour la démocratie et la réconciliation nationale (CODER), le lundi 1er avril 2019 à Ouagadougou.

De son côté, Le Quotidien publie une interview du journaliste Lookman Sawadogo qui, à propos des affrontements communautaires au Burkina Faso, pense que «ce que l’on voit aujourd’hui peut préfigurer d’autres situations plus graves».

Le même journal privé reprend à sa une les propos de Jean Hubert Bazié, un opposant politique qui estime qu’au sujet des affrontements meurtriers à Zoaga (Centre-Est) et  à Arbinda (Sahel), «le gouvernement burkinabè est coupable de passivité».

En page internationale, Aujourd’hui au Faso, parle de la démission du président algérien, titrant : «Ils ont démissionné Bouteflika en Algérie : Le plus dur reste la +débouteflikisation+».

Selon l’éditorialiste du journal, Abdelaziz Bouteflika aurait certainement rêvé d’un meilleur anniversaire pour ses 20 ans de règne.

«Mais son peuple en a décidé autrement. Un peuple qui vient d’entrer dans l’Histoire. Et comme les dates se coïncident souvent de façon fortuite : c’est en avril 1999, qu’il fut porté à la tête de l’Algérie et c’est ce 2 avril 2019, exactement 20 ans après qu’il quitte ce pouvoir, dans lequel il est tombé dès sa tendre jeunesse», commente le confrère.

Pour sa part, Sidwaya se contente de titrer : «Algérie : Bouteflika jette l’éponge», tandis que Le Pays, quotidien privé, souligne que c’est «une victoire d’étape».

L’Observateur Paalga, le plus ancien des quotidiens privés du Burkina Faso, à son tour, croit savoir qu’il s’agit d’«une démission qui ne règle rien».

Le journal fait observer que «tel un boxeur groggy, renvoyé dans les cordes et acculé dans ses derniers retranchements, le locataire du palais d’Al-Mouradia a donc fini par jeter l’éponge».

Il ajoute que cette démission intervient «après un combat de plusieurs semaines contre la rue qui a d’abord manifesté contre le 5e mandat qu’il voulait se taper, avant de dire non à la prolongation du 4e quand il s’est résolu à renoncer à son projet insensé et à reporter la présidentielle initialement prévue pour le 28 avril prochain».

La visite du PM à l’opposition politique en vedette dans la presse burkinabè

Les quotidiens burkinabè commentent largement, ce mardi, la visite rendue la veille par le Premier ministre (PM), Christophe Joseph Marie Dabiré, au Chef de file de l’opposition politique (CFOP).Le quotidien public Sidwaya arbore : «Dialogue politique : L’opposition disposée à aller à la table», informant que le Premier ministre, Christophe Dabiré, a rendu visite au Chef de file de l’opposition politique (CFOP), le lundi 1er avril 2019 à Ouagadougou.

Selon le journal, les échanges avec les responsables politiques de l’opposition ont porté sur diverses questions liées à la vie de la nation et aux préparatifs du dialogue que le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, engagera bientôt avec les acteurs politiques.

C’est à juste titre que le quotidien privé Aujourd’hui au Faso affiche en vitrine : «Dialogue politique-président du Faso-Forces politiques : Le PM prépare le terrain». On voit, à l’appui, le PM Dabiré et le Chef de file de l’opposition politique (CFOP), Zéphirin Diabré, en train de se saluer.

Pour sa part, le journal Le Quotidien reprend à sa Une ces propos de Zéphirin Diabré : «C’est la Première fois qu’un Chef du gouvernement penser utile de se déplacer au niveau du CFOP».

L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, fait observer que c’est une visite pleine de sens de par son symbole que l’opposition a reçue en cette mi-journée du 1er avril 2019, selon les mots de son premier responsable, Zéphirin Diabré.

Le confrère précise qu’«accompagné du ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, Siméon Sawadogo, le chef de l’exécutif a eu environ deux heures d’échanges à huis clos avec une dizaine de chefs et représentants de partis d’opposition».

Il souligne qu’aux côtés du Chef de file, il y avait des têtes d’affiche comme Mamadou Dicko de la Nouvelle alliance du Faso (NAFA) et Jean Hubert Bazié de la Convergence de l’espoir.

Quant à L’Express du Faso, quotidien privé imprimé à Bobo-Dioulasso (2e ville du Burkina Faso), il arbore en première page : «Je suis venu au siège de l’opposition pour dialoguer», citant ainsi, le PM Dabiré.

Le Pays, autre quotidien privé, met en exergue les propos du PM expliquant le motif de sa visite au CFOP en ces termes : «Nous avons échangé sur des questions qui pourraient conduire le Burkina vers des lendemains meilleurs».

La politique en vedette dans les quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè parvenus à APA, ce lundi matin, commentent l’actualité nationale marquée essentiellement par des sujets politiques, notamment des conférences de presse, des rentrées politiques, ainsi que des congrès de certains partis.«Présidentielle 2020 : Gilbert, cornac de l’ADF/RDA», arbore en première page, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso.

Selon ce journal, la présidentielle de 2020 a déjà commencé pour le parti à l’emblème de l’éléphant, l’Alliance pour la démocratie et la fédération/Rassemblement démocratique africain (ADF/RDA) qui vient de rassembler ses troupes à Bobo-Dioulasso.

A lire L’Observateur Paalga, il s’est agi  du 16e congrès ordinaire  et ensuite du choix  de celui qui aura la lourde responsabilité d’aller à la conquête du pouvoir d’Etat sous la bannière de l’ADF/RDA.

Pour sa part, Le Quotidien barre à sa Une : «Présidentielle 2020 au Burkina : Gilbert Ouédraogo investi candidat de l’AFD/RDA», là où Aujourd’hui au Faso affiche : «16e Congrès de l’ADF/RDA à Bobo: Gilbert, porte-étendard à la présidentielle de 2020».

