Politique et société au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce mercredi traitent de sujets essentiellement liés à la société et à la politique.Le quotidien national Sidwaya évoque la conférence de presse animée, la veille, par les responsables du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP, au pouvoir) en titrant : «Révision du code électoral: les vérités de Simon Compaoré».

Pour sa part, Le Quotidien reprend les propos du président intérimaire du MPP, Simon Compaoré, qui affirme à propos de la polémique autour de l’adoption du nouveau code électoral, que «l’opposition nous sert un film western de mauvaise qualité».

Pendant ce temps, L’Observateur Paalga, le plus vieux des quotidiens privés du Burkina Faso, arbore en guise de manchette : «Polémique sur le code électoral : +les opposants sont comme des danseurs de tango+ (Simon Compaoré)»

Quant à Aujourd’hui au Faso, il croit savoir que «Simon Compaoré est très critique sur la posture de l’opposition».

Le même journal renseigne que la ligue des consommateurs est furieuse contre les délestages de la Société national de l’électricité du Burkina (SONABEL).

«En vue de se prononcer sur la qualité de certains produits et services offerts aux consommateurs, la ligue des consommateurs du Burkina, section du Kadiogo (Ouagadougou, Ndlr), a animé un point de presse, le mardi 7 août 2018», rapporte le confrère.

Et de souligner que «la ligue dit ne pas comprendre qu’en ces temps pluvieux, les consommateurs soient toujours confrontés à des coupures intempestives d’électricité, qui occasionnent de gros dommages».

A ce propos, Le Pays, autre quotidien privé, affiche : «Paiement des factures de la SONABEL : la ligue des consommateurs pour la suspension pour trois mois des pénalités de retard».

Sous le titre «Entre débrouillardise et devoir de service public», Sidwaya publie un reportage sur la vie des fonctionnaires burkinabè en milieu rural.

Politique et communication, en couverture des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce mardi traitent de sujets essentiellement liés à la communication et à la politique internationale et nationale.Le quotidien privé Le Pays, dans sa rubrique hebdomadaire ‘’Mardi politique », donne la parole au leader d’Organisation de la société civile (OSC), Hervé Ouattara.

M. Ouattara, par ailleurs, président du Citoyen africain pour la renaissance (CAR, ex-Collectif anti-référendum), affirme que «Nous n’avons jamais voulu d’un Burkina comme nous le voyons aujourd’hui».

Pour sa part, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, affiche à sa Une les propos de Adama Ben Gaston Sawadogo, un Burkinabè vivant aux Etats-Unis.

Celui-ci, évoquant les débats autour de la révision du code électoral burkinabè, estime qu’«en politique, aucune décision ne peut satisfaire tout le monde».

Pendant ce temps, le quotidien public Sidwaya revient sur la date anniversaire de l’indépendance du Burkina Faso, dans l’article intitulé : «5 août 1960: Péripétie d’une indépendance».

Le même journal aborde la prestation de serment de la nouvelle équipe du Conseil supérieur de la Communication (CSC), soulignant que les nouveaux membres du CSC «ont juré de remplir leurs fonctions en toute indépendance et impartialité».

A ce sujet, Le Quotidien, autre journal privé, met en exergue, l’image du nouveau président du CSC, Mathias Tankoano, prêtant serment, avec ce titre : «la nouvelle équipe s’engage à +ramener la sérénité dans la maison+»

De son côté, Aujourd’hui au Faso, quotidien privé, consacre sa manchette à l’actualité politique internationale, notamment à la Côte d’Ivoire où le président Alassane vient d’accorder l’amnistie à certaines personnalités emprisonnées dont l’ex-première dame, Simone Gbagbo et le directeur du protocole de Guillaume Soro (président de l’Assemblée nationale), Souleymane Kamagaté alias ‘’Soul to Soul ».

Le journal arbore : «Amnistie de Simone Gbagbo, Soul to Soul… : Ouattara tend (enfin) la main à la réconciliation».

Premières dames africaines et communication à la Une au Burkina

Les médias en ligne burkinabè évoquent, ce samedi, la prestation de serment, la veille, au Conseil supérieur de la communication (CSC), sans oublier la récente rencontre des Premières dames de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) à Ouagadougou.«Lutte contre le cancer: les Premières dames du groupe Afrique de l’OCI réaffirment leur détermination à jouer pleinement leur rôle», titre Fasozine.com

Ce journal en ligne renseigne que les portes de la rencontre internationale se sont refermées ce jeudi 02 août 2018, précisant que es travaux de ce rendez-vous de 48 heures ont été ponctués par la « déclaration de Ouagadougou », paraphée par les Premières dames des pays membres du groupe Afrique de l’OCI.

«Celles-ci ont réaffirmé leur détermination à jouer pleinement leur rôle dans ce combat », relate Fasozine.com.

Pour sa part, Burkina24.com rapporte que les épouses de chefs d’Etat présentes à Ouagadougou dans le cadre du séminaire de haut niveau sur la sensibilisation et la promotion de programme de lutte contre le cancer des femmes, ont immortalisé leur passage par une plantation d’arbres à l’hôpital du district de Bogodogo, jeudi dernier.

Le même site d’information revient sur la prestation de serment des nouveaux membres du Conseil supérieur de la communication(CSC), soulignant que l’évènement s’est déroulé, hier vendredi à Ouagadougou, devant le Conseil constitutionnel.

Il indique qu’avec pour président Mathias Tankoano, avocat de profession, chaque membre a juré «solennellement de bien et fidèlement remplir» sa fonction «en toute indépendance et impartialité».

A ce propos, Lefaso.net écrit : «Conseil supérieur de la communication : Mathias Tankoano et ses pairs jurent de réguler les médias +de façon digne et loyale+».

Le média en ligne fait remarquer que cette audience solennelle marque l’entrée officielle en fonction du président de l’instance, Mathias Tankoano et de ses pairs.

Politique et faits de société à la Une des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè reçus ce vendredi à APA s’intéressent particulièrement à la politique ainsi qu’aux faits de société.«Lutte contre le cancer en Afrique : Des premières Dames à l’avant-garde», affiche en première page le quotidien national Sidwaya qui montre l’image du président du Faso en compagnie des épouses de certains de ses homologues.

Le journal informe que la première dame du Burkina, Sika Kaboré, a ouvert hier jeudi à Ouagadougou, le séminaire régional de haut niveau sur la promotion des programmes de sensibilisation et de plaidoyer contre le cancer dans les Etats africains,  membres de l’Organisation de coopération islamique (OCI).

A ce sujet, L’Observateur Paalga, Le doyen des quotidiens privés titre : «Ligue des premières dames contre le cancer : Pour que plus personne n’en meure».

Le Quotidien, journal privé, évoque un fait divers concernant la mort d’un homme emmenant le corps de la femme de son frère à la morgue du Centre hospitalier universitaire (CHU) Yalgado Ouédraogo de Ouagadougou.

Le journal souligne que «la direction du CHU réfute les faits», avant de donner «la version de la famille des deux défunts».

Pendant ce temps, Le Pays, autre quotidien privé, pose cette une interrogation à sa Une : «Présidence du Faso : Qui en veut au journal +Le Pays+ ?».

Pour sa part, Aujourd’hui au Faso, quotidien privé, consacre sa manchette à la présidentielle malienne, titrant : «2nd tour présidentielle au Mali : le match IBK (41,42%) # Soumaïla Cissé (17,80%) ».

Sidwaya renseigne que pour le Hadj 2018 ce sont 8 143 places qui sont prévues pour le Burkina Faso, relatant que l’annonce a été faite, hier jeudi, par le ministre en charge de l’Administration territoriale, Siméon Sawadogo, au cours du point de presse du gouvernement.

Politique et santé en vedette dans les quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce jeudi évoquent l’actualité nationale essentiellement liée à des questions de santé et à la politique, notamment les débats sur la révision du code électoral et la situation au Conseil supérieur de la communication (CSC).«Mathias Tankoano président du CSC: le SYNATIC et l’AJB parlent d’un processus clandestin», titre le quotidien privé Aujourd’hui au Faso qui publie une déclaration conjointe du Syndicat autonome des travailleurs de l’information et de la culture (SYNATIC) et de l’Association des journalistes du Burkina (AJB).

L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, publie aussi l’intégralité de la déclaration conjointe signée du président de l’AJB, Guézouma Sanogo, et du secrétaire général du SYNATIC, Siriki Dramé.

En guise de titre, le journal arbore en manchette cette interrogation: «Nouvelle équipe CSC : Roch (Marc Christian Kaboré, président du Faso, Ndlr) a-t-il désigné les représentants des médias ?»

En politique, le quotidien national Sidwaya informe que le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré dresse un « bilan satisfaisant » de sa participation aux récents sommets sous régionaux, tenus en début de semaine à Lomé au Togo.

