Miss Sénégal 2020 : le collectif « Defagoy » interpelle le gouvernement

Le collectif composé de femmes juristes demande au gouvernement  de prendre en main l’organisation concours miss Sénégal. Cette interpellation fait suite à la série de révélations et de faits liés au scandale sexuel impliquant le comité d’organisation.

Les réactions se poursuivent au sujet du scandale sexuel miss Sénégal 2020. Les révélations de Fatima Dione et la réplique de la présidente du comité d’organisation suscitent les prises de positions diverses. Ces femmes dans un communique condamne « l’apologie de viol » faite par Amina Badiane.

« Le Collectif « Defadoy » condamne fermement ces propos discourtois et dégradants, émanant d’une femme, de surcroit (…) les révélations effarantes laissant paraître l’existence d’un réseau de proxénétisme au sein du concours, font froid dans le dos », ont-elles clamé.

De ce fait, Les membres du collectif demandent « une enquête approfondie » pour tirer les faits au clair. Par la même occasion, elles interpellent les membres du gouvernement. Il s’agit  du ministère de la Femme, de la Famille, du Genre et de la Protection des enfants. Ces femmes engagées demandent au ministère de la culture de s’occuper de l’organisation de ce concours, a relayé Rewmi.com.

D’autre part, elles appellent les organisations de la société  à la mobilisation afin que des actions concrètes soient menées. Ces actions serviront « pour une application effective de la loi et l’éradication du viol dans la société sénégalaise ». Ainsi a conclu le collectif.

Miss Sénégal 2020 : Amina Badiane saisit la justice

La présidente du comité d’organisation du concours de beauté Miss Sénégal dépose une plainte e 22 novembre 2021. Amina Badiane va saisir la justice pour « dénonciation calomnieuse » dans l’affaire du viol de Fatima Dione.

C’est un nouveau rebondissement dans l’affaire du viol présumé de Fatima Dione, miss Sénégal 2020. La présidente  du comité d’organisation de ce concours national de beauté va saisir la justice pour « dénonciation calomnieuse, diffamation et mise en danger de la vie d’autrui ». L’information relayée par l’Observateur provient de ses avocats. Amina Badiane fait l’objet des accusations de proxénétisme depuis les diverses révélations de Fatima Dione.

En effet, critiquée dans ses réactions de faire l’apologie du viol, l’ancien mannequin avait réagi dans une vidéo pour demander pardon. La clameur des soutiens de Fatima Dione sur les réseaux sociaux a amené les féministes à entrer dans la danse. S’exprimant sous l’anonymat dans leurs interventions, elles auraient traité Amina de « proxénète » dans un ton dur. Pour tenter de lui remonter le moral, sa famille lui a exprimé son soutien dans une correspondance.

Ainsi, l’affaire de viol de Fatima Dione miss Sénégal 2021 a embrasé le comité d’organisation depuis la semaine dernière. Les accusations et répliques des deux parties ont entraîné plusieurs  ruptures de partenariat avec le comité incriminé. Cette affaire à rebondissement prend une tournure plutôt judiciaire.

Assemblée Nationale : l’affaire Sonko à l’ordre du jour.

Le bureau de l’Assemblée nationale et la conférence des présidents ont déclenché ce jeudi, la procédure de levée de l’immunité parlementaire d’Ousmane Sonko.
Le juge d’instruction a saisi l’Assemblée nationale à l’initiative du procureur de la République.  En effet, l’étape suivante de la procédure est la mise en place, lundi 15 février, d’une commission ad hoc. Cette commission étudiera le fond de cette requête en entendant le mis en cause, Ousmane Sonko.
Ensuite, Elle devra produire un rapport à présenter, le 17 février, lors d’une séance plénière consacrée à la levée de l’immunité parlementaire du député.
Adji Sarr, une employée d’un salon de beauté et de massage situé à Dakar, a déposé auprès de la section judiciaire de la Gendarmerie une plainte contre le parlementaire et leader Pastef.

La jeune femme déclare avoir été victime de « viols répétés » et de « menaces de mort » dont le député serait l’auteur. Ousmane Sonko est un fonctionnaire des impôts et domaines radié de la fonction publique par Macky Sall, en 2016.

L’affaire Ousmane Sonko a été le point-phare de la réunion du bureau de l’Assemblée nationale. Mais il y avait d’autres sujets au menu. Il s’agit de trois projets de loi : un sur le partenariat-public-privé,  un autre sur l’architecture et la profession d’architecte et enfin le dernier sur les actes administratifs.

« On ne s’était pas réuni que pour ça, on faisait notre travail comme prévu par notre calendrier », déclare Aymérou Gningue.

PASTEF : Ousmane Sonko accusé de viol par une masseuse.

Ousmane Sonko cité dans une affaire de viol.

Une nouvelle étonnante remue la société politique sénégalaise depuis hier. En effet, une professionnelle du massage corporel, accuse Ousmane Sonko d’avoir abusé d’elle.

La plaignante a déposé une plainte à la Section de recherches de la gendarmerie. La dame a été longuement auditionnée hier à la SR de même que sa patronne. Elle a été envoyée chez un spécialiste pour des prélèvements.

« Je n’arrive plus à vivre sous ses viols répétés. Je vis dans un stress permanent et un dégoût de mon corps. Il se présente en qualité de client pour des massages, mais à la fin, il exige toujours des faveurs sexuelles », déclare la plaignante.

Ousmane Sonko a déclaré à la suite de cette accusation fracassante n’avoir reçu aucune convocation. « Je n’ai été informé d’aucune plainte à mon encontre ni par huissier ni par assignation ni par signification ».