Le journal cité en second lieu, évoque également le rassemblement organisé par le président du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP, ex-parti au pouvoir), Eddie Komboïgo, samedi dernier à Ouagadougou, titrant : «Show de résistance du CDP au stade municipal».

A ce sujet, le quotidien à capitaux publics Sidwaya, mentionne en guise de titre : «Lutte contre le terrorisme : Eddie Komboïgo en mode résistance avec la jeunesse».

Pendant ce temps, Le Pays, autre quotidien privé, parle de la conférence de presse animée par le président du Parti de l’indépendance, du travail et de la justice (PITJ), Soumane Touré, à l’occasion de la rentrée politique de cette formation, samedi dernier à Ouagadougou.

Le confrère reprend les propos du président du PITJ qui estime qu’«il faut introduire une plainte contre les usurpateurs du MPP (Mouvement du peuple pour le progrès, parti présidentielle) à la CPI (cour pénale internationale)».

Reprenant un extrait de la déclaration de Soumane Touré, Le Quotidien plaque : «Il n’y a pas eu de coup d’Etat, le RSP était à sa façon en désobéissance civile contre un régime d’usurpateurs de titres et de fonctions».

De son côté, Sidwaya informe que pour le centenaire du Burkina Faso, «Soumane Touré appelle à un débat patriotique».

Justice et économie au menu de la presse en ligne burkinabè

Les journaux en ligne du Burkina Faso visités samedi par APA offrent des menus variés, mais dominés par l’économie et la justice, notamment avec le procès du coup d’Etat manqué de septembre 2015.«Procès du putsch: Diendéré trahi par la CEDEAO», titre Lefaso.net qui relate que les 25 et 26 septembre 2015, Diendéré avait perdu le soutien de ses amis de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).

«Son épouse Fatou Diendéré l’appelle pour trouver la marche à suivre. Se sentant trahi, il demande à celle-ci de se mettre à l’abri», poursuit le site d’information.

Pour sa part, Burkina24.com fait remarquer que la Cour de justice de la CEDEAO a débouté Djibrill Bassolé le vendredi 29 mars 2019 dans l’affaire des écoutes téléphoniques, ajoutant que «selon cette juridiction, les écoutes ne sont pas irrégulières».

De son côté, l’Agence d’information du Burkina (AIB) rapporte qu’après la réinstallation du gouvernement de la Transition burkinabè le 23 septembre 2015, plusieurs stratégies ont été proposées au général Gilbert Diendéré pour lui permettre de reprendre le pouvoir.

A en croire le confrère, c’est ce que révèlent des éléments sonores diffusés, hier vendredi, au Tribunal militaire de Ouagadougou.

Dans sa rubrique économie, Fasozine.com renseigne que les activités de la Banque agricole du Faso sont officiellement lancées, depuis hier vendredi.

Quant à Burkina 24.com, il renseigne que des commerçants regroupés dans la fédération Somkiéta «construisons le Faso ensemble» ont déploré, au cours d’une conférence de presse animée jeudi dernier à Ouagadougou, une situation économique inquiétante, soulignant qu’«ils (les commerçants) ont pointé du doigt les agents du ministère en charge des finances et des douanes».

A ce propos Lefaso.net affiche : «Fédération Somkiéta: Les agents du MINEFID (ministère de l’Economie, des Finances et du Développement, Ndlr) accusés de +saboter+ l’activité économique».

Pendant ce temps, QueenMafa, un autre journal en ligne, parle des Journées de l’entrepreneuriat féminin, précisant que «plus de 30 entreprises prennent part  à l’exposition».

Colère des commerçants et arrestation de braqueurs au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce vendredi commentent l’actualité marquée par l’arrestation d’une bande de braqueurs à Ouagadougou et la sortie des commerçants qui dénoncent la situation au ministère en charge des Finances.«Les commerçants souffrent de l’incivisme de la douane et des impôts», peut-on lire à la vitrine du quotidien privé Aujourd’hui au Faso qui reprend les propos de El Hadj Lassané Ouédraogo, coordonnateur de la Fédération Somkieta.

 A ce sujet, Le Pays, autre quotidien privé, informe que la fédération Somkiéta «Construisons le Faso ensemble », un regroupement d’acteurs du monde du commerce, a animé, hier jeudi à Ouagadougou, une conférence de presse pour «dénoncer les maux qui minent le secteur du commerce, notamment, la fraude, la concurrence déloyale, la corruption, etc. ».

Le confrère cite à sa une, le coordonnateur de la fédération Somkieta, Lassané Ouédraogo qui affirme qu’«au MINEFID (ministère de l’Economie, des Finances et du Développement, Ndlr), il y a des agents qui travaillent à conduire le pays vers le chaos».

Le journal Le Quotidien va plus loin lorsqu’il affiche la déclaration de M. Ouédraogo, selon laquelle «l’action des financiers est un acte de terrorisme qui ne dit pas son nom».

Le même journal consacre sa une à la présentation par la police, hier jeudi en conférence de presse, d’une bande de bandits spécialisée dans les vols à mains armés dans la ville de Ouagadougou et ses environnants, titrant : «La bande de Joseph Yamdaogo Bonkoungou démantelée». 

A ce propos, le quotidien public Sidwaya arbore : «Lutte contre le grand banditisme : Un ancien rebelle et ses acolytes au +trou+», montrant une photo des quatre présumés délinquants.

A son tour, L’Observateur Paalga, le plus ancien des quotidiens privés du Burkina Faso, parle de «Lutte contre l’insécurité : Des membres d’une bande atypique au frais». 

Selon Sidwaya, l’officier de police qui a animé la conférence de presse a fait remarquer que l’enquête est en cours et que les résultats auraient été plus probants, si un activiste sur les réseaux sociaux du nom de Naïm Touré «ne s’était pas précipité pour annoncer la mort du chef de gang…».