Il s’agit du sommet conjoint de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) et de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC), ainsi que de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA).

Pour sa part, le journal privé Le Quotidien affiche en manchette les propos du président de l’Alliance des jeunes pour l’indépendance et la république (AJIR, majorité présidentielle), Adama Kanazoé.

Parlant des débats autour de la révision du code électoral, celui-ci estime que «l’opposition est à la recherche d’un élément déclencheur qui lui permettra de mener des mouvements».

«Révision du code électoral : Syndicats, activistes de la société civile et citoyens réagissent», titre de son côté, Le Pays, publiant les réactions de cinq personnes.

Le même journal renseigne que lors du Conseil des ministres de la veille, l’hôpital Blaise Compaoré a changé de dénomination pour devenir le Centre hospitalier universitaire de Tengandogo.

A ce sujet, Sidwaya arbore: «Etablissements sanitaires: L’hôpital Blaise Compaoré rebaptisé CHU de Tengandogo».

Toujours dans le domaine de la santé, Sidwaya fait remarquer qu’en prélude à la rencontre des premières dames à Ouagadougou (les 1er et 2 août 2018), des spécialistes étaient en conclave dans la capitale burkinabè, durant 48 heures, pour «faire des propositions» concernant la lutte contre le cancer en Afrique.

La révision du code électoral à la une des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce mardi consacrent essentiellement leurs unes à la modification du code électoral du Burkina Faso, adoptée la veille à l’Assemblée nationale.L’Observateur Paalga, le plus ancien des quotidiens privés du Burkina Faso, affiche en manchette: «La loi votée à l’unanimité sans l’opposition».

Selon le journal, les députés de l’opposition burkinabè ont réédité leur exploit du 1er juin 2018 en quittant l’hémicycle, hier lundi 30 juillet 2018, pour protester contre le vote de l’avant-projet de loi portant révision du code électoral.

Il ajoute que la défection n’a pas empêché la majoritaire parlementaire et les députés membres de l’UPC/RD (Union pour le progrès et le changement, opposition) de voter à l’unanimité en faveur de ce document dont la décision phare reste l’utilisation de la Carte nationale d’identité burkinabè (CNIB) et du passeport comme seuls documents de vote.

De son côté, le quotidien national Sidwaya fait remarquer que «la loi (a été) adoptée malgré le boycott de l’opposition».

Le confrère rapporte que c’est après quatre heures de débat houleux, que «le projet de texte été adopté sans l’opposition politique qui a claqué la porte pour marquer sa désapprobation».

Pour sa part, le journal privé Le Quotidien résume les travaux en ces termes: «Modification du code électoral : l’opposition claque la porte, la majorité adopte la loi».

Le Pays, autre quotidien privé, arbore, en première page, ces propos du secrétaire général du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP, au pouvoir), Clément Sawadogo : «Si notre volonté de faire voter nos concitoyens de l’étranger doit se faire dans  une totale cacophonie, nous aurons fait régresser la démocratie».

Le même journal fait observer que «le débat fait rage sur la toile», publiant une série de publications et de déclarations relatives à la révision du code électoral.

Les journaux évoquent également, le sommet conjoint des pays membres de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) et ceux de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC), tenu la veille à Lomé au Togo.

Ainsi, Sidwaya titre: «Lutte contre le terrorisme: la CEDEAO et la CEEAC font front commun», là où L’Observateur Paalga mentionne : «Lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent: La CEDEAO et la CEEAC font un tir groupé».

Code électoral et présidentielle malienne à la Une des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce lundi commentent l’élection présidentielle qui s’est tenue, la veille, au Mali, sans oublier d’évoquer au niveau national, les débats autour du nouveau code électoral.Le quotidien national Sidwaya publie une déclaration de l’Union pour la renaissance des partis sankaristes (UNIR/PS, majorité présidentielle) sous le titre : «L’UNIR/PS appelle ses députés à voter +pour+».

Selon le journal,  le projet de loi portant révision du code électoral devant être examiné aujourd’hui lundi par l’Assemblée nationale est diversement apprécié par les partis politiques.

Pour sa part, le quotidien privé Aujourd’hui au Faso renseigne que la Nouvelle alliance du Faso (NAFA, opposition), le Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP, opposition), ainsi que des commissaires de la Commission électorale indépendantes (CENI), font des «tirs groupés sur le projet de code électoral».

Le journal privé Le Quotidien, de son côté, donne la parole au député Abdoulaye Mossé du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP, au pouvoir) qui estime que «si le vote des Burkinabè de l’extérieur pourra être une réalité avec la CNIB (Carte nationale d’identité burkinabè, Ndlr), il faut donc l’accepter et l’essayer».

Dans sa rubrique ‘’Confidences du week-end », Le Pays, autre quotidien privé, précise que «les commissaires de l’opposition de la CENI dénoncent +un passage en force+», à propos du projet de modification du code électoral.

Quant à l’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, il souligne le «manque de consensus» dénoncé par la NAFA.

Le même journal aborde la présidentielle malienne, faisant observer que le défi sécuritaire peut être considéré comme la «première victoire» de ce scrutin qui s’est déroulé hier dimanche.

L’envoyé spécial de Sidwaya dans la capitale malienne mentionne qu’au cours de la journée de vote, il y a eu «de longues files d’attente à Bamako».

Le Pays renseigne qu’il y a eu pour cette élection, «faible affluence à l’ambassade du Mali au Burkina».

Dans un commentaire titré «Présidentielle malienne : ne pas prêter le franc aux ennemis de la démocratie», le journal affirme que «le principal défi pour le futur locataire du palais de Koulouba, demeure la sécurité».

Terrorisme et justice au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce jeudi évoquent, entre autres sujets, ceux liés à la justice marquée par les auditions dans le cadre du procès du putsch manqué de septembre 2015 et au terrorisme dans la région du Sahel du pays.L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso affiche, en première page: «Lutte contre le terrorisme : Une soixantaine de combattants dans les mailles du GFAT (Groupement des forces anti-terroriste)».

Le journal publie un communiqué dans lequel l’armée burkinabè fait le point d’une série d’opérations de lutte contre les combattants islamistes dans la bande frontalière Nord du Burkina Faso, débutées depuis le 8 juillet 2018. 

Le sujet est abordé dans la rubrique ‘’Révélations » du quotidien privé  Le Pays qui titre : «Bande frontalière du Nord : des cellules terroristes démantelées, une soixantaine d’individus aux arrêts».

Pour leur part, Aujourd’hui au Faso et Le Quotidien consacrent leurs manchettes à cette information.

Ainsi, Aujourd’hui au Faso arbore : «Lutte contre le terrorisme : Après Rayongo (quartier de Ouagadougou où l’armée a démantelé, courant mai 2018, un réseau de terroristes, Ndlr), l’armée burkinabè prend une longueur d’avance».

Pour sa part, Le Quotidien mentionne qu’en plus du démantèlement du groupe de terroristes dans la bande frontalière Nord, le GFAT a saisi des explosifs des mains des terroristes.

Le quotidien national Sidwaya renseigne que deux habitants de Hocoulou (province du Soum, région du Sahel) ont été tués dans la nuit de mardi à mercredi par des assaillants.

Le même journal revient sur le procès du putsch manqué de septembre 2015 qui, précise-t-il, s’est poursuivi, hier mercredi 18 juillet 2018 avec la suite de l’audition de l’ex-soldat de 2e classe, Seydou Soulama et celle du caporal Hamidou Drabo.

Selon Sidwaya, «la défense dénonce une instruction aux mépris des règles».

Pendant ce temps, Le Pays parle de «la petite colère du soldat de 2e classe, Seydou Soulama», avant de noter que cet inculpé purge déjà une peine de 10 ans ferme écopée lors du procès de la poudrière de Yimdi.

A ce propos, L’Observateur Paalga titre : «Procès putsch manqué : Seydou Soulama ou le soldat aux 3 dossiers», informant que le soldat de 2e classe est aussi impliqué dans le dossier dit ‘’Pont de Nazinon ».

Lutte contre la corruption et justice au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè, dans leurs livraisons de ce mercredi, traitent du procès du putsch manqué dont les interrogations des accusés se poursuivent devant le Tribunal militaire de Ouagadougou (délocalisé occasionnellement à la salle des Banquets de Ouaga 2000), sans oublier le rapport du Réseau national de lutte anti-corruption (REN-LAC), rendu public, la veille à Ouagadougou.L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, titre: «Rapport 2017 sur la corruption : la police municipale toujours première de la classe».

Selon le journal, c’est dans le cadre de ses activités que le REN-LAC a organisé, hier mardi à Ouagadougou, la cérémonie de lancement officiel de son rapport de l’année écoulée sur l’état de la corruption au Burkina Faso.