S’agit-il d’une fausse accusation contre le patron du PASTEF ou la jeune dame est réellement une victime d’un bourreau sans cœur ? Nous attendons la suite de l’enquête de la gendarmerie pour être situé dans cette affaire qui a coup sure laissera des marques indélébiles sur le PASTEF.     

« Faux prophète » de Kolda : des rebondissements dans l’affaire.

Des nouvelles découvertes qui incriminent encore plus « le faux prophète » de Kolda.

En effet, poursuivi pour pédophilie et détournement de mineure, Baba Malabé Mbackérouhou risque gros, suite à l’examen gynécologique de la fille mineure de quatorze ans.

Mbackérouhou qui niait des relations sexuelles avec la mineure sera poursuivi pour viol. En effet, les résultats de l’examen gynécologique effectués sur la fillette de 14 ans font état de rapports sexuels répétés.

À la vérité, la mineure n’était plus vierge depuis longtemps. Rappelons qu’elle était entre les mains de celui qui s’est autoproclamé prophète à Kolda depuis ses 12 ans. Le faux prophète fera face au procureur du tribunal de Kolda. Il répondra à trois chefs d’accusation qui sont le viol, détournement de mineure et pédophilie.

De plus, le Journal libération révèle qu’une autre fille de 11 ans, victime de mariage forcé a été identifiée et récupérée chez « le marabout », encore un énième rebondissement dans l’affaire du « faux prophète ».

D’après une source, C’est Baba Malabé Mbackerouhou  lui-même, qui aurait scellé le mariage entre cette fille mineure et l’un de ses adeptes . À en croire la même source, Sept autres individus ont été arrêtés dans le cadre de cette sordide affaire. Ils vont répondre des délits de complicité de détournement de mineure et pédophilie.

Une femme accusée à tort de vol, humiliée et victime d’attouchements sexuels à Sacré-Cœur

Une vidéo circule depuis plusieurs heures, mettant en scène des jeunes maltraitant une femme et l’accusant de vol à Sacré-Cœur. La dame qui n’est nullement une voleuse, a été humiliée et victime d’attouchements sexuels.

Le journal Libération renseigne que dame F.N. s’est rendue dans une boutique de prêt-à-porter à Sacré-Cœur, pour faire des achats. Mais elle souffrirait de problèmes mentaux. Et aurait donc piqué une crise brutale sur les lieux.

En effet, après avoir choisi plusieurs articles, elle a fait savoir au gérant qu’elle ne paiera pas. Face à l’insistance de ce dernier, elle a jeté les articles par terre avant de se diriger vers une autre enseigne qui faisait face à la boutique.

Mais elle sera ligotée et conduite à l’arrière-cour par des jeunes dès son arrivée dans cette seconde boutique, sous prétexte qu’elle serait une voleuse qui venait de dévaliser le magasin d’en face.
Alors que ces jeunes filment la scène, la femme sera violentée et humiliée dans l’arrière cour de cette boutique de Sacré-Cœur.
La vidéo de « la femme humiliée à Sacré-Cœur » est devenue virale, suscitant l’indignation sur la toile.
Elle a de plus, fait l’objet d’attouchements sexuels hors caméra.
Ibou T. et Babacar N., les deux présumés bourreaux de F. N, sont passés aux aveux.
Lors de leur audition sur procès-verbal, ils ont reconnu avoir commis des attouchements sexuels sur elle.
La 3e personne, activement recherchée, a presque assouvi tous ses fantasmes sur F. N., rapporte Libération.
F.N est une cadre de la fonction publique qui a séjourné à l’hôpital psychiatrique de Thiaroye suite à des troubles mentaux.

Viol d’une mineure par un pompier: le procureur du Tribunal de Dakar requiert 10 ans de prison pour l’accusé

D. Sow, sapeur-pompier à la retraite a été entendu une fois encore hier devant le tribunal des flagrants délits de Dakar pour viol et pédophilie.

Le délibéré est prévu pour le 15 avril prochain. Le juge suivra-t-il la réquisition du procureur pour 10 ans de prison ferme contre l’accusé? Le pompier à la retraite accusé de viol et pédophilie sera fixé sur son sort le 15 avril. Il a été inculpé pour avoir abusé d’une fille âgée de moins de 13 ans. Selon la victime, le mis en cause l’a violée à plusieurs reprises. A la suite de quoi, elle a contracté une grossesse.

Des accusations que l’homme de 49 ans rejette en bloc, révèle rewmi.com. Devant la barre, il a réaffirmé son innocence «Je ne connais pas la personne qui m’accuse de viol», s’est-il défendu. Le célibataire et père de 3 enfants, estime d’ailleurs qu’il s’agit d’un coup monté par la tante de la fillette.

D’après lui, la tante refuse d’accepter la grossesse de sa nièce et cherche un bouc émissaire. Le mis en cause et chauffeur de camion d’assainissement va par ailleurs révéler qu’il a eu par le passé une dispute avec Astou Camara, la tante de la victime. Et que les accusations portées à son encontre relèvent d’une simple vengeance de sa part.

Après la réquisition du procureur de 10 ans de prison ferme contre M. Sow, les avocats de la défense ont crié au scandale. «La matérialité des faits ne se justifie pas. Dans le dossier, on a fait état de ce que la fille ne jouit pas de toutes des facultés mentales. Il l’appelle Aziz alors que mon client est surnommé Papis. Je condamne avec la dernière énergie ces actes ignobles», indique l’avocat de la défense. Le conseil de l’accusé a également demandé une mise en liberté provisoire de leur client. Requête rejetée par le tribunal pour qui il n’y a pas assez de garanties.