C’est à juste titre que Le Pays titre : «Quand Naïm Touré fait foirer les enquêtes de la police», là où Le Quotidien mentionne : «Naïm Touré accusé d’avoir entravé l’enquête».

Centenaire du Burkina et cinquantenaire du FESPACO au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce vendredi évoquent l’actualité nationale marquée par le cinquantenaire du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) qui se tient actuellement, sans oublier, la commémoration ce jour, du centenaire du Burkina Faso.«Il y a 100 ans … naissait la Haute-Volta (ancienne appellation du Burkina Faso)»,  plaque à sa une, L’Observateur Paalga, le plus ancien des quotidiens privés du Burkina Faso.

Ce journal fait observer que ce 1er mars 2019, cela fait exactement 100 ans, jour pour jour, que le territoire de Haute-Volta a officiellement vu le jour.

A ce sujet, le quotidien à capitaux publics Sidwaya, sous le titre «Centenaire du Burkina Faso: Une si longue marche», affirme que «de la conquête coloniale à sa création, en passant par l’accession à l’indépendance, la marche vers la construction de la Nation burkinabè a été parsemée d’embuches».

L’éditorialiste de Sidwaya fait remarquer qu’en revisitant l’histoire du Burkina Faso, de grandes dates, de grands noms parsèment son évolution.

«Il y a certes, celle de 1898, le premier contact avec l’homme blanc, la France. Mais aussi celle de 1915-1916, en pleine première guerre mondiale où quelque part dans ce territoire rattaché à la colonie du Haut Sénégal Niger, des populations du Bani, rudimentairement armés, mettent en déroute près de 800 militaires de la colonie…», rappelle le commentateur.

Le Pays, autre quotidien privé, dans son « Spécial FESPACO », publie une interview du cinéaste burkinabè Gaston Kaboré, lauréat de l’Etalon d’or de Yennenga en 1997 avec son film « Buud Yam ».

Cet homme de cinéma, formateur, rencontré à la faveur de la 26e édition du FESPACO correspondant au cinquantenaire du festival, affirme que «plus nous auront éduqués à l’image, mieux cela servira la cause du cinéma»

Evoquant le cinquantenaire du FESPACO, Sidwaya informe que la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) offre «15 millions de F CFA pour le meilleur film de l’intégration ouest-africaine».

Pour sa part,  L’Observateur Paalga évoque le prix spécial Félix Houphouet Boigny du Conseil de l’entente, se demandant : «Après Philippe Lacôte, Apolline Traoré, à qui le tour ?».

Faits sociaux et cinéma se disputent la Une des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce jeudi abordent essentiellement, le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) dont le cinquantenaire se tient actuellement, sans oublier des faits de société.«Femmes nettoyeuses dans les services publics et privés : quand la galère le dispute aux agressions», affiche le quotidien privé Le Pays qui propose un reportage sur «des femmes excédées par leurs conditions de travail difficiles qui crient à l’aide».

Selon le journal, ces femmes nettoyeuses sont payées à des salaires dérisoires qu’elles ont bien souvent, de la peine à percevoir.

«Obligées de se lever à des heures indues pour être à leurs postes, ces braves dames sont exposées à toutes sortes d’agressions (vols, viols, etc.) et de maladies », fait remarquer Le Pays.

Pour sa part, Sidwaya, le quotidien à capitaux publics, consacre sa une au marché «sous-sol » à Bobo-Dioulasso (capitale économique du Burkina Faso), mettant en exergue «la nouvelle vie des femmes de l’ex-+léguémalogo+ (marché de légumes, en langue nationale dioula, Ndlr)».

Pendant ce temps, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, parle du «bras de fer entre le maire et le président du comité de gestion» du marché central de Bobo-Dioulasso.

Le même journal évoque la 26e édition du FESPACO, en faisant un zoom sur la Maison du Peuple de Ouagadougou, «cette rue marchande où les affaires ne … marchent pas vraiment».

De son côté, Aujourd’hui au Faso, autre quotidien privé, informe que dans le domaine de la créativité artistique, le FESPACO a reçu, hier mercredi, le prix international Miriam Makeba, remis par l’Algérie.

A ce sujet, Sidwaya précise que le prix Miriam Makeba a été créé en 2017 à Alger à l’occasion du Forum des créateurs africains et est doté d’un montant de de près de 58 millions de francs CFA (100 mille dollars).

Quant au journal Le Quotidien, il publie une interview du réalisateur sénégalais Alain Gomis, promoteur du Centre Yennega.

L’interviewé déclare que «le Centre Yennega se propose d’accompagner les jeunes cinéastes, hommes et hommes, vers l’insertion professionnelle».

Faits divers, cinéma et politique à la une des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce mercredi traitent de l’actualité nationale marquée par le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) qui est en cours et la conférence de presse, animée, la veille, par l’opposition politique, sans oublier des faits divers.Dans sa rubrique « On murmure », le quotidien à capitaux publics Sidwaya parle d’un «mystérieux incendie à Koubouté (village situé dans la région du centre-sud)».

Selon le journal, les faits se sont passés dans cette localité située dans la commune rurale de Ziou, à 60 kilomètres à l’Est de Pô, où «le samedi 23 février dernier, un incendie bizarre s’est déclenchée dans la concession de la famille Ouéna».

A en croire l’auteur de l’article, le mystère de cet incendie réside dans le fait que, durant trois jours, le feu se rallume dans des ménages de la  même concession chaque fois que les habitants parviennent à le maîtriser.

«La situation parait d’autant plus mystique qu’il n’y a pas d’électricité dans la concession et que les autres maisons sont à au moins 500 mètres de celle concernée», rapporte Sidwaya.

Le même journal renseigne que le magasin de la librairie DIACFA, situé côté Sud du grand marché de Ouagadougou, a pris feu le mardi 26 février 2019 aux environs de 9 heures 30 minutes, précisant que le bilan provisoire fait était de deux blessés légers et d’importants dégâts matériels.