A ce propos, Le Quotidien, autre privé, cite en sa manchette le directeur exécutif du REN-LAC Claude Wetta qui déclare : «La corruption est repartie à la hausse en 2017».

Le même journal fait remarquer que, d’après le rapport du REN-LAC,  la police municipale, la douane et la Direction générale des transports terrestres et maritimes (DGTTM) sont les services les plus corrompus au Burkina.

De son côté, Aujourd’hui au Faso parle de «l’indétrônable police municipale», là où le quotidien national Sidwaya se contente d’afficher : «La police municipale toujours en tête».

Le journal cité en second lieu évoque le procès du putsch manqué de septembre 2015, en reprenant ces propos de sergent-chef Ali Sanou lors de sa comparution, hier devant le Tribunal militaire : «je n’étais pas moi-même lors des interrogatoires».

Le Quotidien renchérit quand il cite l’accusé Ali Sanou qui déclare: «C’est comme si je ne me contrôlais pas lorsque je prenais des décisions».

Pour sa part, Le Pays mentionne à sa une : «Procès du putsch manqué: Le sergent-chef Ali Sanou ne reconnait pas les faits».

Quant à L’Observateur Paalga, il évoque «le récit du sergent-chef Ali Sanou» qui, souligne-t-il, a réfuté la plupart des faits qui lui sont reprochés.

La politique monopolise la une des quotidiens burkinabè

Les journaux burkinabè de ce mardi évoquent des sujets essentiellement liés à la politique, notamment le 2e congrès en vue de l’Union pour le progrès et le changement (UPC, opposition) et la session extraordinaire de l’Assemblée nationale, ouverte la veille à Ouagadougou.«1re session extraordinaire de l’Assemblée nationale: le code électoral et le statut de l’opposition en examen», arbore en première page le journal Le Quotidien.

Selon ce confrère, la session parlementaire extraordinaire qui s’est ouverte hier lundi à Ouagadougou, va permettre aux députés d’examiner neuf projets de loi, notamment ceux portant sur «le code électoral, la prévention et la répression de la corruption au Burkina Faso et le statut de l’opposition politique ».

De son côté, le quotidien national Sidwaya titre: «Assemblée nationale: le statut de l’opposition en examen», là où Le Pays, quotidien privé affiche: «La révision du code électoral en ligne de mire».

Quant à L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, il reprend à sa une un extrait du discours du président de l’Assemblée nationale, Alassane Bala Sakandé, à l’ouverture de la session. «Je vous exhorte à mettre en avant l’intérêt général», a-t-il notamment dit  à ses collègues députés.

Le même journal consacre sa manchette au 2e congrès ordinaire de l’Union pour le progrès et le changement (UPC, opposition), prévu le weekend prochain et objet d’un point de presse animé la veille à Ouagadougou, par le Comité national d’organisation (CNO).

A en croire L’Observateur Paalga, l’UPC, par ailleurs parti dirigé par le Chef de file de l’opposition politique (CFOP), Zéphirin Diabré, est «à la recherche d’une relance crédible».

Le quotidien national Sidwaya indique que les élections de 2020 sont «en ligne de mire» de l’UPC qui, selon lui, «reste déterminée à apporter l’alternance crédible pour la cohésion sociale et une réconciliation nationale».

Pour leur part, Aujourd’hui au Faso et Le Pays renseignent que le CNO attend 5000 congressistes, lors du congrès prévu du 20 au 22 juillet 2018.

Dans sa rubrique ‘’Mardi politique », Le Pays donne la parole à Boureima Basile Ouédraogo, maire de Ouahigouya (ville capitale de la Région du Nord du Burkina), qui estime qu’«un parti politique où il n’y a pas de bruit, est un parti mort».

Politique, justice et football en couverture des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè parvenus à APA ce lundi matin, évoquent essentiellement des sujets liés à la justice marquée par le procès relatif au coup d’Etat manqué de septembre 2015, au football, avec le sacre de la France à la coupe du monde Russie 2018, sans oublier la politique nationale.Le journal privé Le Quotidien consacre sa manchette aux universités d’été organisées, samedi dernier à Ouagadougou, par le parti politique Le Faso Autrement.

Reprenant les propos du président de Le Faso Autrement, Ablassé Ouédraogo concernant le pouvoir de Roch Marc Christian Kaboré, le journal titre : «Roch la solution, Roch la réponse, le constat est que le pays a reculé».

De son côté, Aujourd’hui au Faso, après voir souligné que ces Universités d’été se sont tenues sous le thème : «Ensemble restaurons la confiance et l’espoir pour rétablir Le Faso Autrement», estime que les élections de 2020 sont «en ligne de mire » du président Ablassé Ouédraogo.

Le Pays, autre quotidien privé, reprend ces propos de Ablassé Ouédraogo : «le président Roch est le véritable problème du Burkina».

Le même journal revenant sur le vote des Burkinabè vivant à l’étranger, évoqué lors du forum national de la diaspora, tenu du 11 au 13 juillet à Ouagadougou, affirme que «les Burkinabè de l’extérieur ne veulent plus se laisser conter fleurette».

Quant au quotidien national Sidwaya, il parle de «plaidoyer pour une politique nationale de la diaspora», faisant remarquer que lors du forum national de la diaspora, les Burkinabè de l’extérieur se sont engagés à être les leviers de développement de leur patrie.

Revenant sur le procès du putsch manqué de septembre 2015, notamment l’audition du sergent-chef Roger Koussoubé, allias Le Touareg, Sidwaya mentionne que «le grand déballage du +Touareg+ n’a pas eu lieu».

Sur la même lancée, Aujourd’hui au Faso fait observer que «Le Touareg s’est refermé comme une huître».

Pour sa part, Le Quotidien renseigne que l’interrogatoire du sergent-chef Roger Koussoubé s’est achevé le vendredi 13 juillet 2018 au tribunal de première instance de la chambre de jugement.

«A sa suite, respectivement le soldat Boureima Zouré et le sergent-chef Adama Diallo ont été appelés à la barre», relate le journal.

Sous un autre registre, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés burkinabè, parle de la finale de la coupe du monde Russie 2018, jouée hier dimanche, en  arborant en première page: «La France championne du monde : Des nègres en or massif».

A ce sujet, Le Quotidien s’exclame : «Russie 2018 : La France sur le toit du monde !», là où Sidwaya parle de «La victoire du football clinique».

Pendant ce temps, Le Pays fait savoir que «le sacre des Bleus» au mondial 2018 a suscité des «scènes de liesse à Ouagadougou», avant de faire remarquer  que «c’est le triomphe de la France arc-en-ciel».

La presse en ligne burkinabè commente le procès du putsch manqué

Les journaux en ligne burkinabè continuent de commenter, ce samedi, le déroulement du procès relatif au coup d’Etat manqué de septembre 2015.«Soldat Boureima Zouré: L’interrogatoire du commando analphabète», affiche le site d’information Lefaso.net qui rapporte que le soldat de première classe, Boureima Zouré qui, lors du procès de l’attaque de Yimdi (tenu courant mars 2018), avait avoué être invulnérable aux balles, était hier vendredi à la barre, devant le tribunal militaire.

Le site précise que cette fois, «le commando qui se dit analphabète, était à la barre ce 13 juillet encore, à l’occasion du procès du coup d’État de septembre 2015».

Selon Lefaso.net, Boureima Zouré, lors de son interrogation, «a simplement tout nié, sauf le fait que Dieu lui a fait grâce de certains pouvoirs».

Evoquant le procès, WakaSéra, un autre média en ligne, titre : «Putsch manqué de 2015: le +Touareg+ (surnom du l’inculpé, sergent-chef Roger Koussoubé, Ndlr) s’est réservé de continuer le déballage».

Le confrère relate qu’au troisième jour de son interrogatoire, le Sergent-chef Roger Koussoubé, s’est réservé ce vendredi 13 juillet 2018 de continuer ses révélations devant le tribunal militaire.

«L’ex-agent des renseignements burkinabè, malgré l’assurance du parquet qui affirme avoir tout mis en œuvre pour le sécuriser, a refusé de poursuivre avec ses propos jugés «intéressants», notamment par le procureur militaire et la partie civile », écrit WakaSéra.

A ce sujet, l’Agence d’information du Burkina (AIB), fait remarquer que le sergent-chef Roger Koussoubé qui avait promis de faire le grand déballage, si sa sécurité et celle de sa famille sont garanties, s’est pourtant montré réservé vendredi, malgré les assurances du Tribunal militaire.

Lefaso.net informe aussi que le sergent-chef Adama Diallo, venu à la barre, hier vendredi, à la suite du soldat Boureima Zouré, «demande pardon au peuple burkinabè».