Le sujet constitue la Une de L’Express du Faso, quotidien imprimé à Bobo-Dioulasso, sous le titre : «Incendie du magasin DIACFA librairie : On a eu peur d’un autre mardi noir à ‘’Rood-wooko » (autre appellation du grand marché de Ouagadougou, Ndlr)».

De son côté, L’Observateur Paalga, le plus ancien des quotidiens privés du Burkina Faso, titre : «Rood-Wooko : Un incendie dans un magasin de la DIACFA», avant de faire remarquer que la scène observée hier «n’est pas sans rappeler l’incendie qui a ravagé le marché le 27 mai 2003».

Sur un autre chapitre, L’Observateur Paalga relate que la 26e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) bat son plein.

Le confrère souligne que «cependant, quatre jours après le début du festival, des plaintes des festivaliers tournent en boucle », ajoutant que «la plus grande difficulté de cette édition reste le voyage des cinéastes».

Pour sa part, Le Pays, autre quotidien privé, publie le programme du jour dans les salles de cinéma. Le journal indique qu’à propos de la rue marchande du FESPACO, «les clients se font attendre».

Pendant ce temps, Sidwaya rapporte qu’à la rue marchande de la maison du Peuple, il y a «de l’affluence, mais des vendeurs (sont) inquiets».

En politique, L’Observateur Paalga informe que lors de sa traditionnelle conférence de presse, l’opposition politique a demandé, hier mardi, des comptes au président Roch Marc Christian Kaboré, concernant certaines déclarations que celui-ci a faites, la semaine dernière en Allemagne au cours d’un entretien en marge d’une visite de travail et d’amitié à Berlin.

A ce propos, le journal Le Quotidien plaque à sa une ces propos de l’opposant, Alphonse Marie Ouédraogo : «Si le président Kaboré sait qui nous attaque, qu’il envoie le chercher, afin qu’il soit jugé, pour que les attaques cessent».

Justice, culture et politique au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè parvenus à APA ce mardi matin traitent de l’actualité nationale et internationale, marquée respectivement par le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) et les résultats provisoires de la présidentielle au Sénégal, sans oublier d’évoquer le procès du putsch manqué de septembre 2015.Le journal Le Quotidien rapporte que l’audition du général Pingrenoma Zagré (témoin), s’est poursuivie hier lundi devant la chambre de jugement du tribunal militaire de Ouagadougou, soulignant que «l’ancien Chef d’Etat-major général des armées (CEMGA) a réitéré que la hiérarchie  militaire n’a jamais approuvé le coup d’Etat ».

Le confrère reprend en première page, ces propos du général Zagré : «Je n’avais aucune autorité sur le RSP (défunt Régiment de sécurité présidentielle, Ndlr)».

 Quant à Sidwaya, le quotidien à capitaux publics, il cite le général Pingrénoma Zagré qui dit : «Que Diendéré (Gilbert, présumé cerveau du putsch, Ndlr) assume ses actes !».

Comme pour riposter à cette déclaration, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, reprend les propos du général Gilbert Diendéré, adressés à l’ancien CEMGA : «J’assume mes responsabilités, assumez aussi les vôtres».

De son côté, Aujourd’hui au Faso, autre quotidien privé, rapporte l’affirmation de Me Prosper Farama, avocat de la partie civile qui s’adresse au général Diendéré en ces termes : «Vous jouez comme Messi, quand on vous attend à gauche, vous partez à droite».

Le même journal, évoquant la 26e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO)  qui se déroule actuellement dans la capitale burkinabè, affiche: «Cinquantenaire du FESPACO: Colloque mémoriel et avenir des cinémas».

Pendant ce temps, Sidwaya fait remarquer à sa une qu’à l’occasion de la semaine de la Biennale,  le «Wifi (est) gratuit sur l’Avenue Kwame N’Krumah (plus belle avenue de Ouagadougou, Ndlr)».

Au même moment, L’Observateur Paalga consacre sa une aux «lauréats de l’Etalon d’or de Yennega», mentionnant : «+Buud yam+ de Gaston Kaboré, le premier Burkinabè».

Dans son « Regard sur l’actualité », L’Observateur Paalga parle des résultats provisoires de la présidentielle au Sénégal,  faisant observer la «déplorable guerre des chiffres».

A ce sujet, Sidwaya, à travers son « Trait de plume » se demande : «Macky Sall (président sortant) en ballotage ?», tandis que Le Pays, dans son « Dialogue intérieur », estime qu’il faut «éviter à tout prix une crise postélectorale».

L’éditorialiste du journal cité en second lieu pose cette interrogation: «Va-t-on vers un contentieux électoral au Sénégal ?», avant de relever que « quelque 48 heures après la fermeture des bureaux de vote, le débat enfle à Dakar pour savoir qui de Macky Sall, Idrissa Seck, Madiké Niang, Ousmane Soko et Issa Sall sera le prochain président du Sénégal».

Selon Le Pays, «il revient à la commission électorale  de travailler à la transparence des résultats».

Riposte contre le terrorisme et FESPACO au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè évoquent largement, ce lundi, l’ouverture du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO), sans oublier la riposte des Forces armées nationales contre le terrorisme à l’Est du pays.«Destruction base terroriste à l’Est : L’armée exhibe ses prises de guerre», arbore en première page, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, montrant la photo des armes et matériels saisis.

Ce journal relate que hier, dimanche 24 février 2019, l’état-major a exposé à Fada (ville capitale de la région de l’Est du Burkina) des prises de guerre à la suite d’opérations menées par les forces aériennes et terrestres les 19 et 20 février 2019 à Kompienbiga, Kabonga et dans la zone du campement présidentiel.

«Au total, 29 de ces fameux +individus armés non identifiés+ qui s’étaient rendus maîtres de la forêt ont été mis hors d’état de nuire», écrit L’Observateur qui fait observer aussi que «depuis que les hélicoptères ont commencé à planer sur le front, ça… monte en puissance pour l’armée burkinabè».

A ce sujet, le quotidien à capitaux publics Sidwaya titre : «Sécurisation de la région de l’Est : 29 terroriste abattus, des armes saisies», là où le quotidien privé Le Pays se contente de mentionner : «Région de l’Est : 29 terroristes tués». 

Evoquant la 26e édition du FESPACO, ouverte samedi, Sidwaya s’exclame : «FESPACO 2019 : Ca tourne !».

L’Express du Faso, quotidien privé imprimé à Bobo-Dioulasso (capitale économique du Burkina Faso), propose la même exclamation lorsqu’il met en exergue: «FESPACO 2018: Silence, ça tourne pour la 26e édition !». 

Quant à Le Pays, il fait remarquer que «la 26e édition (du FESPACO) a été lancée sous haute surveillance» !», montrant la photo du président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, en train de donner le clap d’ouverture.

Selon ce journal, la cérémonie d’ouverture de la 26e édition du FESPACO coïncidant avec le cinquantenaire de la biennale, a eu lieu le 23 février 2019 dans la cuvette du stade municipal Issoufou Joseph Conombo de Ouagadougou. 

De son côté, le journal privé Le Quotidien laisse lire : «C’est parti pour le cinquantenaire».

Pen ce temps, Aujourd’hui au Faso, autre quotidien privé, barre à sa Une : «Cinquantenaire de la biennale: Ne y taabo ! (soyez la bienvenue, en langue nationale mooré)». 

La presse en ligne burkinabè à fond sur le FESPACO

La presse en ligne burkinabè, visitée par APA samedi, se focalise sur l’actualité nationale marquée essentiellement par la 26e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO), dont l’ouverture est prévue cet après-midi.«FESPACO à Bobo: Le Ciné Guimbi accueillera le cinquantenaire», titre Burkina24.com, informant que l’annonce a été faite à Paris au siège de l’UNESCO lors de la conférence de presse internationale du FESPACO le 15 janvier 2019 au grand bonheur du public.

«Bien que pas complètement terminé, le Ciné Guimbi accueillera le Fespaco à Bobo, rassure Berni Goldblat, et ce, du 7 au 10 mars 2019 », précise le média en lignbe.

Pour sa part, Lefaso.net renseigne que la traditionnelle messe d’ouverture du FESPACO aura lieu le dimanche 24 février à 9H00 dans la Cathédrale de Ouagadougou.

«L’Eucharistie sera présidée par Mgr Janvier Marie Gustave YAMEOGO, prélat burkinabè travaillant au Dicastère de la Communication du Vatican », écrit le confrère, avant d’ajouter que «tous les festivaliers et spécialement les artistes et réalisateurs, communicateurs et hommes de la culture du 7ème art y sont conviés».

Quant à Fasozine.com, il annonce que «le mythique groupe ivoirien Magic System» sera la grande attraction de la 26e édition du FESPACO.

«Outre Magic System, d’autres comédiens ivoiriens tels qu’Isaac de Bankolé et Sidiki Bakaba sont également annoncés pour la cérémonie d’ouverture le samedi 23 février prochain au stade municipal de Ouagadougou», fait remarquer ce média en ligne.

De son côté, Wakat Séra.com relate que le président de la Commission sécurité pour le cinquantenaire du FESPACO, le commissaire divisionnaire de police, Joseph Toni, à travers une note, a invité les milliers de festivaliers attendus à «respecter scrupuleusement les consignes sécuritaires».

Selon le confrère, les responsables de la sécurité du FESPACO 2019 ont surtout invité les populations à éviter de porter des «armes à feu, des objets tranchants, contondants ou tous autres objets dangereux» pour un cinquantenaire de la biennale du cinéma panafricain, réussi.

Cinéma et coopération au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce vendredi abordent, entre autres sujets, ceux liés à la coopération, sans oublier le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO), dont l’ouverture de la 26e édition est prévue pour demain samedi.«FESPACO 2019 : 3 films burkinabè convoitent l’Etalon d’or», titre le quotidiens à capitaux publics Sidwaya, informant que trois grands réalisateurs burkinabè sont parmi une vingtaine pour l’Etalon d’or de Yennenga.

Selon le journal, il s’agit d’Apolline Traoré, d’Issiaka Konaté et d’Abdoulaye Dao pour leur long métrages respectivement intitulés « Desrances », « Hakilitan (Mémoire en fuite) » et « Duga (Les charognard ».

Pour sa part, L’Observateur Paalga, le plus ancien des quotidiens privés du Burkina Faso, affiche : «26e édition du FESPACO : Les projecteurs sur un quinquagénaire».

Le journal rapporte que «demain 23 février 2019, et ce, jusqu’au 2 mars prochain, la capitale burkinabè accueille pour la 26e fois en cinquante ans le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO)».

Et de rappeler que cette édition de la biennale a pour thème : «Confronter notre mémoire et forger l’avenir d’un cinéma panafricain dans son essence, son économie et sa diversité».

De son côté, Le Pays, autre quotidien privé, arbore à sa Une: «FESPACO : En attendant le clap de départ», avant de faire observer que «cinquante ans après, les défis restent entiers».

Pendant ce temps, Aujourd’hui au Faso, autre quotidien privé, se pose cette question : « Cinquantenaire du FESPACO : Quel Burkinabè pour suivre les pas du Maestro (surnom du réalisateur burkinabè, feu Idrissa Ouédraogo, Ndlr) ?».

Le même journal fait cas d’une lettre de félicitations du Premier ministre français au chef du gouvernement burkinabè, Christophe Dabiré.