A en croire, ce journal en ligne, l’interrogatoire de Adama Diallo n’a duré que trois heures, et «rendez-vous a été pris pour le lundi 16 juillet, pour l’interrogatoire du sergent-chef Ali Sanou».

Coopération et diplomatie à la Une des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce vendredi consacrent essentiellement leurs différentes Unes à des sujets liés à la diplomatie et à la coopération.Le quotidien national Sidwaya affiche en manchette : «Relations sino-burkinabè : Une nouvelle ère de coopération», montrant la photo du président du Faso Roch Marc Christian Kaboré qui échange une poignée de main avec le vice-Premier ministre de la République populaire de Chine, Chunhua Hu.

«Inauguration de l’ambassade de Chine à Ouaga : Le drapeau chinois flotte de nouveau sur le ciel burkinabè», titre, pour sa part, le journal Le Pays.

Au même moment, Aujourd’hui au Faso et Le Quotidiens, deux journaux privés, arborent en chœur : «Axe Pékin-Ouaga : l’ambassade de Chine est officiellement ouverte».

Selon le premier quotidien cité, le vice-Premier ministre de la République populaire de Chine, Chunhua Hu et le chef de gouvernement burkinabè, Paul Kaba Thiéba, ont procédé, hier jeudi à Ouagadougou, à l’ouverture de l’ambassade de la Chine populaire.

«Aux dires des deux parties (chinoise et burkinabè), l’ouverture de l’ambassade de Chine au Burkina et très prochainement, celle du Burkina en Chine, permettra au plan politique et diplomatique, de renforcer l’amitié entre les deux pays…», rapporte Aujourd’hui au Faso.

De son côté, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés burkinabè, fait observer que « la cérémonie (d’inauguration de l’ambassade de la République populaire de Chine), a surtout consisté en la découverte d’une plaque commémorative pour marquer l’évènement».

Toujours dans le domaine de la diplomatie, Sidwaya informe que le Burkina Faso et la République de l’Inde ont tenu, la veille, à Ouagadougou, les travaux de la 4e session de leur commission mixte de coopération.

A ce sujet, le journal mentionne, en guise de titre: «Axe Ouaga-New Dehli : Nouveau départ, grandes ambitions».

Et de souligner que le ministre burkinabè en charge des Affaires étrangères Alpha Barry et le vice-ministre des Affaires étrangères de l’Inde Mobashar Jawed Akbar, se sont réjouis de la reprise des relations diplomatiques entre les deux pays.

Aujourd’hui au Faso renchérit en titrant : «Diplomatie : Burkinabè et Indiens renforcent leur lien».

Justice et télécommunication au menu des quotidiens burkinabè

Les journaux burkinabè de ce mercredi commentent l’actualité nationale marquée par le lancement, la veille, des travaux de construction d’infrastructures dans le domaine des télécommunications, sans oublier d’aborder les auditions des inculpés dans le dossier putsch manqué du 16 septembre 2015.Le quotidien national Sidwaya rapporte que le feuilleton judiciaire du putsch de septembre 2015 s’est poursuivi hier mardi 10 juillet 2018 dans la salle des banquets de Ouaga 2000 avec l’interrogatoire de l’accusé,  Eloi Badiel.

Titrant : «Koussoubé et les trois camps du RSP (Régiment de sécurité présidentielle, Ndlr)»,  le reporter du journal fait remarquer qu’aux environs de 11 heures (hier mardi), c’était au tour du Sergent-chef Roger Koussoubé dit « le Touareg » de passer à la barre.

«Cinq chefs d’inculpation ont été retenus contre lui,  selon le parquet militaire », écrit Sidwaya, avant d’ajouter qu’il s’agit de «l’attentat dans le but de renverser un gouvernement et enlèvement du gouvernement de la transition, auteur et/ou complice de meurtre,  coups et blessures, dégradation de biens et incitation à commettre des actes contraires à la discipline militaire».

Selon le journal, l’intéressé a déclaré reconnaître partiellement les faits qui lui sont reprochés.

Pour sa part, Aujourd’hui au Faso arbore cette manchette : «Procès putsch manqué : Le Touareg, l’agent qui slalomait entre Zida et Diendéré».

Pendant ce temps, Le Pays, autre quotidien privé, trouve que «le Touareg tente de disculper Gilbert Diendéré»

Quant au journal Le Quotidien, il affiche à sa Une: «Procès du putsch du RSP: Le sergent-chef Koussoubé Roger, allias +Le Touareg+ enfonce le général Bassolé».

Le confrère reprend ces propos de l’accusé : «le général Bassolé ne s’est pas retrouvé parmi nous par hasard, il en sait quelque chose».

De son côté, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, titre : «Le général Bassolé avait sa 5e colonne au sein du RSP».

Le même journal renseigne que les infrastructures réalisées au Burkina Faso dans le cadre du Programme régional d’infrastructures de communication pour l’Afrique occidentale (PRICAO) ont été inaugurées hier mardi à Ouagadougou, par le Premier ministre Paul Kaba Thiéba.

A ce sujet, Sidwaya titre : «Connexion internet : Augmentation de la bande passante à 5G», là où Aujourd’hui au Faso parle d’ «infrastructures de communications électroniques, officiellement réceptionnées par Paul Kaba Thiéba».

Justice et conférence sur le plan de développement en couverture des quotidiens burkinabè

Les journaux burkinabè de ce mardi évoquent principalement la conférence internationale sur le Plan national de développement économique et social (PNDES, référentiel de développement au Burkina Faso), débutée la veille, ainsi que le procès du putsch manqué de septembre 2015 dont les auditions des accusés se poursuit.«Procès putsch manqué : l’adjudant-chef-major Badiel avance la thèse du complot contre sa personne», titre le quotidien privé Aujourd’hui au Faso.

Selon ce journal, hier lundi, l’adjudant-chef-major, Eloi Badiel a été appelé à la barre à répondre des faits d’attentat à la sûreté de l’Etat, de meurtre et de coups et blessures volontaires pour son implication dans le dossier du coup d’Etat manqué du 16 septembre 2015.

«Il a reconnu partiellement les faits qui lui sont reprochés en l’occurrence le premier chef d’accusation, avant de déclarer qu’il a l’impression d’être victime d’un complot de la part de ses frères d’armes tendant à lui faire porter l’entière responsabilité des actes posés», relate le confrère.

De son côté, le journal Le Pays fait observer que «l’adjudant-chef-major Eloi Badiel reconnait avoir fait arrêter les autorités de la Transition».

Pour sa part, Le Quotidien, autre journal privé, affiche en manchette : «Procès du putsch du RSP (Régiment de sécurité présidentielle, Ndlr) : L’adjudant-chef-major Badiel Eloi, l’homme qui a coordonné le putsch :+Je ne pouvais plus réculer+».

Le même journal évoque la conférence internationale sur le Plan national de développement économique et social (PNDES), débutée la veille, à Ouagadougou, affichant ces propos du Premier ministre Paul Kaba Thiéba : «les résultats d’étape (du PNDES) sont très encourageants».

Dans le même ordre d’idées,  le quotidien national Sidwaya mentionne en première page : «PNDES : Des résultats d’étape encourageants», là où Aujourd’hui au Faso renchérit en ces termes : «Thiéba-le monsieur-PNDES au rapport : +Ce référentiel national marche vers sa réalisation+».

Procès politique au Burkina et présidentielle malienne au menu des quotidiens burkinabè

Les journaux burkinabè abordent, ce lundi, des sujets diversifiés, avec un accent particulier sur la présidentielle au Mali dont la campagne a démarré, sans oublier le procès du putsch manqué de septembre 2015 au Burkina Faso qui a amorcé, depuis une dizaine de jours, la phase des interrogatoires.Le journal Le Quotidien arbore cette manchette : «Procès du putsch du RSP (Régiment de sécurité présidentielle, Ndlr) : A la barre, Rambo, celui qui a arrêté le président Kafando nie avoir +flingué+ quelqu’un».

Selon ce quotidien privé, l’interrogatoire de l’adjudant-Chef Moussa Nébié, plus célèbre sur le pseudonyme Rambo, a duré plus de 10 heures.

«Devant le tribunal, Rambo ne nie pas totalement les faits qui lui sont reprochés», rapporte Le Quotidien, précisant que sur les cinq chefs d’inculpation, l’accusé ne reconnait qu’un seul, à savoir l’arrestation du président de la Transition, Michel Kafando.

Sidwaya, le quotidien national renseigne que l’adjudant-chef de l’ex-Régiment de sécurité  présidentielle (RSP), Moussa Nébié dit Rambo a 53 ans, est marié et père de quatre enfants. 

Et de rappeler qu’il a comparu devant la Chambre de 1re instance du Tribunal militaire, les 6 et 7 juillet 2018, pour «répondre des faits d’attentat à la sûreté de l’Etat, du meurtre de 13 personnes, de coups et blessures sur 42 personnes, d’incitation de plusieurs militaires à commettre des actes contraires à la discipline et de complicité de dégradation des biens».

Pour sa part, Le Pays affiche: «le grand déballage de Moussa Nébié dit Rambo» là où L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, titre, photo de Rambo à l’appui : «Le sous-off qui a arrêté M’Ba Michel (Surnom de Michel Kafando)».

En politique, le même journal évoque, dans sa rubrique ‘’Commentons l’évènement », la présidentielle malienne et souligne que la campagne électorale, ouverte samedi, se déroule «sous haute surveillance sécuritaire».

Dans son éditorial intitulé «Campagne électorale au Mali: Penser d’abord au pays», Le Pays rappelle que 24 candidats sont en lice pour    la présidentielle du 29 juillet prochain dont la campagne a débuté  le samedi 7 juillet.

La diplomatie en vedette dans les quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè parvenus à APA ce vendredi matin, commentent largement la Conférence des ambassadeurs et consuls généraux du Burkina Faso, ouverte la veille à Ouagadougou.Le quotidien national Sidwaya arbore en manchette : «Rayonnement du Burkina Faso : Les diplomates invités à +vendre+ le PNDES (Plan national de développement économique et social, référence de développement au Burkina Faso)».

Selon le journal, le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération tient du 4 au 6 juillet 2018 à Ouagadougou, sa XIVe Conférence des ambassadeurs et consuls généraux du Burkina Faso.

«A l’occasion, le Président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré a présenté le 5 juillet aux diplomates, les grandes orientations de sa politique étrangère», rapporte Sidwaya.

A ce sujet, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés burkinabè, affiche : «XIV conférence des ambassadeurs : les diplomates s’abreuvent à la source du PNDES».

Le Pays, autre quotidien privé, met l’accent sur  «les défis du PNDES et les enjeux sécuritaires (sont) au menu» de la rencontre de trois jours.

De son côté, le journal Le Quotidien mentionne en première page : «Défis du PNDES et enjeux sécuritaires : les diplomates et consuls généraux s’engagent».

Quant à Aujourd’hui au Faso, il estime que cette 14e conférence des ambassadeurs et consuls généraux du Burkina Faso va «permettre à la diplomatie burkinabè de se ressourcer».

Le même journal revient sur le 242e anniversaire de l’indépendance des Etats-Unis d’Amérique (USA), commémoré au Burkina Faso, en titrant: «Andew Young (ambassadeur des USA au Burkina Faso) loue le modèle de développement burkinabè».

Parlant de cette célébration, Sidwaya relate qu’«à l’instar des centaines de représentations diplomatiques des Etats-Unis d’Amérique à travers le monde, celle de Ouagadougou au Burkina Faso a sacrifié à la tradition, en célébrant la 242e fête de l’indépendance, le mercredi 4 juillet 2018».

Soupçons de favoritisme à la CNSS et justice à la Une des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce jeudi traitent, entre autres sujets, le procès du putsch manqué de septembre 2015 au Burkina Faso et les soupçons de favoritisme à la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS), objet d’une conférence de presse, animée la veille à Ouagadougou, par des responsables syndicaux de la structure.«Recrutement à la CNSS: Des syndicats dénoncent un +processus douteux+», arbore le quotidien privé Le Pays, avec à l’appui, l’image du secrétaire général (SG) de la coordination des comités CGT-B (Confédération générale du travail du Burkina) de la CNSS, Seydou Koné.

Le sujet occupe la manchette de Aujourd’hui au Faso, autre quotidien privé, qui fait remarquer que «de lourds soupçons pèsent sur le DRH (Directeur des ressources humaines, Ndlr) et plusieurs agents».

Sidwaya, le quotidien national, rapporte que les résultats du test de recrutement de 85 agents au profit de la CNSS, le 20 juin 2018, sont entachés d’illégalité, selon les responsables des comités CGT-B de l’institution.

Pour sa part, le journal privé Le Quotidien reprend à sa Une les propos du SG de la coordination  CGT-B de la CNSS qui a déclaré : «Nous avons décelé un conflit d’intérêt manifeste avec l’admission de l’épouse, de la nièce et du neveu du DRH».

Et c’est à juste titre que L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, affiche cette interrogation : «Recrutement à la CNSS : Le DRH a-t-il placé sa femme, son neveu et sa nièce ?».

Le même journal évoque le procès du putsch manqué de septembre 2015 qui a entamé depuis vendredi dernier la phase des interrogatoires, informant que «le jugement ne prendra pas de vacances».

Selon L’Observateur Paalga, «le caporal Sami Dah (qui était à la barre hier mercredi) nie tout en bloc».

De son côté, Sidwaya parle d’«un agent double nommé Sami Da» là où Le Pays titre : «Le caporal Dah Sami nie les faits».

Le journal cité en second lieu, relate que le caporal Dah Sami, entendu hier mercredi, au 5e jour d’audition, a dit qu’il était commis à la sécurité du général Gilbert Diendéré (présumé cerveau du coup d’Etat manqué), «donc qu’il ne peut être auteur ou co-auteur des faits qui lui sont reprochés à la barre ».

Baccalauréat, opposition et justice en vedette dans les quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce mercredi traitent essentiellement de l’actualité politique marquée par la sortie, la veille à Ouagadougou, du Chef de file de l’opposition politique (CFOP), sans oublier celles judicaire, avec la condamnation de l’activiste Naïm Touré et éducative, avec l’examen du baccalauréat en cours depuis hier.«Bac 2018: La conquête du premier diplôme universitaire lancée», titre le quotidien privé Le Pays, soulignant que c’est le ministre de l’Education nationale et de l’Alphabétisation, Stanislas Ouaro qui a présidé la cérémonie de lancement officiel de l’examen dans la Région du Centre, hier mardi à Ouagadougou.

Pour sa part, le quotidien national Sidwaya arbore en manchette: «Bac 2018 : Les centres de composition plus proches des candidats». Il fait remarquer que sur toute l’étendue du territoire, se sont 96.771 candidats qui sont inscrits.

Pendant ce temps, L’Observateur Paalga affiche en première page: «Baccalauréat 2018 : Les candidats rappent avec Smarty».

Le journal rapporte que les séries C et D ont composé, hier en français sur un texte d’une des chansons du rappeur burkinabè Smarty.

En politique, L’Observateur Paalga revient sur la conférence de presse animée, hier mardi par le Chef de file de l’opposition politique (CFOP), Zéphirin Diabré, titrant : «Bilan à mi-mandat de Roch (Marc Christian Kaboré, président du Faso) : le CFOP dénonce une +autosatisfaction béate+».

De son côté, Le Pays mentionne à sa Une, les propos du chef de file de l’opposition qui estime que «nous avons un gouvernement poltron».

A ce sujet, Le Quotidien, autre journal privé, renchérit la citation de Zéphirin Diabré en précisant qu’il s’agit d’un gouvernement qui «refuse de s’assumer».

Le même journal consacre sa manchette au procès du putsch manqué de septembre 2015 au Burkina Faso, notamment l’audition, hier mardi, de l’adjudant Nion Jean Florent Akowé.

Selon le confrère, l’accusé Nion a déclaré, hier devant le tribunal militaire que «c’est le général Diendéré (Gilbert) qui a instruit de faire le coup d’Etat».

Sidwaya cite l’adjudant Jean Florent Nion qui dit: «j’ai posé des actes involontairement». Et Le Pays d’écrire, à juste titre que «l’adjudant Jean Florent Nion reconnait en partie les faits».

Le journal cité en second lieu aborde également le verdict du procès impliquant le cyber-activiste et lanceur d’alerte Naïm Touré. Il renseigne que le Tribunal de grande instance (TGI) de Ouagadougou a condamné Naïm à deux mois de prison ferme.

A ce propos, L’Observateur Paalga considère que «le cyberactiviste (sera) déconnecté pour 2 mois ferme».

Selon le confrère, avant de prononcer la sentence, le président (du tribunal) a passé en revue les trois infractions «dans le but de motiver sa conclusion».

Politique et justice au menu des quotidiens burkinabè

Les interrogatoires dans le cadre du procès du putsch manqué de septembre 2015 sont le principal sujet abordé ce mardi par les quotidiens burkinabè qui commentent également l’actualité politique nationale.Le quotidien privé Le Pays, dans sa rubrique ‘’Mardi politique », donne la parole au Chef de file de l’opposition politique (CFOP), Zéphirin Diabré.

A la Une du journal, M. Diabré, par ailleurs, président de l’Union pour le progrès et le changement (UPC), déclare : «Tous les mots que nous avons décriés en son temps sont toujours là, en pire».