Dans le volet coopération, Sidwaya revient sur la rencontre entre la chancelière allemande Angela Merkel et le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, hier jeudi à Berlin, mentionnant que «l’Allemagne réitère sa volonté d’appuyer le Burkina et le G5 Sahel»

Politique, justice et faits de société au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè évoquent ce jeudi, l’actualité nationale marquée par le procès du coup d’Etat manqué de septembre 2015, sans oublier des faits de société et la politique.«Visite du président du Faso en Allemagne : Roch Marc Kaboré reçu par le président fédéral», titre le quotidien à capitaux publics Sidwaya qui renseigne que le chef de l’Etat burkinabè a entamé, hier mercredi 20 février 2019, une visite de travail en Allemagne.  

«C’est à 14 heures 15 mn GMT, 15 heures 15 mn (heure locale) que le président Kaboré et la délégation qui l’accompagne ont atterri à l’aéroport militaire Tegel de Berlin. Peu après, il a regagné son hôtel, avant de rendre visite au président fédéral allemand, Dr Frank Walter Steinmeier», relate le journal avant d’ajouter que rien n’a filtré du tête-à-tête entre les deux personnalités.

Pour sa part, le journal privé Le Pays évoque la visite du  représentant des Nations unies pour l’Afrique de l’Ouest, Mohamed Ibn Chambas, au siège du Chef de file de l’opposition politique (CFOP), hier mercredi, précisant que «la situation sécuritaire et la présidentielle de 2020 (était) au menu des échanges».

Quant au journal Le Quotidien, il consacre sa manchette à un fait de société, à savoir l’affrontement entre populations à Karangasso (Ouest), suite à la localisation du conseil municipal de la localité. Le confrère parle d’un mort et de plusieurs motos incendiées.

De son côté, Sidwaya évoque les préparatifs du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO), faisant remarquer que plus de 2000 éléments sont mobilisés pour la sécurité.

Revenant sur le procès du putsch manqué, Le Quotidien reprend les propos du général Honoré Traoré (Témoin) qui a déclaré, hier ceci à la barre: «Le général Diendéré voulait que le coup d’Etat soit porté par toute l’armée et non uniquement par le RSP (ex-Régiment de sécurité présidentielle, Ndlr)».

Parlant du procès, Sidwaya affiche : «Tirs groupé sur le général Diendéré», là où Aujourd’hui au Faso plaque : «Aucun texte ne nous permettait d’arrêter Diendéré», reprenant les propos du général Traoré.

Le Premier ministre Dabiré monopolise la Une des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè commentent largement, ce mardi, la Déclaration de politique générale (DPG) du Premier ministre (PM) Christophe Marie Joseph Dabiré, prononcée la veille devant les députés de l’Assemblée nationale.Le quotidien à capitaux publics Sidwaya titre en première page : «Assemblée nationale: Christophe Dabiré Investit Premier ministre», rappelant que le nouveau PM était hier lundi 18 février 2019, devant l’Assemblée nationale pour décliner les grandes lignes de la politique générale de son gouvernement.

«Promu à la tête de l’exécutif burkinabè au moment où le pays fait face à de multiples défis, le nouveau Premier ministre, Christophe Joseph Marie Dabiré, a désormais l’onction des députés », rapporte Sidwaya, avant de préciser qu’«avec un vote de 84 voix pour, 19 contre et 23 abstentions, sa Déclaration de sa politique générale a reçu l’aval du Parlement». 

Le même journal consacre son commentaire hebdomadaire ‘’Trait de plume » à ce sujet, sous le titre : «Jette-lui la pierre si…».

 «Premier ministre à l’Assemblée nationale : Une Déclaration de politique générale sous forte émotion», arbore pour sa part, L’Express du Faso, quotidien privé imprimé à Bobo-Dioulasso.

L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés burkinabè fait observer que le tout-nouveau Premier ministre n’a pu retenir ses larmes alors qu’il était quasiment à la fin de sa déclaration de politique générale. 

«Malgré la forte émotion qui le tenait à la gorge et aux yeux, le nouveau PM tenait à aller jusqu’au bout de sa lecture. Péniblement. Il a fallu que le président de l’Assemblée nationale, Alassane Bala Sakandé, lui suggère de marquer une pause pour mettre fin à son supplice », relate L’Observateur Paalga.   

Pour le commentateur, «Ça aura été finalement l’événement ! », soulignant qu’«après les larmes, place à la sueur».

L’éditorialiste de Aujourd’hui au Faso, autre quotidien privé, abonde dans le même sens lorsqu’il mentionne en guise de titre : «Plus que des larmes et des mots, il faut des armes contre les maux». 

De son côté, le journal privé Le Quotidien se demande : «Que cachent les larmes du vieux Dagara (Ethnie du PM, Ndlr)?», publiant aussi la réaction de quelques députés à l’issue de la DPG de Christophe Dabiré.

Le journal Le Pays, après avoir souligné que «Christophe Dabiré obtient l’onction des députés», évoque les larmes du nouveau chef du gouvernement burkinabè, à travers cette interrogation : «Emotion ou coup de barre ?».

Ouédraogo et les femmes à l’honneur dans les journaux burkinabè

Les quotidiens burkinabè évoquent, ce lundi, le forum national sur l’autonomisation et la responsabilisation de la femme qui vient de refermer ses portes à Ouagadougou, sans oublier de commenter largement la candidature de Kadré Désiré Ouédraogo (KDO) à la présidentielle de 2020.L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso mentionne en première page : «Présidentielle 2020 : le +oui+ retentissant de KDO».

«KDO candidat déclaré de la présidentielle de 2020 au Burkina : Une candidature, plusieurs interrogations», tel est le titre de l’éditorial du journal privé Le Quotidien qui fait remarquer que le week-end écoulé a été politiquement mouvementé du côté de Bobo-Dioulasso (2e capitale du Burkina).

Selon le confrère, il y a eu, entre autres, «les tournées de Kadré Désiré Ouédraogo (KDO) pour rencontrer les autorités coutumières et religieuses, mais surtout de l’annonce de sa candidature pour l’élection présidentielle de 2020, l’appel de certains jeunes pour le retour et la candidature de Zida…».