De son côté, Aujourd’hui au Faso, autre quotidien privé, revient sur le suivi des élections 2015 au Burkina Faso, soulignant que l’Union européenne (UE) est ravie qu’on prenne en compte ses recommandations.

Quant au quotidien national Sidwaya, il informe qu’en prélude à la visite du vice-Premier ministre chinois, Hu Chunhua au Burkina Faso, le Chef du gouvernement burkinabè, Paul Kaba Thiéba a reçu, hier lundi, un émissaire chinois.

Le même journal parle du procès du coup d’Etat manqué de septembre 2015, mettant en exergue les propos du sergent Ollo Stanislas Poda prononcés, hier à la barre : «Je n’ai jamais tiré sur quelqu’un».

«Interrogatoire à fond : Mohamed Zerbo (premier des accusés à être interrogé) cède la place au sergent Ollo Poda», titre de son côté, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso.  

Le sujet constitue la manchette du journal privé Le Quotidien : «Procès du putsch manqué du RSP (Régiment de sécurité présidentielle) : le sergent Ollo Stanislas Poda à la barre».

Selon le sergent Ollo dont les propos sont rapportés par le confrère, l’ex-Premier ministre Yacouba Isaac Zida voulait instaurer, en octobre 2015, avec l’appui du Balai citoyen (une organisation de la société civile) une révolution au Burkina Faso.

Pour sa part, Le Pays affiche : «Procès du putsch manqué : Quand le sergent Ollo Poda s’emmêle les pinceaux».

 

Justice, politique et développement au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè abordent, ce lundi, des sujets liés à la politique et au développement, sans oublier la justice marquée par le début des auditions des accusés du putsch manqué de septembre 2015.Le quotidien national Sidwaya évoque le procès du putsch manqué de septembre 2015 au Burkina Faso, en s’exclamant : «Les accusés enfin à la barre !».

Selon le journal, le procès du coup d’Etat manqué qui a repris le vendredi 29 juin dernier à Ouagadougou, est entré dans sa phase décisive, avec l’entame des auditions des accusés.

«L’interrogatoire a débuté avec le sergent-chef Laoko Mohamed Zerbo qui a été entendu le même jour et le lendemain samedi», rapporte Sidwaya.

A ce sujet, L’Observateur Paalga, le plus anciens des quotidiens privés du Burkina Faso, titre tout simplement: «Procès putsch manqué : l’accusé Mohamed Zerbo à la barre».

Pour sa part, Le Pays, autre quotidien privé, précise qu’ «à la barre, le sergent-chef Mohamed Zerbo nie les faits».

Le quotidien privé Aujourd’hui au Faso ne dit pas autre chose quand il affiche en manchette: «Procès du putsch manqué: Le sergent-chef Mohamed Zerbo rejette les faits à lui reprochés».

Le même journal, dans son éditorial, informe  que le 31e sommet de l’Union africaine (UA), ouvert hier dimanche dans la capitale mauritanienne, Nouakchott, a abordé l’attaque contre le QG du G5 Sahel et contre Barkhane. 

L’éditorialiste de Aujourd’hui au Faso pense que le présent sommet de l’UA «doit sauver la présidentielle malienne».

En politique, Le Pays reprend à sa Une les propos du président du Parti africain pour la renaissance (PAREN), Michel Béré, qui affirme: «On ne veut plus de taupes (…) dans nos rangs».

De son côté, Sidwaya parle, dans son éditorial, de «fermeté gouvernementale», revenant sur une lettre, avec ‘’un ton ferme » que la ministre en charge de la Solidarité nationale avait adressée au Maire de Ouagadougou, à propos de la gestion des inondations dans des zones à risque.

«Passé les phases de sensibilisation et même parfois de laisser-aller, il était tant que l’autorité adopte enfin une posture de fermeté face aux risques, parfois mortels, encourus par certaines populations de l’agglomération ouagalaise en particulier», commente Sidwaya.

Parlant de développement, Sidwaya renseigne qu’à propos de mobilité urbaine, des rues nouvellement bitumées ont été inaugurées le weekend écoulé à Ouagadougou.

Pendant ce temps, le journal Le Quotidien évoque la 26e édition de l’Assemblée générale des sociétés d’Etat (AG-SE), tenue les 28 et 29 juin derniers à Ouagadougou, faisant remarquer que des recommandations ont été faites «pour zéro société défaillante en 2018».

Justice, politique et foot au menu des quotidiens burkinabè

Les journaux burkinabè de ce jeudi abordent l’actualité nationale et internationale ayant trait à la politique, au sport, avec le mondial de football qui se déroule actuellement en Russie, sans oublier de commenter le procès du cyberactiviste burkinabè Naïm Touré qui s’est tenu la veille à Ouagadougou.«Procès Naïm Touré : le verdict attendu le 3 juillet», titre le quotidien privé Aujourd’hui au Faso qui informe que le cyberactiviste s’est présenté, hier mercredi devant le Tribunal de grande instance (TGI) de Ouagadougou.

Le journal rappelle, qu’interpellé le 14 juin dernier et gardé à vue à la gendarmerie de Paspanga à Ouagadougou où il avait été auditionné, Naïm Touré a été présenté au juge d’instruction le 19 juin, avant d’être interné à la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou (MACO).

De son côté, Le Pays arbore cette manchette : «TGI de Ouaga: 12 mois de prison ferme requis contre Naïm Touré».

A ce sujet, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, fait remarquer que «le parquet veut bloquer le cyberactiviste pendant 12 mois».  

Quant au quotidien national Sidwaya, il rapporte que «pour Me Batibié Benao, l’un des avocats de Naïm Touré, il faut que le parquet tienne compte des éléments de droit».

En politique, Sidwaya évoque dans son ‘’Autre regard », la situation au Soudan du Sud, se demandant : «Enfin, le calumet de la paix ?».

Le commentateur fait observer qu’hier mercredi, le président soudanais Sava Kiir et son rival Rick Machar ont signé un accord à Khartoum, en présence du Soudanais Oumar El Béchir et de son homologue ougandais Yuwerie Museveni.

Pour sa part, le journal privé Le Quotidien, dans son éditorial, revient sur le vote des Burkinabè de l’étranger en 2020, estimant qu’il s’agit d’«un engagement  du président du Faso très attendu».

En sport, les quotidiens burkinabè abordent la coupe du monde Russie 2018 qui achève, ce jeudi, les derniers matchs des phases de poules pour la qualification en huitièmes de finale.

Parlant du match des Lions du Sénégal contre leurs homologues de la Colombie qui se joue ce soir, Le Pays mentionne en guise de titre: «Sénégal # Colombie: Toute l’Afrique retient son souffle».

A ce propos, L’Observateur Paalga renchérit en ces termes: «L’espoir de tout un continent entre les griffes des Lions».

Développement, foot et lutte contre la corruption à la une des quotidiens burkinabè

Les journaux burkinabè évoquent ce mercredi, entre autres sujets, la sortie du Réseau national de lutte anti-corruption (REN-LAC), la coupe du monde de football qui se déroule en Russie, sans oublier l’économie et le développement.Le quotidien national Sidwaya arbore en première page: «PNDES (Plan national de développement économique et social, Ndlr): Plus de 8 milliards de F CFA pour la santé, l’eau et l’assainissement».

Selon le journal, le ministre de l’Economie, des Finances et du Développement (MINEFID), Rosine Coulibaly a signé des conventions, le mardi 26 juin 2018 à Ouagadougou, avec les ambassadeurs du Royaume des Pays-Bas et de la République fédérale d’Allemagne pour le financement dans les secteurs de la santé, de l’eau et de l’assainissement.

A ce sujet, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso affiche : «Signatures de conventions ministère de l’Economie : L’eau et la santé, les secteurs bénéficiaires».

Pour sa part, Aujourd’hui au Faso consacre sa manchette à la conférence de presse, animée, hier mardi à Ouagadougou, par le Réseau national de lutte anti-corruption (REN-LAC).

Le quotidien privé rapporte qu’à l’occasion, le secrétariat exécutif du REN-LAC a donné sa lecture et sa position sur la situation qui prévaut au Conseil supérieur de la magistrature (CSM).

«Tout en saluant cette initiative qui a permis de sanctionner des magistrats, il invite le président du Faso, à écouter les acteurs et à s’engager dans l’assainissement de l’institution», écrit Aujourd’hui au Faso.

De son côté, L’Observateur Paalga reprend à sa Une, les propos du secrétaire exécutif du REN-LAC, Dr Claude Wetta qui a déclaré lors de la conférence de presse ceci : «S’il y a des gens qui sont fautifs, il faut les sanctionner».

Le même confrère aborde le mondial 2018 dans son ‘’Regard sur l’actualité » où il mentionne que «la montagne argentine était plus forte que les Super Eagles».