Pour sa part, Aujourd’hui au Faso arbore : «Présidentielle 2020 : Kadré confirme son ambition kosyamienne (adjectif venant de Kosyam, le palais présidentiel du Burkina, Ndlr) à Bobo-Dioulasso».

Le même journal, dans son éditorial, se demande s’il s’agit d’une candidature indépendante, d’une candidature du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP, ex-parti au pouvoir) ou autre ?

Quant au quotidien à capitaux publics Sidwaya, il rapporte que c’est à l’issue de l’Assemblée générale du groupe d’initiative «KDO 2020» et du mouvement «KDO 2020», tenue samedi dernier à Bobo-Dioulasso, que l’ancien Premier ministre de Blaise Compaoré, a annoncé sa candidature à la présidentielle de 2020 au Burkina Faso.

Pendant ce temps, Le Pays, autre quotidien privé, publie un point de vue dans lequel l’auteur (Koffi Koffi N’Dri, journaliste) estime qu’avec l’annonce de la candidature de KDO, «le CDP va à la déroute».

Le même journal évoque le forum national sur l’autonomisation et la responsabilisation de la femme qui s’est tenu du 15 au 17 février à Ouagadougou, et qui a regroupé des représentantes des 45 provinces du Burkina.

Le confrère rapporte les propos du Président de l’Assemblée nationale Alassane Bala Sakandé, patron de la manifestation, qui déclare : «l’autonomisation totale de la femme, j’en fait un sacerdoce».

L’Observateur Paalga abonde dans le même sens lorsqu’il cite le PAN qui dit : «Ma réputation m’est chère, mais la cause de la femme m’est encore plus chère».

A ce propos Sidwaya met en exergue : «Forum sur l’autonomisation des femmes : des engagements +forts+».

Justice et politique à la Une de la presse en ligne burkinabè

Les médias en ligne burkinabè visités par APA, ce samedi, évoquent des sujets essentiellement liés à la politique, sans oublier la justice marquée par le procès du putsch manqué de septembre 2015.«Putsch CND: +Les Chefs militaires à l’aéroport pour présenter une bonne image du Burkina+», affiche Burkina24.com, citant le Chef d’Etat-Major général des armées adjoint au moment des faits (coup d’Etat manqué), le colonel-major Naba Théodore Palé, à la barre du Tribunal militaire ce vendredi 15 février 2019.  

Selon le confrère, de son témoignage, l’on retient que, contrairement aux affirmations du général Gilbert Diendéré, la hiérarchie militaire a refusé de soutenir le putsch perpétré par le Conseil national pour la démocratie (CND).

Pour sa part, Wakatsera.com rapporte qu’au deuxième jour de son passage à la barre du tribunal militaire, hier vendredi, en tant que témoin, dans le cadre du jugement du putsch manqué de 16 septembre 2015, le colonel-major Naba Théodore Palé, Chef d’état-major général des armées (CEMGA) adjoint à l’époque des faits, a fait savoir qu’il n’a «jamais eu peur du général Gilbert Diendéré». 

A son tour, Lefaso.net, autre site d’information, renchérit lorsqu’il relate que  le Colonel-major Palé, a affirmé vendredi que «le RSP (Régiment de sécurité présidentielle, Ndlr) était un mythe, mais tout le monde ne le craignait pas. 

«+Je n’ai jamais craint le général Diendéré+, a déclaré le témoin, tout en se tournant pour regarder l’accusé, qui était à sa droite », écrit Lefaso.net.

En politique, le même journal en ligne informe que le parti au pouvoir, le Mouvement du peuple pour le progrès (MPP) marque une halte sur ses cinq ans d’existence, à travers une conférence de presse, donnée  vendredi au siège national du parti à Ouagadougou.

A ce sujet, Fasozine.com mentionne en guise de titre : «5e anniversaire du MPP: +Le soleil levant (surnom pour désigner le MPP)+ a le regard tourné vers 2020…».

De son côté, Burkina24.com fait remarquer que «les premiers responsables du MPP  invitent le gouvernement à continuer d’+atténuer la dureté de la vie dans les campagnes, dans les villes+ en mettant l’homme au cœur de ses interventions sur le chemin de la création de richesses à distribuer».

Kadré Ouédraogo et Abdoulaye Wade s’offrent la une des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè évoquent, ce vendredi, des sujets essentiellement liés à la politique dont l’appel de l’ex-président sénégalais Abdoulaye Wade à la violence électorale dans son pays, sans oublier la probable candidature de Kadré Désiré Ouédraogo à la présidentielle de 2020 au Burkina Faso.L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, dans sa « Lettre pour Laye » aborde la probable candidature de Kadré Désiré Ouédraogo (KDO) à la prochaine élection présidentielle, sous le titre interrogatif: «KDO va-t-il dire oui à Bobo ?».

Selon le journal, l’ancien Premier ministre, ancien vice-gouverneur de la BCEAO et ancien président de la commission de CEDEAO, Kadré Désiré Ouédraogo (KDO pour les intimes), est «dans la ville de Sya (autre appellation de Bobo-Dioulasso).

Et d’ajouter qu’«il (KDO) devrait répondre favorablement à l’appel de certains citoyens qui le supplient d’être candidat (à la présidentielle en 2020) au compte du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP, ex-parti au pouvoir)».

Le sujet est évoqué dans « Les news du VDS (vendredi-samedi-dimanche) » de Aujourd’hui au Faso, autre quotidien privé, qui se pose cette question : «Kadré Désiré ôtera-t-il son masque ce week-end à Bobo ?».

Pour sa part, Le Pays informe qu’à Bobo, «une activité de Kadré Désiré Ouédraogo crée la polémique au sein du CDP».

Le même journal privé renseigne que Président de l’Assemblée nationale (PAN) Alassane Bala Sakandé était hier jeudi aux siège de l’UPC (Union pour le progrès et le changement, opposition) et du CDP.

A ce propos, le journal Le Quotidien affiche, en première page : «Visite du président de l’Assemblée nationale aux siège de l’UPC  et du CDP : Alassane Sakandé annonce l’érection d’un nouveau siège du CFOP (Chef de file de l’opposition politique)».

Quant au quotidien à capitaux publics, il parle de «Dialogue républicain», soulignant que «le PAN et le président de l’UPC, Zéphirin Diabré, ont évoqué au cours de leur entretien, le travail abattu par les parlementaires de tous bords».

En politique étrangère, les journaux burkinabè se sont intéressés à la présidentielle sénégalaise, notamment, la sortie de l’ex-président Abdoulaye Wade, appelant ses concitoyens à perturber le processus électoral en s’attaquant aux matériels de vote.

Ainsi, dans sa « Grille de lecture », L’Observateur Paalga s’exclame ! «Wade menace de brûler les bureaux de vote : un ex (président) ne devrait pas dire ça !».

De son côté, Aujourd’hui au Faso estime que cet appel de l’ex-président à la violence électorale «déshonore la vieillesse», précisant que «le comportement d’Abdoulaye Wade n’est digne ni d’un ancien chef d’Etat, ni d’un homme qui se dit attaché à la démocratie».

L’éditorialiste de Aujourd’hui au Faso, à son tour, parle de «la lubie de trop de Gorgui (surnom donné à Abdoulaye Wade)».

«Macky Sall n’est pas irréprochable. Le processus électoral sénégalais n’est pas exempt de reproche. C’est certain. Il y a des choses à améliorer », fait observer le commentateur, avant de s’interroger : «Mais faut-il pour cela, imaginer un scénario nihiliste ?».

La réponse est «évidemment non !» s’exclame le confrère non sans ajouter que «c’est pourtant ce que l’ancien président sénégalais Abdoulaye Wade a fait, lors du comité directeur du Parti démocratique sénégalais, le jeudi 13 février».

 

Saint Valentin et politique au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce jeudi évoquent des sujets liés à la politique, sans oublier les festivités de la Saint Valentin (considérée comme la fête des amoureux), ce jour 14 février.Le quotidien à capitaux publics Sidwaya titre à sa une : «Saint Valentin : l’exaltation de l’amour sur fonds de commerce», soulignant que chaque année « ce rendez-vous (14 février), communément présenté comme la fête des amoureux, est toujours marqué dans les étals des commerçants où les bibelots dédiés à l’amour ne manquent pas».

«Saint Valentin: L’amour à l’épreuve de la morosité économique», affiche, pour sa part, le journal privé Le Pays qui fait observer qu’au Burkina Faso, les citoyens ont des opinions divergentes quant à la façon de célébrer cette fête dite des amoureux.

«Si certaines personnes considèrent cette fête comme une preuve d’amour pendant laquelle il faut impérativement donner un cadeau à son  amoureux ou à son amoureuse, d’autres pensent le contraire», écrit le journal.

De son côté, le journal privé Le Quotidien fait un zoom sur «le couple Zoro (dont l’épouse vit avec un handicap physique), un exemple loin des fleurs et de l’argent»

En politique, le même journal reprend à sa Une,  ces propos du président de l’Union pour le progrès et le changement (UPC, opposition), Zéphirin Diabré : «le Burkina est devenu le maillon faible et cela est dû au régime actuel, qui en 3 ans, l’a mis à terre».

Comme pour répondre à cette déclaration, Le Pays arbore les propos de l’homme politique François Tambi Kaboré, président du Parti du peuple républicain (PPR, majorité présentielle) qui soutient que pour la présidentielle de 2020, «Zéphirin Diabré n’est pas essayable».

De son côté, Sidwaya informe que pour sa Déclaration de politique générale (DPG), le nouveau Premier ministre (PM) burkinabè Christophe Joseph Marie Dabiré sera face aux députés lundi prochain.

A ce sujet, Aujourd’hui au Faso mentionne : «DPG de Christoph Dabiré : Ce sera le 18 février à l’hémicycle».

Agriculture, politique et justice au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè commentent, ce mardi, l’actualité relative à la justice, notamment le procès du putsch manqué de septembre 2015 et la Journée mondiale des légumineuses, célébrée, la veille.«Journée mondiale des légumineuses: Renforcer les sources de revenus des ménages ruraux », arbore à la une Sidwaya, quotidien à capitaux publics.

Selon le journal, le Burkina Faso, à l’instar des autres pays du monde entier, a célébré en différé, la Journée mondiale des légumineuses sous le thème «Des légumineuses pour renforcer les sources de revenus et les moyens d’existence des ménages ruraux». La cérémonie s’est déroulée dans la commune rurale de Méguet dans la région du Plateau central.

A son tour, Aujourd’hui au Faso, quotidien privé, affiche : «Journée mondiale des légumineuses: un tremplin de lutte contre la faim».

Le même journal, évoquant la crise au sein de la Garde de sécurité pénitentiaire (GSP), informe que le syndicat suspend son débrayage pour un mois.

Quant au journal privé Le Quotidien, il consacre sa manchette au procès du coup d’Etat manqué de septembre 2015 et il reprend à ce propos cette déclaration en tant que témoin de l’ex-Directeur général de la police nationale Lazare Tarpaga : «Des militaires à motos ont tiré à balle réelles sur des manifestants, qu’ils assument la responsabilité de leurs actes».

De son côté, Sidwaya rapporte ces propos de l’ex-président de l’Autorité de régulation de la communication électronique et des postes (ARCEP), Mathurin Bako : «J’ai été contraint de collaborer».

Dans sa rubrique ‘’Mardi politique », Le Pays, autre quotidien privé, donne la parole au député Tahirou Barry, ex-ministre de la Culture, démissionnaire, qui dit : «Je me demande bien si ce gouvernement pourra sortir du piège de l’immobilisme».