Quant à Aujourd’hui au Faso, il fait observer que lors du match qui les a opposés aux Argentins, hier mardi, au cours de dernière journée de leur poule (D) les super Eagles du Nigéria ont été «victimes du syndrome de la dernière minute».

Grève des financiers, président Kaboré et foot au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè, dans leurs livraisons de ce mardi, traitent de la politique, notamment, la sortie médiatique du président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, il y a deux jours, du sport avec la coupe du monde de football qui se déroule actuellement en Russie, sans oublier la suspension de la grève des financiers.«Grève des travailleurs des finances : Le mot d’ordre suspendu pour entrer en discussion», titre le quotidien national Sidwaya qui informe que la suspension du mouvement d’humeur fait suite à l’appel du président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, lors de son grand oral, le dimanche 24 juin 2018.

Et de préciser que la Coordination des syndicats du ministère de l’Economie et des Finances (CS-MEF), a suspendu son mot d’ordre de grève pour aller à la négociation.

De son côté, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés burkinabè arbore en manchette : «Une suspension +pour répondre à l’appel du président+», reprenant les propos du président de la CS-MEF, Mathias Kadiogo.

Le journal dans son ‘’Regard sur l’actualité », s’exclame en ces termes : «Et maintenant autour de la table de négociations !».

Le Pays, autre quotidien privé, évoque le sujet dans sa rubrique ‘’Révélations », renseignant que le président du Faso avait déclaré dimanche dernier qu’«il n’y a pas de raison pour que nous ne puissions pas dialoguer».

En politique, Le Pays revient sur la sortie médiatique du président du Faso, dimanche dernier, donnant la parole à des Burkinabè qui «apprécient diversement la prestation (de Roch Marc Christian Kaboré)».

Le même journal, en sport, parle de la Coupe du monde Russie 2018 et fait remarquer qu’au regard des prestations des équipes africaines,  «les Africains ont des raisons de s’inquiéter».

Pendant ce temps, L’Observateur Paalga, évoquant le  match du groupe D Nigéria # Argentine, prévu ce soir à 18h (Gmt), se demande: «Les Super Eagles pourront-ils survoler l’Aconcagua ?».

Le président Kaboré et situation des étudiants burkinabè à Taïwan en couverture des quotidiens

Les quotidiens burkinabè de ce lundi évoquent la situation des étudiants burkinabè en Chine Taïwan après la rupture de la coopération diplomatique avec ce pays, sans oublier de commenter l’entretien accordé par le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, à trois télévisions.En première page du quotidien national Sidwaya, l’on voit l’image du chef de l’Etat burkinabè, avec ce titre: «Le président Roch Kaboré, à propos de la gouvernance du pays : + Il y a bel et bien une autorité et le bateau est bien mené+».

Le journal relate que hier dimanche 24 juin, le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré a accordé un entretien, en direct, à des journalistes de la télévision nationale et des télévisions privées BF1 et Burkina Info.

«La sécurité nationale, la grève au ministère en charge de l’Economie, la création d’emplois, le problème de l’avion présidentiel, les écoles sous paillotes ont été, entre autres sujets abordés», rappelle Sidwaya qui publie l’intégralité de ce ‘’grand oral ».

Pour sa part, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, affiche les propos du président du Faso qui s’est adressé aux syndicats des finances, en ces termes: «Levez votre mot d’ordre et venez on va discuter».

Le journal privé Le Quotidien abonde dans le même sens lorsqu’il affiche cette déclaration du président du Faso : «Les syndicats du ministère des finances doivent lever leur mot d’ordre de grève».

Dans son éditorial, Sidwaya affirme que le chef de l’Etat a précisé que la démarche du gouvernement procède, non pas de la volonté de nuire  à qui que ce soit, mais de s’assurer de la soutenabilité du Fonds commun, passé de 4 milliards à 55 milliards de FCFA.

Selon l’éditorialiste, «il (Roch Kaboré) a lancé trois fois, au cours de l’entretien, un appel aux grévistes à lever le mot d’ordre de grève, à reprendre les activités au nom de la continuité du service public et à renouer le fil du dialogue…».

De son côté, Le Pays, autre journal privé, aborde la situation des étudiants burkinabè à Taïwan, titrant : «Le ministère des Affaires étrangères rassure».

Dans le même ordre d’idées, L’Observateur Paalga cite le Secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Seydou Sinka, qui a déclaré lors d’un point de presse, samedi à Ouagadougou, que «Toutes les situations sont gérées».

Pendant ce temps, le quotidien national mentionne, en guise de titre : «Etudiants burkinabè de Taïwan: Fortunes diverses entre boursiers et non boursiers».

Développement, diplomatie et sport se côtoient dans la presse en ligne burkinabè

Les journaux en ligne du Burkina Faso présentent ce samedi, des sujets variés où l’on retrouve ceux liés à la diplomatie et au sport, sans oublier le domaine du développement.«Développement: le second compact va miser sur +l’accès à une électricité suffisante et de qualité+», titre Fasozine.com qui informe que l’Unité de coordination de la formulation du second compact du Burkina Faso (UCF-Burkina) a organisé hier vendredi à Ouagadougou une conférence de presse.

Le confrère rappelle que l’objectif de la rencontre avec les journalistes était de rendre publics les projets proposés dont le défi majeur est d’améliorer l’accès à une électricité suffisante et de qualité.

Le site d’information rappelle que l’atelier national de validation des documents de propositions de projets l’UCF-Burkina était axé sur l’électricité et ses problèmes connexes de qualification de la main-d’œuvre.

Pendant ce temps, Lefaso.net rapporte que «ce sont trois projets (dans le secteur de l’électricité) qui ont soumissionné pour une valeur estimée à 489,1 milliards de francs CFA», dans le cadre du Millennium challenge corporation (MCC).

Pour sa part, Burkina24.com affiche : «MCC: L’électricité dans le viseur du 2e Compact Burkina», précisant que l’UCF-Burkina a fait le point de ses activités ce vendredi à Ouagadougou.

Le même journal en ligne, dans le volet diplomatique, évoque la coopération entre le Burkina Faso et la République Tchèque, matérialisée par l’ouverture d’un consulat honoraire à Prague, suivie de la remise des attributs au consul Romaric Sondo, le mardi 19 juin 2018. Et Burkina 24.com d’estimer que «l’axe Ouaga-Prague se porte très bien».

En sport, les journaux en ligne rendent compte du mondial de football qui se déroule actuellement en Russie.

Ainsi, Fasozine.com rappelle que lors de la deuxième journée, hier vendredi, le Nigeria qui a dominé l’Islande (2-0), «se relance et rebat les cartes dans le groupe D».

De son côté, Burkina24.com souligne que «bien avant le Nigeria, le Brésil a arraché une victoire dans la douleur en venant à bout d’une talentueuse équipe du Costa Rica (2-0)».

Le média en ligne relate également qu’au cours de la même journée, la Suisse a battu la Serbie (2-1)

C’est à juste titre que le confrère affiche: «Coupe du Monde 2018: Le Nigeria, le Brésil et la Suisse font le show».

Agriculture et personnes handicapées au menu des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce vendredi se font l’écho des conclusions du forum national des personnes vivant avec un handicap, clôturé la veille à Ouagadougou, sans oublier l’actualité relative à la campagne agricole en cours.«Campagne agricole 2018-2019 : La peur s’installe chez les paysans», arbore en manchette le journal privé Le Quotidien dont des reporters ont sillonné des champs dans certaines provinces du pays.

Le même journal évoque la conférence de presse animée, hier jeudi à Ouagadougou, par le bureau national du Syndicat national des travailleurs de l’Agriculture (SYNATRAG).

Selon Le Quotidien, cette rencontre avec les journalistes visait à informer l’opinion nationale et internationale de la situation qui prévaut au niveau du ministère de l’Agriculture et des Aménagements hydrauliques.

A ce sujet, le confrère fait remarquer que «le syndicat dénonce une mauvaise gestion des intrants agricoles».

Parlant de cette situation, Aujourd’hui au Faso, autre quotidien privé, titre sur ces propos des animateurs de la conférence de presse : «Distribution de semences et intrants aux agriculteurs : +C’est le ministère qui n’a pas respecté les accords+ ».

 «Selon le secrétaire général du syndicat, Der Richard Somé, les agents n’ont jamais refusé la distribution des intrants, mais ont plutôt posé, depuis mai 2017, des préoccupations sur la sécurisation des intrants et équipements agricoles et les conditions de la mise en œuvre de l’activité, ce qui n’a pas été respecté», rapporte le journal.

Revenant sur le Forum national des personnes vivant avec un handicap, Aujourd’hui au Faso, renseigne que la rencontre est désormais biennale.

Pour sa part, Le Pays, autre quotidien privé, rapporte ces propos du président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, prononcés hier, face aux personnes en situation de handicap : «Je prends l’engagement d’apporter des solutions à vos préoccupations, à la hauteur de nos moyens».

Pendant ce temps, le quotidien national Sidwaya affiche à sa Une : «Forum des personnes handicapées : Promesse d’application de la loi 012».

A lire l’article, «le chef de l’Etat burkinabè s’est engagé à opérationnaliser la loi 012 portant protection et promotion des personnes handicapées, adoptée le 1er avril 2010 pour leur inclusion effective».

Quant à L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, il explique que parmi les doléances des personnes handicapées exposées lors du forum, figurent l’élargissement de la gratuité des soins jusqu’à 20 ans, l’accessibilité aux parcelles (agricoles, habitation) et l’octroi de bourses d’étude.

Forum national des personnes handicapées et syndicalisme à la Une des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè de ce jeudi commentent largement l’actualité nationale marquée par la sortie médiatique de certains responsables syndicaux, sans oublier le forum national des personnes vivant avec un handicap, entamé la veille, à Ouagadougou.Le quotidien national Sidwaya présente en manchette une image montrant des personnes vivant avec un handicap, accompagnée de ce titre : «Forum national des personnes handicapées: Tracer les sillons d’une aube nouvelle».

Selon le journal, en deux jours (les 20 et 21 juin 2018), «personnes handicapées, acteurs et gouvernants vont, ensemble, tracer les lignes pour une meilleure condition de ces personnes en situation de handicap».

A en croire Sidwaya, le porte-parole des personnes handicapées, Souleymane Ouédraogo, a indiqué que leur situation préoccupante est «la conséquence des effets conjugués de la faible application des textes et des pesanteurs».

De son côté, le journal Le Quotidien parle de «réflexion autour des difficultés d’autonomisation sociale et économique».

Quant à L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, il croit savoir que cette rencontre des personnes vivant avec un handicap constitue «une rampe d’accès à l’emploi».

Pour sa part, Le Pays, autre quotidien privé, consacre sa Une au syndicalisme, en présentant le secrétaire général du Syndicat autonome des agents du trésor du Burkina (SATB), Séni Kouanda, qui tient ces propos: «Si nous étions des enfants gâtés, nous ne serions pas allés en grève».

Pendant ce temps, Aujourd’hui au Faso informe que les cinq centrales syndicales et les 21 syndicats autonomes ayant pris part, du 12 au 14 juin dernier, à la conférence nationale des forces vives de la Nation sur le système de rémunération des fonctionnaires, ont animé un point de presse, hier mercredi à Ouagadougou.

Et de préciser qu’au cours de cette rencontre avec les femmes et hommes de médias, les responsables syndicaux ont présenté le bilan de leur participation à ladite conférence.

A ce sujet, Sidwaya fait observer que «des syndicats (sont) satisfaits des conclusions du forum national (sur le système de rémunération des agents publics)».

La presse sénégalaise à fond sur le Mondial des Lions

Les journaux sénégalais parus jeudi proposent, pour la plupart, des analyses sur la prestation des Lions du Sénégal victorieux (1-2) de la Pologne mardi lors de leur match inaugural à la Coupe du monde.Stades affiche à sa Une ces propos de Mbaye Niang, attaquant des Lions du Sénégal : « quand on joue pour son pays, on se donne à 120 % ». Dans les colonnes dudit journal, le colosse du Torino FC (Calcio, Italie), a le triomphe modeste. « Je ne me focalise pas sur le passé. Ma prestation (face à la Pologne) est le travail de tout un groupe. Il ne faut pas baisser les bras et il faut continuer à travailler. Rien est encore acquis, il faut continuer à bosser pour accomplir nos objectifs », a-t-il déclaré.

Deux jours après l’entrée en lice réussie de l’équipe nationale du Sénégal dans cette Coupe du monde, le jeu des Lions est passé à la loupe, la prestation des joueurs décortiquée. Le Témoin croit connaître « les gagnants et les perdants » du duel contre les Aigles blancs. Pour ce quotidien, « Khadim Ndiaye, Salif Sané, Kalidou Koulibaly, Youssouf Sabaly, Moussa Wagué, Afred Ndiaye, Idrissa Gana Guèye et Mbaye Niang ont marqué des points ». Par contre, « Mame Biram Diouf, Cheikh Ndoye et Cheikhou Kouyaté (en) ont perdu ».

Sur le même sujet, L’Observateur arbore « Le ban chaud de Moscou» comme titre, suivi de ces sous-titres : « Kouyaté (est) un capitaine en danger » et « Mame Biram Diouf (joue) un rôle ingrat ». Pour sa part, El Hadj Ousseynou Diouf, ancien international sénégalais et un des principaux acteurs de l’épopée mirifique de 2002, estime dans Walf Quotidien qu’«il y a encore des améliorations à apporter dans le jeu des Lions ».

Enquête, sous le titre « La poigne (de) Cissé », s’arrête sur le coaching du sélectionneur national en indiquant qu’il « bouscule la hiérarchie au sein de la Tanière et impose ses choix ». A en croire le journal, « la presse internationale s’incline devant la performance des Lions » réalisée grâce aux prouesses tactiques du jeune entraîneur.

Le Soleil, quant à lui, se projette sur le prochain match que va livrer le Sénégal face au Japon dimanche prochain en s’entretenant avec Amsatou Fall, superviseur des Lions qui soutient : « le Japon a une équipe très joueuse, ayant une bonne maîtrise collective. Nous dirons à Aliou Cissé ce que nous savons de cette équipe, à charge pour lui de mettre en place les bonnes solutions pour vaincre l’adversaire ».Quoi qu’il en soit, il a assuré que la rencontre face aux Nippons sera « différente » de celle contre la Pologne.

Enfin, les journaux s’intéressent à la note du Sénégal attribuée par Standard and Poor’s. Vox Populi informe que « le Sénégal (obtient) la note Ba3 stable ; B+/perspective positive derrière l’Afrique du Sud, le Maroc et la Namibie ». Pour Libération, le Sénégal est « couronné » pour sa performance économique qui le place au 4ème rang des économies africaines.

Economie, éducation et justice à la une des quotidiens burkinabè

Les quotidiens burkinabè évoquent, ce mercredi, des sujets ayant trait à l’éducation marquée par les examens scolaires, la justice avec l’incarcération d’un activiste, sans oublier l’économie, notamment la crise au ministère en charge des Finances et la conférence bilan du référentiel de développement au Burkina Faso.«Mise en œuvre du PNDES (Plan national de développement économique et social, Ndlr) : Une conférence internationale bilan les 9 et 10 juillet 2018», titre le quotidien national Sidwaya.

Le journal renseigne qu’en prélude à cette rencontre, le ministère en charge de l’Economie et des Finances a animé une conférence de presse, hier mardi à Ouagadougou.

A l’occasion, rapporte Sidwaya, la ministre de l’Economie, des Finances et du Développement, Rosine Coulibaly/Sori, a expliqué que la conférence vise, entre autres, «à faire le point des principales réalisations du PNDES et les réformes en cours pour améliorer la gouvernance économique».

De son côté, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés burkinabè, aborde la crise au ministère de l’Economie, des Finances et du Développement (MINEFID) et parle du recrutement de personnel d’appoint.

Le confrère présente en manchette, la photo du secrétaire général du Syndicat national des agents des finances (SYNAFI), Mahamed Sawadogo qui déclare : «Le Burkina ne fonctionne pas au rythme des humeurs d’une seule personne».

Le même journal évoque l’examen  du Certificat d’étude primaire (CEP) qui a débuté la veille, en titrant: «CEP 2018: Trois jours pour sanctionner 9 mois de cours».

Le sujet fait la manchette de Aujourd’hui au Faso, sous le titre: «CEP 2018 : 388 897 candidats en quête du 1er diplôme scolaire», là où Le Pays, autre quotidien privé, mentionne : «+Un voyage en avion+ pour 388 897 candidats».

Le journal cité en second lieu évoque ainsi, le titre de la dictée servie aux candidats du CEP.

Le Pays, dans sa rubrique ‘’Révélations » informe que l’activiste burkinabè Naïm Touré a été inculpé et déféré à la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou (MACO).

«Proposition de former un complot contre la sûreté de l’Etat, participation à une entreprise de démoralisation des FDS (Forces de défenses et de sécurité, Ndlr), incitation de trouble à l’ordre public. Ce sont là les chefs d’accusation retenus contre l’activiste Naïm Touré », écrit le journal.

Et de souligner que l’inculpé a été entendu, hier mardi, par le procureur du Faso, près le Tribunal de grande instance de Ouagadougou.  

Pour sa part, le journal privé Le Quotidien affiche tout simplement: «Naïm Touré : De la gendarmerie à la MACO».